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eidge 54
eidge 54
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Date d'inscription : 11/04/2013
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 ♀ ♂ Heroini Cichlasomatine Horde. ♀♂ n°17     Empty ♀ ♂ Heroini Cichlasomatine Horde. ♀♂ n°17

2014-04-28, 8:37 am
Bonjour a vous,

♀ ♂ Heroini Cichlasomatine Horde. ♀♂

♀ DOCUMENTATION 17 ♂

Approche d’une aquariophilie généraliste et moderne.
Information de base en débutant l’aquariophilie.
Les adaptations des poissons à leur milieu.
Rappel à la loi, elle est pourtant simple.
Les poissons entrés en matières.
La nourriture des poissons.
C’est quoi, un poisson ! cc
Classification

Règne : Animalia embranchement : Chordata sous-embranchement : Vertebrata classe Actinopterygii
Ordre perciformes. Sous-ordre Labroidei. Famille Cichlidae.
Genre : Symphysodon, (Heckel 1840). C

Espèces de rang inferieur : symphysodons discus, symphysodons aequifasciatus.

Ha, vaste sujet !!! En version copier/coller. Sans oublier mon point de vue sur l’ensemble.

Avant de répondre dans ce site, et dans ce que d'aucuns ne pourraient prendre pour une discussion, je vous informe que je ne suis pas dans le monde médical, encore moins visionnaire !!!. Bien que je fréquente les chamanes en Amazonie, cela me donne un point de vue que je partage avec vous, et avec votre droit de réponse, car j’aime aller de l’avant. J’ai des notions d’apprêts et une base de biologie, mais comme tout chef qui se respecte j’ai une pratique de prophylaxie qui été déjà utilisée dans l'Antiquité. Nous sommes tous phytothérapeutes sans le savoir : c'est notamment le cas dans la cuisine, avec l'usage de la ciboulette, de l'ail, du thym, du gingembre ou simplement du thé vert... Une alimentation équilibrée et contenant certains éléments actifs étant une phytothérapie prophylactique.

Une expérience en aquariophile et quelques expéditions notamment en Amazonie !!! Derrière moi.

Mais voyons notre sujet qui me passionne. Partageons ce moment dans la diversité.

Attention mes propos suivants vont être durs très dure mais ils font partie de la réalité de la vie.
Un Symphysodon, un discus ou plus simplement un poisson qui ne se nourrit pas, est condamné à une mort certaine, en quelques heures, en quelques semaines voire tout au plus quelques mois, souffrant le plus souvent de vers, et dont son éleveur a tardé à diagnostiquer l’ampleur des dégâts. Cela se rattrape aisément au début par un traitement adéquat, ensuite, on pourra toujours sauver le poisson mais il restera des séquelles irréversibles, et visibles sur votre poisson. En cas d’erreur irréversible de votre part voici ce qui se passe,

Post mortem, les fonctions cessent, l’actine et la myosine sont connectées irréversiblement :
C’est la rigor mortis.

L’aquariophilie passe donc par de l’observation chaque jour, et si possible à chaque prise de nourriture. Suis-je assez claire !!!.
La nourriture des Discus doit être à la fois riche et variée. Dans la nature les poissons se nourrissent principalement de larves d’insectes, d’insectes adultes, de dépôts d’algues et de végétaux, de petits crustacés etc., qu’ils trouvent en abondance et à la demande. Suite à la dissection de plusieurs spécimens, les constatations des estomacs n’étaient jamais pleines, ce qui veut dire que dans la nature notre discus se nourrit en parcimonie, plusieurs fois par jour.

Dans un aquarium, la nourriture est fournie par l’homme à des horaires précis et généralement à une fréquence imposée. La difficulté est d’apporter une nourriture adaptée, de qualité et en quantité raisonnable afin de ne pas engendrer non plus trop de pollution dans le bac ce qui nuirait à l’équilibre de l’écosystème.
Par nourriture adaptée on entend la facilité d’assimilation de cette nourriture par leur système digestif et la taille adéquate des aliments fournis.
Connaître l'anatomie des Discus permet et aide à comprendre leur fonctionnement. (Observer vos Discus, et à la loupe s’il vous plaît, vous aidera à mieux les comprendre.)
Morphologiquement et physiquement le fonctionnement des principales fonctions.
L’odorat : Les Discus possèdent des narines et l’odorat est très développé ce qui compense leur vue plus ou moins bonne. L’eau étant un parfait solvant cela permet au Discus de localiser très précisément ou se trouve la nourriture et certains prédateurs se servent de cet atout pour localiser leur future proie.

Le gout :
Le goût agit en symbiose avec l'odorat : les Discus possèdent des papilles gustatives dans la bouche, la gorge, et au niveau des narines. Les Discus sont capables d’apprécier les aliments. Les papilles gustatives (bourgeons gustatifs) ne se limitent pas à la cavité buccale, la gorge, les narines, mais aussi à travers la ligne latérale. (Ils font très bien la différence entre plusieurs sortes de nourriture, vers de vase, ou granulés etc.... Notre Discus possède un bulbe olfactif: et qui se situe juste au-dessus et derrière l’œil, cette une partie renflée de l'organe responsable de la perception des odeurs.
Enfin notre Discus assure son assiette grâce à son otolite avant de passer à table. !!!(Ceci grâce à son oreille interne, petite structure calcaire assurant l’équilibre de nos Discus.)
Le Symphysodon possède une petite bouche qui est disproportionnée par rapport à la taille de son corps. Ils sont pourvus de dents pointues, se répartissant uniquement sur la partie postérieure des mâchoires. (Il vous est possible de le vérifier par vous-même.) Par rapport à de nombreux autres poissons, le Discus préfère chercher, attraper et ramasser la nourriture au sol plutôt que la collecter à la surface de l’eau. Il attrape bien volontiers la nourriture disponible au milieu du bac. Ce n’est ni un poisson de fond ni un poisson de "surface".
Dans la nature, c’est autre chose, l’instinct sauvage reprend le dessus !!

L’habitat des Discus est surtout caractérisé par les eaux calmes des rios, et des igarapés à courants lents. Mais notre Discus ne dédaigne pas les courants à allure plus vigoureuse derrière une souche d’arbre ou un éboulis de pierres. La plupart des Discus se trouvent dans des affluents, des bras morts, des rios, des igarapés, voir des varzeas dans des forêts semi-humides et inondées de l’amazone.
La turbidité de ces eaux leur permet de se dissimuler en se protégeant ainsi des prédateurs friands, (piranhas hoplites) et des oiseaux piscivores, sans parler des jacarés, et anacondas !!!.
Ils trouvent parmi le fouillis végétal et la gangue au creux des berges un gite de premier ordre, leurs offrant refuges, frayères et animalcules à foisons dans la nourriture.
Cette même nourriture se constitue principalement d’animalcules typiques à l’Amazonie, à savoir de micro-crustacés et de macro-crustacés dont ils se délecteront. Larves de moustiques et autres insectes, de baies, ou de petits fruits tombés à l’eau.
J’ai pu observer que dans son habitat naturel, le Symphysodon Discus, en complément du zooplancton local qu’il absorbe, il broute la gangue biologique qui recouvre les branches et les troncs d’arbres immergés. (Document sur vidéo via le Nhamundã amazonie).L’essentiel de la nourriture du sauvage se trouve dans cette gangue biologique et qui est en majorité composée d’algues filamenteuses dans lesquelles se trouvent de nombreux animalcules (animalcules) unicellulaires ou pluricellulaires, des larves et des insectes aquatiques.(dont il est impossible de reproduire en aquarium !!!.)(Slr 54).

Les Discus ont un intestin très court de type (carnassier) et à l'état sauvage ils se nourrissent d'insectes, de larves diverses et de petits crustacés. Les éléments nutritifs provenant des aliments ingérés sont absorbés au travers des intestins, ensuite transportés vers le foie puis ils seront diffusés dans le sang à travers tout le corps. . Mais passent à notre Discus dans son aquarium et bien loin de ses cousins (les sauvages).

Ses caractéristiques limitent donc le choix du type d’aliment à donner et le conditionnement ou la formulation des produits (les paillettes ne sont pas adaptées).
Au niveau de la fréquence de distribution de la nourriture, un Discus adulte doit être alimenté un à quatre fois par jour. De jeunes Discus (en pleine croissance) seront nourris 6 à 8 fois par jour. La totalité de la nourriture distribuée doit être consommée assez rapidement, d’une part pour ne pas polluer inutilement l’aquarium (risques sanitaires et des pics de nitrites ou nitrates) et d’autre part, cela permet d’effectuer un dosage assez précis des quantités nécessaires (on déduit la quantité utile par rapport à l’appétit des poissons c’est-à-dire le temps mis pour absorber toute la nourriture distribuée en une fois).la totalité ne devant pas excéder plus de 5 as 8 minutes.

Le Discus est un poisson assez vorace qui ne chipote pas, sauf lorsque la nourriture ne lui convient pas ou lorsqu’il n’est pas bien. Il défendra sa place au moment de la distribution de nourriture et saura se faire respecter (sans trop d’agressivité) dans la hiérarchie du groupe.

Nous ne devons pas oublier que la plupart des maladies intestinales dont souffrent parfois les Symphysodon sont imputables à une alimentation malsaine ou mal adaptée.je mets pour ma part 10% d’amorce a poisson dans ma nourriture maison, qui de par cette apport racle les intestins de notre discus pour se débarrasser des parties indésirables que notre discus a tendance à garder et à s’infecter, cette pratique donne de très bon résultats(contre les vers, et parasites)(Slr 54).
Au niveau du choix des aliments, il existe quatre grands types de nourriture que l’on peut donner aux Discus, il va falloir utiliser ces différents aliments dont nous disposons pour varier le choix au maximum. C’est important.

Chaque jour, on alternera avec un aliment différent afin de varier les possibilités et l’alimentation. On alimente toujours ses Discus jusqu’à la satiété c’est-à-dire la quantité maximale d’aliment qu’il est susceptible d’ingérer, jusqu’à l’observation du premier refus. Il s’agit d’observer une satiété momentanée car il faut un nombre suffisamment important de repas pour atteindre la satiété réelle sur la journée. Le nombre de repas dépendra de la formulation de l’aliment, de la taille du poisson...

La nourriture congelée:

C’est une bonne alternative aux produits vivants.
Elles sont vendues sous forme de blister (plus hygiénique et pratique) ou de grandes plaques. On retrouve une grande variété d’aliment disponible sous forme de congelés : les vers ou autres insectes et puis les pâtées spéciales Discus ou mixtures maison à base de divers produits etc..
On reproche parfois à ce type de conditionnement une teneur en eau trop importante ce qui n’est pas toujours exact. Il faut être vigilant à la qualité des aliments et donc dans le choix des marques. Certaines sociétés se sont spécialisées et offrent des produits de très bonne qualité à condition de faire un petit sacrifice sur le prix. Les marques trop "bon marché" proposent des produits qui contiennent trop d’eau et peu appétissants pour les Discus. Pourquoi ne pas les confectionnait vous-même ?
Il est préférable d’acheter une pâtée toute prête sous forme congelée si l’on ne se sait pas bien préparer les pâtées pour Discus. Une préparation mal dosée où inadaptée aura des conséquences néfastes sur le poisson et l’équilibre de l’aquarium. Il ne faut pas jouer les apprentis cuisinier avec des mixtures ou des préparations improvisées ou inadaptées (on met tout et n’importe quoi, on surdose les apports en vitamines etc..).Prudence donc !!!
En complément de l’éventail des nourritures, on peut également varier les menus avec des produits surgelés cuits finement hachés après décongélation : moules, crevettes, et de la chair de poissons maigres.

Les nourritures vivantes :

Les nourritures vivantes sont généralement vendues en barquettes où l’on place dans le bas du réfrigérateur afin de ralentir le métabolisme de ces proies vivantes (meilleure conservation).les faire dégorger, nettoyer, et éventuellement cette nourriture peut permettre de faire prendre une posologie.
Pour les poissons en général, toutes ses nourritures vivantes vont constituer des proies gesticulantes et qu’ils aimeront chasser (instinct de chasse des cichlidés).
Ce type de nourriture constitue un repas de choix pour les poissons, le seul inconvénient est son coût assez élevé à l’achat. La nourriture vivante n’est pas indispensable mais elle très utile pour varier la nourriture proposée aux Discus, stimuler les couples reproducteurs, aider en cas de mauvaise acclimatation de nouveaux sujets, ou encore stimuler l’appétit de poissons devenus difficiles ou malades (excitation des poissons qui déclenchent leur instinct de prédateurs).

Ces proies vivantes viennent en complément des pâtées pour Discus et des granulés. Elles permettent de stimuler leurs anticorps et ainsi de mieux résister aux maladies et permettent de favoriser la reproduction. Les bénéfices constatés sont indéniables, les poissons prennent des couleurs et sont plus vifs (cela peut provoquer parfois une certaine accoutumance si l’on n’y prend pas garde au détriment de la nourriture habituelle).

Les principales proies vivantes particulièrement appréciées par les Discus (les autres poissons en raffolent également) sont les artémias, le ver de vase rouge, le ver de terre, la daphnie, le tubifex, les amicules. On les trouve sous forme de nourritures ou proies vivantes, congelées ou lyophilisées.

L’artémia est un petit crustacé vivant dans l’eau salée qui est très riche en protéines et vitamines. Les larves (nauplies) nourrissent les alevins et bébés poissons. Le ver de vase rouge est une larve de chironome (moustique) qui ne présente que peu risque sanitaire s’il est issu de producteurs spécialisés (récolte sélective et nettoyage par des professionnels spécialisés dans ce domaine..). La daphnie est un petit crustacé zoo planctonique qui est très riche en protéines et vitamines. La daphnie a une nage saccadée ce qui stimule et excite les poissons. Les tubifex sont des vers longs et fins à l’instar des lombrics. Les poissons aiment également beaucoup ce type de proie vivante.
Concernant les nourritures vivantes, on prendra soin de bien rincer et égoutter les proies dans un fin tamis avant distribution. Les vers de vase rouges seront au préalable " dégorgés " dans du lait avant rinçage, et dans dû près- coly par exemple puis distribution ; cela est bien pratique pour adjoindre des vitamines ou des médicaments (voir dossier sur les maladies ou le vermifuge). Ces vers de vase seront distribués de préférence dans un distributeur spécifique afin d’éviter que les vers non consommés s’enfouissent dans le sable et polluent le bac en mourant.

La nourriture sèche :

De très nombreuses marques proposent ce type d’aliment sec tout spécialement dosés pour les Symphysodons, et autres poissons.
La composition de ces granulés où des pastilles sont : protéines, céréales, poissons, mollusques, crustacés, levures, algues, matières grasses brutes, cendres brutes, vitamines...dans tous les sens ; et tous les % possibles, ses aliments sont enrichis afin d’apporter tout ce dont les Discus ont besoin. Ils sont appétant et spécialement équilibré pour les poissons (composition, forme, couleur, odeur..).
Certains granulés gonflent plus que d’autres au contact de l’eau, il faut donc être prudent au moment de la distribution de ce type de nourriture. Certains granulés peuvent en effet gonfler directement dans le système digestif du poisson et causer des troubles digestifs. Afin d’éviter cela, on pourra laisser gonfler ces granulés dans un peu d’eau du bac juste avant la distribution.

Les granulés doivent être conservés à l’abri de l’air et de la lumière (refermer les boîtes aussitôt après usage) et consommés dans la date limite indiquée sur la boite. On évitera les conditionnements importants pour ces raisons car certaines marques proposent des boîtes au conditionnement inadapté de 300 grammes, voire plus, ce conditionnement n’est pas du tout adapté pour un particulier.

Il arrive parfois que certains Discus "boudent" les granulés qui leur sont présentés à la suite par exemple d’une mauvaise acclimatation ou après un ajout de nouveaux poissons (stress). Certains autres Discus refusent catégoriquement ce type de nourriture au profit de la nourriture vivante (certains peuvent devenir accros aux vers de vase et ne manger que cela sûr de longues périodes si on les laissait faire).

Afin de remédier à ce problème, on mélangera (15 minutes granulées ou sèches dans des vers de vase) leur nourriture préférée (nourriture vivante) avec des granulés afin de basculer progressivement vers une alimentation composée à 100% de granulés au final. Cette méthode les habitue progressivement à la nourriture plus industrielle même s’il la refuse au départ.
Les granulés sont particulièrement bien équilibrés et sont indispensables (en complément des autres types de nourritures vivantes et congelés, pâtées) et surtout en cas de courtes absences (distribution automatique de la nourriture). Des efforts importants ont été fait par les industrielles, et dont il faut sa félicité. Il faut absolument que les poissons capricieux acceptent ce type de nourriture, ils y ont été habitués chez l’éleveur.

LES VITAMINES ET SELS MINÉRAUX :

Les besoins ne sont pas très différents des nôtres. Seuls l'inositol et la choline sont plus demandés par les poissons.
Les aliments du commerce contiennent les quantités suffisantes de vitamines. Il est inutile d'en ajouter dans la mesure où certaines vitamines liposolubles peuvent, en excès, provoquer des dommages. La vitamine C tient une place importante grâce à son activité antioxydante.
Elle permet aux êtres vivants de lutter contre de nombreux stress.

On l'utilisera à la dose de 250 mg/kg d'aliment. On utilise de préférence des formes stables comme les poly phosphates ou mono phosphates. Leur activité étant moindre il convient de pouvoir doubler la dose, si nécessaire.
Les vitamines sont peu stables, il convient donc de faire attention à la conservation des aliments. Il est de plus inutile d'ajouter des vitamines directement dans l'eau du bac, elles y seront très rapidement dégradées.
Les poissons tirent leurs minéraux aussi bien de l'eau que de l'aliment. En eau très douce, il convient d'apporter ces minéraux par une alimentation variée et équilibrée.
Varier les sources de nourriture est effectivement une règle à respecter, même avec une alimentation à base de granulés. Utiliser plusieurs formulations de granulés est plus fiable qu'une seule source
Mais en nourrissant vos Discus correctement, vous favorisez l’allure de celui-ci, par exemple ses écailles, ce qu'on entend par écaille représente : le mucus, la peau et les écailles.
Le mucus joue à la fois un rôle protecteur contre les parasites et les divers éléments pathogènes, il renforce aussi l'hydrodynamisme en lissant la peau. Même dénutri passagèrement cela se repère sur les écailles de votre Discus par une observation approfondie. (Les juges de Kuala Lumpur au dernier championnat avaient l’œil sur les champions à propos de ce détail.)
Enfin, il faut dissocier les besoins des jeunes, des subadultes et des adultes. Procurer aux jeunes Discus tous les éléments nécessaires à leur croissance.
Mettre à disposition des adultes les sources alimentaires indispensables à leur équilibre et à leur épanouissement physiologique.
Une formule (industrielle, ou "maison")

Contient tous les éléments nécessaires, alors elle peut être dite complète et variée, et il faut la distribuer exclusivement, toute variation serait sans doute néfaste.
Mais est-ce le cas de nos préparations, même les plus élaborées ? (industrielles = granules, ou maison = pâtée) Si on n'est pas sûr de ça, alors il faut varier, en alternant des aliments semblant déjà (presque complets et variés, c'est à dire granules et pâtée maison et via nourritures vivantes.

Le must dans votre pâté maison est d’ajouter de l’amorce à poisson, qui obligera notre discus à rouler et recracher sa nourriture avant de l’avaler à nouveau cela facilite le transit et évite les vers de s’accrocher dans le transit et l’estomac. Après avoir traité vos poissons pour les cestodes et les nématodes, le fait d’introduire cette formulation racle les parties stomacales des discus, et de ce fait se trouve en parfaite santé.je pratique cette méthode que j’ai mise au point depuis plusieurs années, et je n’ai plus de problèmes avec les vers (la base du traitement est le Zentel au départ de la quarantaine).

ZENTEL : comment ça marche(SLR54).

- L'albendazole est un carbamate de benzimidazoles. Il agit sur les nématodes, les cestodes et certains protozoaires.
- L'albendazole agit sur le cytosquelette des helminthes en inhibant la polymérisation des tubulines et leur incorporation dans les microtubules, bloquant ainsi l'absorption du glucose par les parasites et provoquant leur mort.
- L'albendazole a également une activité sur Giardia intestinalis (ou duodenalis). Il exerce une action irréversible ciblée sur le disque ventral du trophozoïde par effet sur la polymérisation de la tubuline et de la giardine entraînant une désorganisation du cytosquelette et des micros rubans.
La capacité d'adhérence aux entérocytes est diminuée ce qui entraîne une inhibition de la croissance et de la multiplication du parasite.
Des mesures d'hygiène rigoureuses devront être imposées et l'entourage devra être également traité.
Rentrons dans la nomenclature pharmacologique pour les inconditionnels (du je veux tout savoir !!!).

Classe thérapeutique infectiologie parasitologie

Principes actifs albendazole, Excipients magnésium silicate (e 553 a), aluminium silicate, carmellose (e 466),
Glycérol (e422) polysorbate 80 (e433), sorbitane monotaurate (e432), potassium sorbate (e 202), benzoide acide
(e 210), sorbique acide (e200), silicone, saccharine sodique (e954), arome vanille, arome orange, arome de fruit de la passion, eau purifiée
Prix 3.65e (prix indicatif) Posologie en aquariophilie 1 traitement 2 fois en 8 jours.

En cas de doute vous pouvez vous référencer, ou approfondir auprès de votre vétérinaire. (Vous pouvez vous référer au docteur Bassleer qui édite un ouvrage sur les maladies en Ichthyopathologie).

Avec les granulés, on s'assure un apport en vitamines, minéraux, etc... De qualité, si les conditions de stockage et DLUO des aliments sont respectées.
En conclusion l’alimentation de vos Discus doit être considérée plus que jamais comme le facteur numéro 1 avec l’eau de votre aquarium.
Le choix, la qualité, la diversité et la quantité des aliments sont prépondérants à la vie de vos Discus ; plus vous opter pour de la nourriture vivante, plus vos Discus seront beaux, plus besoin de carotène d’astaxanthine et autres produits.

Vos efforts doivent être à la hauteur de vos espérances.

Résultat avec un effort maximum, ils ne tarderont pas à se reproduire, et viendront le moment de nourrir les petits.la boucle sera bouclée,
Dès le résultat de la descendance ; C'est à dire une portée maximale de 400 petits.
L’assortiment, la vertu, la différence et la quotité des aliments sont caractéristiques à l’existence de vos Discus

Rappel à la loi, elle est pourtant simple !!!. Obligations de l’aquariophile.

Tout particulier peut posséder un aquarium chez lui avec des animaux ne faisant pas partie des animaux protégés ou/et des animaux dangereux.
I. - On entend par animal de compagnie tout animal détenu ou destiné à être détenu par l’homme pour son agrément.
Note personnelle : les animaux de compagnie les plus courants sont les mammifères (chiens, chats, chevaux..), les oiseaux, les poissons tropicaux ou d’eau de mer, les reptiles (tortues, serpents..).
Tout possesseur d’animaux protégés ou/et d’animaux dangereux doit passer un certificat de capacité.
La seule contrainte pour les animaux autorisés est le respect des articles L. 214-1 à 3 du Code rural.

L.214-1 : Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.
L.214-2 : Tout homme a le droit de détenir des animaux dans les conditions définies à l’article L.214-1 et de les utiliser dans les conditions prévues à l’article L.214-3….
L.214-3 : Il est interdit d’exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques 5 espèces de poissons) ainsi qu’envers les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité….
Des décrets en Conseil d’Etat fixent les modalités d’application des articles L. 214-1 à L. 214-2 et L. 215-3.
Article L214-12(Transféré par Ordonnance nº 2000-914 du 18 septembre 2000 art. 11 I, II Journal Officiel du 21 septembre 2000)
I. - Toute personne procédant, dans un but lucratif, pour son compte ou pour le compte d’un tiers, aux transports d’animaux vivants doit recevoir un agrément délivré par les services vétérinaires placés sous l’autorité du préfet. Ceux-ci s’assurent que le demandeur est en mesure d’exécuter les transports dans le respect des règles techniques et sanitaires en vigueur ainsi que des règles concernant la formation des personnels. II. - Un décret en Conseil d’Etat détermine les conditions de délivrance, de suspension ou de retrait de l’agrément et les règles applicables aux transports des animaux vivants.

A plus Aquariophilement Eidge 54 pour l’Amazonie.
« Les informations de cette page n’engagent aucune responsabilité de ma part. »
« Copie autorisée dans un but non lucratif. »

Extrait de Wikipédia : source citation.
Animalcule /a.ni.mal.kyl/ masculin ou animacules redéfinition de lr 54 pour l’infiniment petit dont se nourrissent particulièrement les Discus et autres cichlidés de l’Amazonie
(Didactique) Petit animal qu’on peut voir seulement qu’à l’aide du microscope dans certains liquides.
L’emploi de ce terme déjà employé en 1873 par jules Verne.
La solitude de l’Océan n’était troublée que par le passage de quelques souffleurs, qui fréquentaient les eaux vertes où pullulent ces myriades d’animalcules microscopiques dont ils font leur unique nourriture.
Extrait de (Jules Verne, Le Pays des fourrures, 1873).
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