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eidge 54
eidge 54
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Les origines des Symphysodons (Discus) Empty Les origines des Symphysodons (Discus)

2013-07-19, 10:16 am
]Bonjour à vous, suite de la saga de l'été.

                                                                                                     ♂♂Horde Heroini Cichlasomatine. ♀♀

                                                                                                               PRESENTATION 2.2
 
                                                                             Cette diversité est sans équivalent dans le reste du monde.
                                           
                                                                              Des origines des  Symphysodons aux standards du Discus.  
                                             
                                                                                        Des souches  sauvages  aux variétés  hybrides.  

                                                                                             L’aquariophilie et ses dates historiques.

Le nom de genre, Symphysodon, signifie « symphyse pourvue de dents » et le nom d'espèce, Discus, indique « en forme de disque ». Son nom commun Discus de Heckel fait honneur à l'ichtyologiste  et zoologiste Jacob Heckel, inventeur autrichien de l'espèce.
Johann Jacob Heckel est un zoologiste autrichien, né le 23 janvier 1790 à Mannheim et mort le 1er mars 1857 à Vienne. Il travaille pendant vingt-quatre ans à une grande œuvre sur les poissons mais il meurt avant de l'achever. C'est son élève et assistant, Rudolf Kner (1810-1869), qui la fait paraître en 1858 sous le titre de Die Süßwasserfische der österreichischen Monarchie.il a été l’instigateur, (par joseph Nelson) ,je cite la découverte des trois espèces de Discus, j’insiste sur le fait, souvent négligé, que les indigènes connaissaient bien ce poisson en dialecte indien borari, cela donne « a cara peua « ;Les premiers poissons du genre Discus collectés par des européens l’ont été par une expédition autrichienne.L’histoire de ce qui se passait en Europe et en Amérique du sud et sur la collecte de poissons, est présentée par les aléas des nombreuses expéditions de l’autrichien Johan Natterer en Amérique du sud, la premier expédition outremer de la flotte autrichienne, et les itinéraires en Amérique du sud, dont certains ont menés à la découverte du Discus en 1832,tout cela a valu bien des problèmes à leurs auteurs. La première espèce a alors été décrite par Jacob Heckel, lui-même en 1840.
On parle également de "Discus vrai" et on trouve parfois des écritures erronées du nom de genre : Symphysodon, Symphysodon, etc...

Le Discus est originaire du bassin de l'Amazone, en Amérique du Sud.

1921 le premier Discus vivant est acclimaté chez heimecke à Hambourg (un exploit pour l’époque).
1928 Un collecteur, nommé Praetorius découvre quelques spécimens qu’il s’empresse d’expédié à Berlin, malheureusement le voyage est trop long et ils meurent avant leur arrivée.
1930Un arrivage annuel est obtenu par la firme Aquarium Hambourg et HAERTEL.Ces Discus sont réservés à des aquariophiles extrement avertis pour l’époque.
La première importation de Discus vivants aux U S A eu lieu en 1932, est traité en détails, ainsi que les essais subséquents pour pouvoir fonder un commerce de plus florissants avec liaison par avion, dans des conditions de pionniers, surtout après la seconde guerre mondiale, il fallait le faire !!!.Heiko suggère d’excellents messages de préservation et nous pouvons partager la souffrance des indigènes quand l’exploration et l’exploitation ont commencé (il a fallu bien du courage, (je sais de quoi je parle puisque je vais à mon tour sur les trace de manuel Torres en plein cœur de l’Amazonie sur le Nhamundã, une aventure extraordinaire. Nous ne sommes qu’une poignée d’hommes à être aller là-bas surement les plus beaux Discus sauvage à tête bleu du monde.
1933 : Ponte d’un couple chez Mr Dwight Winter de Pittsburg, mais l’éclosion fut un échec.
1934 : Date de la première éclosion chez Mr Barret de Philadelphie, mais le couple dévore les petits.
1935 : Armbruster parvient à mener jusqu’au bout la première reproduction de SYMPHYSODON. Ces Discus parviendront à l’Age adulte.
1935 : Succès de l’allemand Beierlein qui élève 40discus à maturité.
1939 : Succès de l’allemand Hoffmann et de Mitch qui élève respectivement 30 et 50 jeunes.
1946 : La société Paramount Aquarium de New York lance une expédition pour récolter des Symphysodons, mais en vain.
1946 : La société Paramount Aquarium de New York lance à nouveau  une expédition menée par Mr cochu.il récolte 40discus dans un affluent de l’amazone
1947 : l’année suivante Mr Cochu avec un couple provenant de son expédition, reproduit avec succès près de 600 alevins.
1953 : Succès de Merstein avec 30 jeunes Symphysodons vivront.
1953 : Succès de l’américain Dodd, avec 600jeunes à son actif.
1956 : Le Dr Schmidt et le Dr Meder  signalent leur premier succès de ponte.
1957 : Le Dr Schmidt et le Dr Meder  réussissent leur première reproduction avec 60 jeunes.
Ce ne fut que vers 1959 que le Discus fut commercialisé, pour l’Europe, car la capture et la reproduction ne fut réussie qu’à cette période.
1959 : La reproduction de la plupart des espèces et des variétés est effectuée.
1960 : La reproduction du Discus est réalisée par de nombreux aquariophiles et professionnels.
1960 : Révision du genre Symphysodon Heckel par le Dr Schultz.
1976 : Première reproductions dans le sud-est –asiatique.
1981 : Le Dr Burgess publie de nouvelles informations sur le Discus.
1984 : Bleher présente de nouvelles sélections de Discus : le royal turquoise, et le royal turquoise vert.
1990 : Le pigeon Blood (hybride) fait son apparition en Thaïlande par Kitti panait ti. De nouvelles variétés descendent toutes de croisement entre pigeon Blood et Discus sauvages, ou d’élevage.
1993 : Bleher et Gobel présente de nouvelles  variétés  de Discus sauvages, d’élevages ou d’hybrides.
1998 : Premier championnat du monde de Duisburg (par zoo Zajac).
2000 : Le Discus se démocratise et de plus en plus d’aquariophiles adeptes de ce poisson mythique.

En aquarium, il dépasse rarement 18 cm (en moyenne), mais peut atteindre 22 cm dans la nature (tailles LS, longueur standard, sans les nageoires).
Systématique du genre Symphysodon et remarques :

Le genre Symphysodon, créé par Heckel en 1840, renferme actuellement 2 espèces incontestables : Symphysodon Discus décrit par Heckel comme espèce-type du genre et Symphysodon aequifasciata décrit par Pellegrin en 1903 comme simple variété de Symphysodon Discus.

Si l'espèce Symphysodon Discus n'a pas été démembrée jusqu'ici, P. Schultz établit par contre, en 1960, 3 types de Symphysodon aequifasciata en leur donnant le statut de sous-espèces. De cette étude publiée dans la revue T.F.H. et basée sur un matériel récolté principalement par Axelrodi et Harald Schultz, il résulte la clé de détermination reproduite ci-dessous.

Clé de détermination des formes du genre Symphysodon :

1-a) 44 - 48 écailles sur la rangée médiane et latérale allant de la base de la tête à la base de la queue : flancs ornés de 9 bandes verticales dont 3 sont plus foncées (la première au niveau de l'œil, la cinquième, plus large que les autres au milieu du corps et la neuvième à la base de la queue). Coloration constituée par un grand nombre de lignes longitudinales alternativement claires et foncées. Yeux bleus: Symphysodon Discus Heckel : « Discus vrai » ou « Poisson Pompadour » ou « Discus rouge ».

1-b) 50 - 61 écailles sur la rangée médiane et latérale, flancs ornés de 9 bandes verticales foncées d'intensité sensiblement égale, sauf éventuellement la première et la dernière légèrement plus sombres (la cinquième par contre, ne se différencie guère des autres).

2-a) Présence de stries vermiculées longitudinales sur le corps et les nageoires : voir 3).

2-b) Absence de stries vermiculées longitudinales sur le corps et les nageoires. Parfois quelques stries bleues sur la partie frontale de la tête, Yeux rouges: Symphysodon aequifasciata axelrodi L.P. Schultz : « Discus brun » (le plus commun).

3-a) Stries longitudinales brun foncé sur fond vert foncé. Yeux brun-rouge: Symphysodon aequifasciata aequifasciata Pellegrin : « Discus vert ». Très rare.

3-b) Stries longitudinales bleu vif sur fond brun foncé. Yeux rouge vif: Symphysodon aequifasciata Haraldi L.P. Schultz : « Discus bleu ». Géographiquement très localisé dans le cours supérieur de l'Amazone.

Remarques :

Compte tenu des nombreuses variations de la coloration des spécimens d'élevage et des nombreuses hybridations et sélections possibles, cette clé de détermination n'est pas aussi rigoureuse que les aquariophiles pourraient le souhaiter, au moins en ce qui concerne les formes de Symphysodon aequifasciata. Les auteurs admettent qu'il est pratiquement impossible, dans le cas de spécimens d'élevage, de différencier le Discus brun du Discus vert. D'autre part, de nombreux intermédiaires existent entre le Discus vert et le Discus bleu. En outre, d'après H. Pinter, les descendants des Discus bleus élevés en captivité ne sont jamais aussi bleus que les parents importés. Il est donc raisonnable d'admettre, dans l'état actuel des connaissances, que la détermination des spécimens d'élevage, les plus fréquents sur le marché, est impossible au niveau de la sous-espèce. Le « Discus sauvage » le plus répandu dans le commerce est le « Discus brun », Symphysodon aequifasciata axelrodi, les autres n'ayant été que très rarement importés.

Il est donc parfaitement logique, compte tenu de ces remarques, de ne parler ici que de Symphysodon Discus Heckel (Discus vrai) et de Symphysodon aequifasciata Pellegrin.

De nouvelles et récentes informations (fin 2006) viennent bouleverser un ordre, finalement assez bien établi, avec la possible création d'une 3ème espèce de Discus : Symphysodon tarzoo. Je cite :
"L'espèce de Discus de l'ouest du bassin amazonien, bien connue des aquariophiles sous le nom de Discus Tefé -de son lieu d'origine-, est désormais distincte sous la nouvelle appellation de Symphysodon tarzoo. Elle rejoint donc les deux autres espèces reconnues, Symphysodon Discus et Symphysodon aequifasciatus. Décrit par JS Ready, EJG Ferreira et SO Kullander, le Symphysodon tarzoo se distingue des 2 autres espèces notamment par la présence de points rouges sur la nageoire anale et sur le corps."
La demande aquariophile en la matière évolue, les couleurs les plus vives ainsi que les variétés issues de l’hybridation sont les plus vendues. Il reste cependant un bon nombre d’amateurs avertis qui ne jure que par les Discus sauvages.

A savoir que chaque éleveur dispose de plusieurs spécimens sauvages pour apporter du sang neuf, et ainsi éviter la détérioration du patrimoine génétique de ses Discus.
Mais abordons un sujet tout aussi intéressant.

BESOINS ÉNERGÉTIQUES :

L'alimentation en aquarium : Pour étudier l'alimentation du Discus nous allons définir tout d'abord ces besoins.
Le métabolisme des poissons est assez faible, car ils ne régulent pas leur température. Ils ne luttent pas non plus contre la pesanteur, et leur mode d'excrétion des déchets sous forme d'ammoniaque est aussi économique en énergie puisqu'il ne nécessite aucune transformation.  
Les besoins à l'entretien sont faibles. Ces besoins dépendent quand même de la température du bac, les poissons vivant dans une eau plus chaude consomment plus d'énergie.
De même, plus les poissons sont jeunes et donc en phase de croissance, plus ils consomment de l'énergie.

LES BESOINS PROTÉIQUES :

Les protéines représentent une source importante. Elles peuvent fournir de 40 à 80 % de l'énergie dépensée par le Discus. Elles servent en plus à la constitution des protéines du poisson  produite  par lui- même. Elles peuvent aussi stimuler la sécrétion de certaines hormones.
Il faut savoir que le mucus parental contient près de 73 % de protéines et que les Discus juvéniles ont des besoins de l'ordre de 45 % de protéines. Pour la source, la préférence ira vers des protéines animales, plus digestes pour les poissons et contenant un profil d'acides aminés plus en rapport avec leurs besoins. Certaines sources de protéines végétales ont même des effets négatifs. (Soja et blé entre autres)On pourra utiliser du cœur de bœuf (20% de protéines), des viandes de poissons maigres. Pour augmenter le taux de protéine et arriver aux 45% désirés, il conviendra d'ajouter des farines de poissons.
LES BESOINS LIPIDIQUES :
Leur apport est important d'un point de vue qualitatif, car ils fournissent des acides gras essentiels. D'un point de vue quantitatif, ils sont aussi une source d'énergie, permettant d'utiliser moins de protéines et de relâcher moins de déchets azotés comme l'ammoniaque. Avec 50 % de protéines dans l'aliment, on peut fournir près de 15 % de lipides. Pour une pâtée maison qui ne contient que 20 % de protéines, il faudra rester aux alentours de 10 % de lipides.


BESOINS GLUCIDIQUES :

Les glucides sont très mal utilisés par les poissons. Les glucides complexes comme l'amidon doivent être très cuits pour être plus digestes, sinon ils peuvent créer des intolérances. Même si les glucides ne sont pas indispensables aux poissons, en petite quantité, ils favorisent l'utilisation des protéines.

LES VITAMINES ET SELS MINÉRAUX :

Les besoins ne sont pas très différents des nôtres. Seuls l'inositol et la choline sont plus demandés par les poissons.  Les aliments du commerce contiennent les quantités suffisantes de vitamines. Il est inutile d'en ajouter dans la mesure où certaines vitamines liposolubles peuvent, en excès, provoquer des dommages. La vitamine C tient une place importante grâce à son activité anti-oxydante. Elle permet aux êtres vivants de lutter contre de nombreux stress.
On l'utilisera à la dose de 250 mg/kg d'aliment. On utilise de préférence des formes stables comme les poly phosphates ou mono phosphates. Leur activité étant moindre il convient de doubler la dose. Les vitamines sont peu stables, il convient donc de faire attention à la conservation des aliments. Il est de plus inutile d'ajouter des vitamines directement dans l'eau du bac, elles y seront très rapidement dégradées. Les poissons tirent leurs minéraux aussi bien de l'eau que de l'aliment. En eau très douce, il convient d'apporter ces minéraux par une alimentation variée et équilibrée.

Les besoins sont plus clairs maintenant,

Voilà une vue émanée de notre Discus alors n’hésitez pas à regarder, observer, épier, bigler, estimer, reluquer, fixer, guigner, scruter, toiser, lorgner, mater, voir, mirer, zieuter etc…après toutes ses définitions, vous n’aurez plus d’excuses pour admirer de vos protégés, et éventuellement prendre des décisions parfois lourdes de conséquences !!!.
                                                                                                                                            Fin de la 2,2  partie :                      Eidge 54.        

Conclusion :

Un rendez-vous  que je ne manquerai. Cette synthèse est possible grâce à l’observation et a des  recoupements d’informations en temps voulus.je ne m’approprie pas tout le travail fait en amont, les formulations de critiques en Europe vont bon train. Je reste confiant pour la plus grande satisfaction d’un aquariophile responsable ,cherchant la vérité sur son hobby.
                                       
                                                                                              Rappel à la loi, elle est pourtant simple !!!.

L214-1. Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.
Dans la nature tout a été  colonisé pratiquement l'ensemble des territoires et des biotopes de la planète. Il en est des poissons comme des autres espèces et ils se sont adaptés à l'ensemble des biotopes disponibles.
Ce qu'il faut retenir, c'est que ces adaptations ne doivent rien au hasard et qu'elles répondent à un impératif de survie. Selon les lois de Darwin, les espèces se modifient par la pression du milieu vers une sélection des sujets les plus aptes à vivre dans les conditions locales.
Pour l'aquariophile, ces poissons ont besoins de retrouver les mêmes conditions de milieu sous peine de disparaître. Le marché aquariophile a des influences sur les poissons que l'on trouve dans les magasins. La concupiscence acharnée produit des astigmatismes commerciaux. Alors de l’indulgence pour respecter les donner paramétriques et les caractéristiques de nos Symphysodons.
Remerciements :
Pour l’hébergement, les sorties, l’assistance sur place, les repérées, les balades, les échappées,  les escapades, les découvertes, les expéditions en amazonie, dans la région du para, sur le Tapajos, Allenquer mais aussi sur le Nhamundã, puis plus loin avec le selva viva et le rio Napo, etc….
Ces informations ne sont pas dues aux hasards, mais à la persévérance, l’opiniâtreté, l’obstination, la ténacité, des aquariophiles aventureux voulant comprendre sur le biotope, la vie des Symphysodons ou nous percevons quelques brides de sa vie. Une expérience enrichissante, et pleine de danger et d’imprévu. Notre quête est une  goutte d’eau dans l’immensité que représente l’amazone.

Remerciements :
                                                                Avec mes respects pour les baroudeurs que nous avons précédés et suivis.

                                                                                                   William G. R. Crampton

           Qui a  effectué  des recherches dans la  fin des années 90, et qui travaillait plus  particulièrement sur les signaux électriques en zone Neotropical.

                                                                  John fleng Steffensen de l’institut biologique de l’université de Copenhague.

                                                     H back, C Isabet, qui sont mes compagnons pour la prochaine expédition  et qui veille sur moi.

H back, C Isabet, J. Albert, H. Bleher, T. Hrbek, E. Huusela, H. López Fernandez, R. Lowe-McConnell, J. Prêt, T. Silva, et S. Willis ont partagé leurs idées. Pour assistance sur le terrain Je remercie J. Alves de Oliveira et S. Esashika. C. Paxton a fourni des conseils statistiques. J.-Celso Malte identifié B. cichlae. Financement et soutien ont été fournis par l'Institut Mamirauá, Conselho Nacional de Desenvolvimento Tecnológico e Científico (CNPq) (subventions 380602/96, 2/381597/97-0),  le Département britannique pour le développement international. Financement au cours de la phase d'écriture a été fournie par la National Science subvention de la Fondation DEB-0614334.Collecte a été autorisée par un permis, y compris IBAMA 0492/99-12.                           .  Soins  aux animaux est conforme aux directives du CNPq.

                                                                                         Ouvrages et articles cités :

                                                                         Revue scientifique proceedings of the society.
References:  

Catalogue ichthyologique         | California Academy of Sciences          | Version 2012 |                    research.calacademy.org/research/ichthyology/catalog/fishcatmain.asp.
Benedito-Cecilio, E., CARM Araujo-Lima, BR Forsberg, MM Bittencourt & LA Martinelli. 2000.  Les sources de carbone de la pêche en Amazonie. Gestion des pêches et de l'écologie,                            7:305-314. http://www.passeportsante.net  
Araujo-Lima, CARM, B. Forsberg, R. Victoria & L. Martinelli. 1986. Les sources d'énergie pour les poissons détritivores dans l'Amazone. Science, 234:1256-1258.
Bagenal, la tuberculose et le FW Tesch. 1978. Âge et de la croissance. Pp. 101-136. Dans: Bagenal, T (Ed.).Méthodes d'évaluation de la production de poisson en eau douce.                                        Oxford, Blackwell Scientific Publications.
Araujo-Lima, CARM & M Goulding. 1997. Si fécond un poisson: l'écologie, la conservation et de l'Aquaculture du Tambaqui de l'Amazonie. New York, Columbia

Ayres, JM 1993. Comme Matas de Várzea do Mamirauá - Médio Solimões Rio. Brasília, au Brésil, Sociedade Civil Mamirauá / CNPq.
       Références    externes :                                             Sur les autres projets Wikipédia :
       Symphysodon, sur Wikipédia Commons                    Symphysodon, sur Wikispecies  
              Un ouvrage de référence, thèse vétérinaire : SYMPHYSODON : MERVEILLEUX DISCUS            
                 
                    Référence Catalogue of Life : Symphysodon (en) (consulté le 10 sept. 2012)
                  Bleher, H. 2006. Bleher de discussion. Volume I. Pavie, en Italie, Aquapress.
                  Référence Fish Base : liste des espèces du genre Symphysodon(en)(site miroir)
                    Référence Animal Diversity Web : Symphysodon (en) (consulté le 10 sept. 2012)
                    Référence ITIS : Symphysodon Heckel, 1840 (Fr) (+ version anglaise (en))
                    Référence World Register of Marine Species : taxon Symphysodon (en)              
                   
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=de&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.flmnh.ufl.edu%2Fgymnotus%2Fwillcrampton.htm.
hthttp://www.tendancemag.com/conseil-sante/720/Nutrition/Petit-pois--excellente-source-de-tamines.htmltp://fr.wikipedia.org/wiki/Crevette.
     http://www.association-discus-passion.com/forum/viewtopic.php?f=4&t=9605 http://www.aqua-nat.org/html/discus.html#caractmer.
          http://www.eau-loire-bretagne. fr/espace éducatif/outils pédagogiques/éducateurs et enseignants/CP1 LD.pdf.
               http://aqua.net.free.fr/contenu/poissons/ac poissons.html    http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/67166.htm .
                     Département de biologie, University of Central Florida, PO Box 162368.Orlando, FL, 32816, États-Unis.
                            Documentations et articles de  bases sur internet via la toile  William G. R. Crampton:
                            Pour éviter toutes sortes de récriminations je puise mes sources sur (lr 54 et internet).
                                  Source internet, esprit amazone http://espritamazone.e-monsite.com.

                                                                                                     Merci de réagir à cet article.   A plus Aquariophilement Eidge 54.
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Les origines des Symphysodons (Discus) Empty Re: Les origines des Symphysodons (Discus)

2013-08-07, 3:48 pm
Merci je n'étais pas au courant de cette nouvelle espèce.
Petit rappel pour ceux qui s'intéresse à la partie alimentation des Discus nous vous invitons à découvrir à notre sujet de Eidge : http://www.aqualifestyle-france.com/t9112-nourriture-pour-discus
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