- eidge 54Membre du Forum
- Date d'inscription : 11/04/2013
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Les différents Discus sauvages & variétés hybrides
2013-07-29, 9:38 am
Bonjour à vous,
La saga aquariophile continue sur les variétés chromatiques du Discus, etc…
♂♂Horde Heroini Cichlasomatine. ♀♀
PRESENTATION 4.
Cette dissimilitude est sans analogue dans le reste du monde.
Origine biochimique, origine physique, compréhension de la couleur
Des souches sauvages aux variétés hybrides.
Les variétés chromatiques des Symphysodons :
Classification phylogénétique. Téléostéens là se situe les discus.
Classification scientifique. Uni: Animalia. Embranchement: Chordata.
Classe: Actinoptérygiens. Sous-famille Neopterygiens. Famille: Cichlidae.
Sous-famille: Cichlasomatinae. Tribu: Heroini. Genre: Symphysodon.
Ordre: Perciformes. Infra-classe : Teleostei.
Dans le labyrinthe des souches de Symphysodons en passant par les variétés hybrides, Il n’y a que quelques maniements. Dame nature fait-elle si mal les Symphysodons pour qu’il nous faille à ce point les métamorphoser ? ? . Bon cela ne va pas être facile de vous portraiturer les différentes variétés.
Les Discus (Symphysodon) forment un genre de poissons d'eau douce de la famille des Cichlidae. Il regroupe trois espèces: le (Symphysodon Discus) appelé communément Discus de Heckel , le (Symphysodon aequifasciatus) qui regroupe aussi deux variétés (Haraldi (bleu) et axelrodi (brun)) c'est ce Discus là qui a donné les premier Discus d'élevage dont les Discus turquoises, les pigeon Blood, Marlboro etc..... appelé communément Discus commun et le dernier c'est le (Symphysodon tarzoo) appelé communément Discus vert. Ce sont des espèces populaires en aquarium.
(Source extrait Wikipédia).
Mais voyons sous d’autres latitudes les différences.
Les variétés chromatiques du Discus :
Le Discus fait partie de ces espèces où la classification présente une difficulté certaine. Afin de parler le même langage en évitant au maximum les confusions, on peut dégager trois principaux modes de classement. Le premier, tient compte de la classification scientifique du poisson, intégrant le nombre d’écailles, le nombre d’ouvertures nasales, la répartition géographique, etc.
On distingue le Discus de Heckel (Symphysodon Discus Discus) décrit pour la première fois en 1840 et le Symphysodon Discus Willischwartzi décrit par Burgess en 1981. Mais les débats sont encore d’actualité concernant la taxinomie, notamment pour les Symphysodon Tarzoo et le Symphysodon Haraldi. Pour être le plus complet possible on notera donc les appellations scientifiques suivantes comme étant les plus courantes :
Symphysodon Discus – Heckel, Symphysodon aequifasciatus – Pellegrin,
Symphysodon aequifasciatus aequifasciatus, Symphysodon aequifasciatus Axelrodi – Schultz
Symphysodon aequifasciatus Haraldi – Schultz.
Les appellations commerciales sèment aussi le trouble dans la tentative d’uniformiser la classification des Discus. On trouvera du Ring Léopard ou du Léopard Circle qui ont pourtant les mêmes caractéristiques. Il en est de même pour les sauvages, les appellations sont initialement données en fonction du lieu de pêche mais dans le but de ne pas divulguer les rios poissonneux, celles-ci sont volontairement faussées.(pour info, cela s’avère une réalité sur les films que je produis, et l’explication et des plus simple à comprendre ,revenir l’année suivante sur un même rio, et ne rien retrouver, je ne porte la aucune accusation, mais la nature nous réserve des surprises, que nous prenons des réserves).
Une autres méthode, grand public et utilisée en concours, consiste à discerner la notion de sous espèces de la notion de variété chromatique, on considère alors les patrons de coloration et les dessins. C’est celle-ci que nous allons développer sur la base des catégories du Concours International de Duisbourg. (Allemagne) Entre-autre, elle est valable pour les concours asiatique.( Singapour).
Catégorie Heckel : Discus Heckel
Cette variété se caractérise par la présence marquée de certaines barres verticales. La 1ère barre se situe au niveau de l’œil, la plus évidente est la 5ème barre verticale souvent plus large et très marquée et pour finir, la 9e barre, à la base du pédoncule caudal. Son patron de coloration est vermiculé de bleu pâle et de brun très clair. Il existe des Heckel Blue Face qui présentent une forte pigmentation bleu sur la région céphalique et les opercules. Ces derniers sont très recherchés par les amateurs.
Catégorie Brun : Discus Santarem
Comme son nom l’indique, le patron de coloration est à base de brun tirant vers le rouge. On trouve de magnifiques formes sauvages présentant quelques vermicules sur la face ainsi qu’une collerette noire bien marqué surmontée d’un liseré rouge.
Catégorie Bleu : Discus Royal :
Cette catégorie regroupe les Discus de type « Royal » dont la base bleu est striée de vermicules brun rouge.
Catégorie Vert : Les Coari, les Téfé :
Les Coari et autres Téfé ont pour particularité de présenter, sur leurs flancs, une couleur vert tirant parfois vers le jaunâtre. Les plus beaux spécimens sont couverts de petits points rouges, on les nomme alors « verts à points rouges »
Catégorie Turquoise vermiculés : Discus Turquoise :
De base bleu et présentant des stries rouges, les turquoises vermiculés sont parmi les souches qui ont été les plus développées sur le plan de l’élevage. Les Allemands, mais aussi les asiatiques, ont affiné les croissances et les croisements pour en obtenir une grande quantité de variantes chromatiques. Ainsi on peut trouver les fameux turquoises du Dr. Schmidt Focke ou encore le Réflexion D qui a participé en partie à la reconnaissance de Ng. Wayne.
Catégorie Turquoise uni :
Les turquoises unis ont pour particularité de ne présenter aucune vermicules sur leur corps uniformément bleu. Leur œil bronze ou rouge cerise contraste alors très fortement à l’image des Blue Diamond.
Catégorie Rouge uni : Discus Marlboro :
Dans cette catégorie nous trouverons bien souvent des Red Cover, des San Merah et des Marlboro. Leur corps est presque entièrement rouge, seule la tête reste encore parfois incolore ou bleu pâle.
Catégorie Turquoise rouge :
Dans cette catégorie nous trouverons bien souvent des Red Cover, des San Merah et des Marlboro. Leur corps est presque entièrement rouge, seule la tête reste encore parfois incolore ou bleu pâle.
Catégorie Open uni: Discus Blanc :
Cette catégorie récente regroupe des variétés telles que les Snow White, Yellow Cristal, Pigeon Silver, etc… Ces appellations commerciales présentent des Discus à la couleur presque entièrement uni jaune, blanc ou bleu argenté.
Catégorie Open rouge pointé: Discus Spotted Pigeon
Plusieurs sortes de Discus pointés sont exhibées dans cette catégorie. Souvent, la base Snake est présente dans les gènes de ces poissons permettant l’apparition d’un pointage rouge plus fin. On y trouve des Léopards Snake Skin, des White Léopard, des White Eruption, mais aussi des Pigeon Red Spotted.
Catégorie Pigeon Blood : Discus Pigeon Blood :
Cette catégorie regroupe tous les Pigeon Blood. Le patron de coloration peut varier de l’orange clair (quasi jaune) au rouge soutenu. Il peut présenter des vermicules ou des points blancs, ou bleus clairs, avec des tailles ou des motifs divers.
Catégorie Rouge pointé : Discus Full red spotted :
Des points rouges sur un corps de base bleu plus ou moins clair font la particularité de cette catégorie. Les Full Red Spotted dont les points sont également présents sur les opercules et ont été très appréciés lors des derniers concours.
De retour des derniers championnats de Singapour, La demande aquariophile en la matière évolue, les couleurs les plus vives ainsi que les variétés issues de l’hybridation sont les plus vendues. Il reste cependant un bon nombre d’amateurs avertis qui ne jure que par les Discus sauvages.
Il faut plonger dans cet univers aquariophile asiatique pour comprendre le niveau de la compétition. Nous autres français sommes loin derrière tous les pays présent à cette manifestation.
Nous avions retrouvé des figures biens connus du monde aquariophile comme l’éleveur Wayne Ng que je ne vous présente plus, ou encore Andrew Soh et le juge international Cüneyt Birol !.Kuo Yun Kuan avec sa casquette à l’envers, des éleveurs comme martin Ng, et Ruslan Galeev de l’Ouzbékistan, mais aussi le grand éleveur iranien Momeni loin devant les Francais.puis des éleveurs moins connus comme Michaël Pikis de Grèce, mais aussi des clubs et des sociétés aquariophiles comme Legend aquarium de Hong Kong qui rafle bon nombres de prix ici en Asie.et je pense à Goh Eng Khoon de Malaisie, Colin Heng/Ivan Seah de Singapour, Yip Wai Cheong de Malaisie, Jason Wu des pays bas, Terence Chia et Andy Hwang de Singapour, Sunny Yap de Malaisie, la société angelfish des états unis, Brian Rowland. Mais je n’ai pas oublié notre trouble-fête, vous l’aurez remarqué, Tony tan et son IP Discus qui remporte avec ses partenaires une douzaine de trophées par concours quand cela ne lui arrive pas de venir en Europe a Duisburg ! Donc le niveau était très haut.je n’ai pas vu Heiko Bleher que je ne vous présente pas non plus, pourtant nous fréquentons les mêmes endroits en amazonie.
En Asie, il faut savoir que chaque éleveur dispose de plusieurs spécimens sauvages pour apporter du sang neuf, et ainsi éviter la détérioration du patrimoine génétique de ses Discus.
Les cichlidés font partie des plus beaux poissons. Leurs couleurs n'ont souvent rien à envier à ce qui est, sans doute, le "must" dans le domaine: Les poissons coralliens.
Qu’ils s’agissent de poissons coralliens, de cichlidés ou autres, les couleurs des poissons ont une double origine:
Une origine biochimique: liée à la présence de pigments dans le derme, on parle ici de coloration pigmentaire.
Une origine physique: on parle ici de coloration structurale due à des phénomènes physiques lumineux d'interférence, de diffraction, de diffusion.
Les 2 premiers phénomènes physiques, rendent comptent des couleurs irisées (arc en ciel) qui varient selon l’angle sous lequel on regarde l’animal. La couleur irisée est due à l’interférence de la lumière réfléchie par les 2 faces d’une couche de faible épaisseur, ici les nageoires des poissons (mais aussi pour les ailes des libellules).
La diffusion de la lumière à travers des milieux troubles (colloïdes) est responsable de coloration bleue non irisée, ne variant pas selon l'angle d'incidence (Effet dit de Tyndall). Ici les rayonnements de faible longueur d'onde (bleu) sont réfléchis, alors que les rayonnements « plus long » (rouge, jaune) traversent le milieu. Cet effet responsable de la coloration bleu du ciel, se rencontre chez les poissons grâce à la présence chez ces derniers de particules (microcristaux de guanine : cf. loin) au niveau du derme.
C'est la superposition des colorations pigmentaires et structurales qui rend compte de la grande variété possible de la couleur des cichlidés. Par exemple l'association d'un pigment jaune et d'un effet Tyndall sera responsable d'une coloration verte.
Les différentes couleurs
Elles sont liées à la présence dans le derme de "cellules de la coloration": les chromatophores qui sont de 2 types.
Les bio-chromes : qui contiennent des pigments
Les schemochromes : responsables de la « couleur structurale » de type « effet Tyndall ».
Le noir (ou brun foncé) :
Dépend de la présence de mélanophores contenant un pigment noir, la mélanine qui est synthétisée à partir de la tyrosine (acide aminé).
Le rouge et le jaune:
Sont aussi des couleurs pigmentaires dues à la présence de caroténoïdes (dans les érythrophores) et de xanthoptéridines (dans les anthophores).
Il faut noter que ces pigments rouges et jaunes peuvent coexister au sein d'un même chromatophore (érythrophores ou anthophores). (Mills, et al. 2009).
Si les xanthoptéridines peuvent être synthétisées par le poisson, les caroténoïdes ont une origine uniquement exogène et sont apportés par l'alimentation.
Le bleu:
Chez de rares poissons (poissons discus) existe un pigment bleu contenu dans des bio chromes (cyanophores), ce pigment est très rare chez les vertébrés et n'est sans doute pas à l'origine de la coloration bleue des cichlidés.
Le bleu « pétant » de nos protégés est une couleur structurale (effet Tyndall). Ceci grâce à la présence de schemochromes du derme (les iridophores). Les iridophores sont des cellules contenant des petites plaquettes constituées le plus souvent de microcristaux de guanine (base azotée rentrant en particulier dans la composition de l'ADN). La couleur bleue est obtenue par diffusion de la lumière à travers le milieu ainsi constitué. Les rayonnements rouges et jaunes traversent le milieu, alors que les rayonnements de faible longueur d'onde (bleus) sont réfléchis.
Les belles couleurs sont faites pour être vues
Le monde des cichlidophiles est parfois surprenant, certains ne jurent que par les Symphysodons, d'autres ne voient dans les sauvages du Nhamundã que des poissons jaunes et bleus et sont des inconditionnels des rios voir de l’amazone. Personnellement je ne limiterai pas les Discus poissons jaunes et bleus, il y a aussi de jolis bruns. Mais il est probable qu'il y ait plus de poissons « rouges » ou « verts » dans les lacs en remontant les différends, rios de l’amazone.
Ceci tient sans doute à la nature du milieu qui diffère dans les eaux, où en particulier la qualité de l'eau n'est pas la même.
L'eau du Tapajos est très claire et laisse passer facilement la lumière sur une bonne Profondeur, et la synthèse est le développement d’un plancton abondant. Le Nhamundã au contraire a une eau dont la turbidité limite assez vite la pénétration de la lumière. Il est donc encore ici question de la longueur d'onde du spectre lumineux, schématiquement : Dans le Tapajos les ondes de courte longueur « passent » (bleu). Dans le Nhamundã elles sont vite absorbées par les particules en suspension alors que les plus longues continuent à « pénétrer » le milieu sur une plus grande profondeur.
Des études sur la vision des cichlidés semblent confirmer que la sensibilité visuelle des cichlidés du Tapajos est plus marquée pour les longueurs d'ondes longues (rouge, vert), à l'inverse des cichlidés du Nhamundã pour lesquels la sensibilité visuelle est plus marquée pour les longueurs faibles (bleu, jaune). (Carleton, et al.)
Il est même possible que certains Discus i voient les UV et aient développés une vision tétra chromatique (UV, bleu, jaune, rouge).
Dans ces eaux les cichlidés ont sélectionné un moyen (gènes) leur permettant de s'adapter à leur milieu, en privilégiant au niveau des cônes rétiniens des récepteurs lumineux (pigmentaires) sensibles à la qualité de la lumière présente..
Chromatophore : cellules cutanées responsables des changements de couleur chez certains poissons et mollusques. Du grec khrôma="couleur" et pherein="porter" .
Voilà une vue exhalée de notre Discus alors n’hésitez pas à regarder, observer, épier, bigler, estimer, reluquer, fixer, guigner, scruter, toiser, lorgner, mater, voir, mirer, zieuter etc…après toutes ses définitions, vous n’aurez plus d’excuses pour admirer de vos protégés, et éventuellement prendre des décisions parfois lourdes de conséquences !!!.
Fin de la 4 ème partie : Eidge 54.
Conclusion :
Un rendez-vous que je ne manquerai. L’appel de l’Amazonie, qui me demande de venir aussi souvent que je le peux, pour l’observation des Symphysodons dans leur milieu naturel, de ses prédateurs, et du biotope, de ses odeurs boisées, de cette grandeur, de cette immensité que représente l’Amazonie. Cette synthèse est possible grâce à l’observation et a des recoupements d’informations en temps voulus.je ne m’approprie pas tout le travail fait en amont, source la pirogue, les formulations de critiques en Europe vont bon train. Je reste confiant pour la plus grande satisfaction d’un aquariophile responsable.
Rappel à la loi, elle est pourtant simple !!!.
L214-1. Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.
Dame nature a colonisé pratiquement l'ensemble des territoires et des biotopes de la planète. Il en est des poissons comme des autres espèces et ils se sont adaptés à l'ensemble des biotopes disponibles.
Ce qu'il faut retenir, c'est que ces adaptations ne doivent rien au hasard et qu'elles répondent à un impératif de survie. Selon les lois de Darwin, les espèces se modifient par la pression du milieu vers une sélection des sujets les plus aptes à vivre dans les conditions locales.
Pour l'aquariophile, ces poissons ont besoins de retrouver les mêmes conditions de milieu sous peine de disparaître. Le marché aquariophile a des influences sur les poissons que l'on trouve dans les magasins. Le mercantilisme acharné produit des aberrations commerciales. Alors de l’indulgence pour respecter les donner paramétriques et les caractéristiques de nos Symphysodons.
Remerciements:
Pour l’hébergement, les sorties, l’assistance sur place, les repérées, les balades, les échappées, les escapades, les découvertes, les expéditions en amazonie, dans la région du para, sur le Tapajos, Allenquer mais aussi sur le Nhamundã, puis plus loin avec le selva viva et le rio Napo, etc…. mais également en Asie, Kuala Lumpur, Penang, Singapour, Malaisie, Thaïlande, Bangkok, visite des plus grandes et plus belles fermes de Discus du monde.
Ces informations ne sont pas dues aux hasards, mais à la persévérance, l’opiniâtreté, l’obstination, la ténacité, des aquariophiles aventureux voulant comprendre sur le biotope, la vie des Symphysodons ou nous percevons quelques brides de sa vie. Une expérience enrichissante, et pleine de danger et d’imprévu. Notre quête est une goutte d’eau dans l’immensité que représente l’amazone.
Remerciements :
Avec mes respects pour les baroudeurs que nous avons précédés et suivis.
William G. R. Crampton
Qui a effectué des recherches dans la fin des années 90, et qui travaillait plus particulièrement sur les signaux électriques en zone Neotropical.
Merci pour la base de cet écrit http://www.lapirogue.fr/art-fiches-varietes-discus.html
H back, C Isabet, qui sont mes compagnons pour la prochaine expédition et qui veille sur moi.
H back, C Isabet, J. Albert, H. Bleher, T. Hrbek, E. Huusela, H. López Fernandez, R. Lowe-McConnell, J. Prêt, T. Silva, et S. Willis ont partagé leurs idées. Pour assistance sur le terrain Je remercie J. Alves de Oliveira et S. Esashika. C. Paxton a fourni des conseils statistiques. J.-Celso Malte identifié B. cichlae. Financement et soutien ont été fournis par l'Institut Mamirauá, Conselho Nacional de Desenvolvimento Tecnológico e Científico (CNPq) (subventions 380602/96, 2/381597/97-0), le Département britannique pour le développement international. Financement au cours de la phase d'écriture a été fournie par la National Science subvention de la Fondation DEB-0614334.Collecte a été autorisée par un permis, y compris IBAMA 0492/99-12. s Soins aux animaux est conforme aux directives du CNPq.
Ouvrages et articles cités :
Revue scientifique proceedings of the society.
References:
Catalogue ichthyologique | California Academy of Sciences | Version 2012 |
research.calacademy.org/research/ichthyology/catalog/fishcatmain.asp.
Benedito-Cecilio, E., CARM Araujo-Lima, BR Forsberg, MM Bittencourt & LA Martinelli. 2000. Les sources de carbone de la pêche en Amazonie. Gestion des pêches et de l'écologie, 7:305-314. http://www.passeportsante.net
Araujo-Lima, CARM, B. Forsberg, R. Victoria & L. Martinelli. 1986. Les sources d'énergie pour les poissons détritivores dans l'Amazone. Science, 234:1256-1258.
Bagenal, la tuberculose et le FW Tesch. 1978. Âge et de la croissance. Pp. 101-136. Dans: Bagenal, T (Ed.).Méthodes d'évaluation de la production de poisson en eau douce. Oxford, Blackwell Scientific Publications.
Araujo-Lima, CARM & M Goulding. 1997. Si fécond un poisson: l'écologie, la conservation et de l'Aquaculture du Tambaqui de l'Amazonie. New York, Columbia University Press.
Ayres, JM 1993. Comme Matas de Várzea do Mamirauá - Médio Solimões Rio. Brasília, au Brésil, Sociedade Civil Mamirauá / CNPq.
Références externes : Sur les autres projets Wikipédia :
Symphysodon, sur Wikipédia Commons Symphysodon, sur Wikispecies
Un ouvrage de référence, thèse vétérinaire : SYMPHYSODON : MERVEILLEUX DISCUS
Référence Catalogue of Life : Symphysodon (en) (consulté le 10 sept. 2012)
Bleher, H. 2006. Bleher de discussion. Volume I. Pavie, en Italie, Aquapress.
Référence Fish Base : liste des espèces du genre Symphysodon(en)(site miroir)
Référence Animal Diversity Web : Symphysodon (en) (consulté le 10 sept. 2012)
Référence ITIS : Symphysodon Heckel, 1840 (Fr) (+ version anglaise (en))
Référence World Register of Marine Species : taxon Symphysodon (en)
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=de&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.flmnh.ufl.edu%2Fgymnotus%2Fwillcrampton.htm.
hthttp://www.tendancemag.com/conseil-sante/720/Nutrition/Petit-pois--excellente-source-de-tamines.htmltp://fr.wikipedia.org/wiki/Crevette.
http://www.association-discus-passion.com/forum/viewtopic.php?f=4&t=9605 http://www.aqua-nat.org/html/discus.html#caractmer.
http://www.eau-loire-bretagne. fr/espace éducatif/outils pédagogiques/éducateurs et enseignants/CP1 LD.pdf.
http://aqua.net.free.fr/contenu/poissons/ac poissons.html http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/67166.htm .
Département de biologie, University of Central Florida, PO Box 162368.Orlando, FL, 32816, États-Unis.
Documentations et articles de bases sur internet via la toile William G. R. Crampton:
Pour éviter toutes sortes de récriminations je puise mes sources sur (lr 54 et internet).
Source internet, esprit amazone http://espritamazone.e-monsite.com.
Merci de sursauter à cet article, et de réagir.
A plus Aquariophilement Eidge 54.
PRESENTATION 4.
Cette dissimilitude est sans analogue dans le reste du monde.
Origine biochimique, origine physique, compréhension de la couleur
Des souches sauvages aux variétés hybrides.
Les variétés chromatiques des Symphysodons :
Classification phylogénétique. Téléostéens là se situe les discus.
Classification scientifique. Uni: Animalia. Embranchement: Chordata.
Classe: Actinoptérygiens. Sous-famille Neopterygiens. Famille: Cichlidae.
Sous-famille: Cichlasomatinae. Tribu: Heroini. Genre: Symphysodon.
Ordre: Perciformes. Infra-classe : Teleostei.
Dans le labyrinthe des souches de Symphysodons en passant par les variétés hybrides, Il n’y a que quelques maniements. Dame nature fait-elle si mal les Symphysodons pour qu’il nous faille à ce point les métamorphoser ? ? . Bon cela ne va pas être facile de vous portraiturer les différentes variétés.
Les Discus (Symphysodon) forment un genre de poissons d'eau douce de la famille des Cichlidae. Il regroupe trois espèces: le (Symphysodon Discus) appelé communément Discus de Heckel , le (Symphysodon aequifasciatus) qui regroupe aussi deux variétés (Haraldi (bleu) et axelrodi (brun)) c'est ce Discus là qui a donné les premier Discus d'élevage dont les Discus turquoises, les pigeon Blood, Marlboro etc..... appelé communément Discus commun et le dernier c'est le (Symphysodon tarzoo) appelé communément Discus vert. Ce sont des espèces populaires en aquarium.
(Source extrait Wikipédia).
Mais voyons sous d’autres latitudes les différences.
Les variétés chromatiques du Discus :
Le Discus fait partie de ces espèces où la classification présente une difficulté certaine. Afin de parler le même langage en évitant au maximum les confusions, on peut dégager trois principaux modes de classement. Le premier, tient compte de la classification scientifique du poisson, intégrant le nombre d’écailles, le nombre d’ouvertures nasales, la répartition géographique, etc.
On distingue le Discus de Heckel (Symphysodon Discus Discus) décrit pour la première fois en 1840 et le Symphysodon Discus Willischwartzi décrit par Burgess en 1981. Mais les débats sont encore d’actualité concernant la taxinomie, notamment pour les Symphysodon Tarzoo et le Symphysodon Haraldi. Pour être le plus complet possible on notera donc les appellations scientifiques suivantes comme étant les plus courantes :
Symphysodon Discus – Heckel, Symphysodon aequifasciatus – Pellegrin,
Symphysodon aequifasciatus aequifasciatus, Symphysodon aequifasciatus Axelrodi – Schultz
Symphysodon aequifasciatus Haraldi – Schultz.
Les appellations commerciales sèment aussi le trouble dans la tentative d’uniformiser la classification des Discus. On trouvera du Ring Léopard ou du Léopard Circle qui ont pourtant les mêmes caractéristiques. Il en est de même pour les sauvages, les appellations sont initialement données en fonction du lieu de pêche mais dans le but de ne pas divulguer les rios poissonneux, celles-ci sont volontairement faussées.(pour info, cela s’avère une réalité sur les films que je produis, et l’explication et des plus simple à comprendre ,revenir l’année suivante sur un même rio, et ne rien retrouver, je ne porte la aucune accusation, mais la nature nous réserve des surprises, que nous prenons des réserves).
Une autres méthode, grand public et utilisée en concours, consiste à discerner la notion de sous espèces de la notion de variété chromatique, on considère alors les patrons de coloration et les dessins. C’est celle-ci que nous allons développer sur la base des catégories du Concours International de Duisbourg. (Allemagne) Entre-autre, elle est valable pour les concours asiatique.( Singapour).
Catégorie Heckel : Discus Heckel
Cette variété se caractérise par la présence marquée de certaines barres verticales. La 1ère barre se situe au niveau de l’œil, la plus évidente est la 5ème barre verticale souvent plus large et très marquée et pour finir, la 9e barre, à la base du pédoncule caudal. Son patron de coloration est vermiculé de bleu pâle et de brun très clair. Il existe des Heckel Blue Face qui présentent une forte pigmentation bleu sur la région céphalique et les opercules. Ces derniers sont très recherchés par les amateurs.
Catégorie Brun : Discus Santarem
Comme son nom l’indique, le patron de coloration est à base de brun tirant vers le rouge. On trouve de magnifiques formes sauvages présentant quelques vermicules sur la face ainsi qu’une collerette noire bien marqué surmontée d’un liseré rouge.
Catégorie Bleu : Discus Royal :
Cette catégorie regroupe les Discus de type « Royal » dont la base bleu est striée de vermicules brun rouge.
Catégorie Vert : Les Coari, les Téfé :
Les Coari et autres Téfé ont pour particularité de présenter, sur leurs flancs, une couleur vert tirant parfois vers le jaunâtre. Les plus beaux spécimens sont couverts de petits points rouges, on les nomme alors « verts à points rouges »
Catégorie Turquoise vermiculés : Discus Turquoise :
De base bleu et présentant des stries rouges, les turquoises vermiculés sont parmi les souches qui ont été les plus développées sur le plan de l’élevage. Les Allemands, mais aussi les asiatiques, ont affiné les croissances et les croisements pour en obtenir une grande quantité de variantes chromatiques. Ainsi on peut trouver les fameux turquoises du Dr. Schmidt Focke ou encore le Réflexion D qui a participé en partie à la reconnaissance de Ng. Wayne.
Catégorie Turquoise uni :
Les turquoises unis ont pour particularité de ne présenter aucune vermicules sur leur corps uniformément bleu. Leur œil bronze ou rouge cerise contraste alors très fortement à l’image des Blue Diamond.
Catégorie Rouge uni : Discus Marlboro :
Dans cette catégorie nous trouverons bien souvent des Red Cover, des San Merah et des Marlboro. Leur corps est presque entièrement rouge, seule la tête reste encore parfois incolore ou bleu pâle.
Catégorie Turquoise rouge :
Dans cette catégorie nous trouverons bien souvent des Red Cover, des San Merah et des Marlboro. Leur corps est presque entièrement rouge, seule la tête reste encore parfois incolore ou bleu pâle.
Catégorie Open uni: Discus Blanc :
Cette catégorie récente regroupe des variétés telles que les Snow White, Yellow Cristal, Pigeon Silver, etc… Ces appellations commerciales présentent des Discus à la couleur presque entièrement uni jaune, blanc ou bleu argenté.
Catégorie Open rouge pointé: Discus Spotted Pigeon
Plusieurs sortes de Discus pointés sont exhibées dans cette catégorie. Souvent, la base Snake est présente dans les gènes de ces poissons permettant l’apparition d’un pointage rouge plus fin. On y trouve des Léopards Snake Skin, des White Léopard, des White Eruption, mais aussi des Pigeon Red Spotted.
Catégorie Pigeon Blood : Discus Pigeon Blood :
Cette catégorie regroupe tous les Pigeon Blood. Le patron de coloration peut varier de l’orange clair (quasi jaune) au rouge soutenu. Il peut présenter des vermicules ou des points blancs, ou bleus clairs, avec des tailles ou des motifs divers.
Catégorie Rouge pointé : Discus Full red spotted :
Des points rouges sur un corps de base bleu plus ou moins clair font la particularité de cette catégorie. Les Full Red Spotted dont les points sont également présents sur les opercules et ont été très appréciés lors des derniers concours.
De retour des derniers championnats de Singapour, La demande aquariophile en la matière évolue, les couleurs les plus vives ainsi que les variétés issues de l’hybridation sont les plus vendues. Il reste cependant un bon nombre d’amateurs avertis qui ne jure que par les Discus sauvages.
Il faut plonger dans cet univers aquariophile asiatique pour comprendre le niveau de la compétition. Nous autres français sommes loin derrière tous les pays présent à cette manifestation.
Nous avions retrouvé des figures biens connus du monde aquariophile comme l’éleveur Wayne Ng que je ne vous présente plus, ou encore Andrew Soh et le juge international Cüneyt Birol !.Kuo Yun Kuan avec sa casquette à l’envers, des éleveurs comme martin Ng, et Ruslan Galeev de l’Ouzbékistan, mais aussi le grand éleveur iranien Momeni loin devant les Francais.puis des éleveurs moins connus comme Michaël Pikis de Grèce, mais aussi des clubs et des sociétés aquariophiles comme Legend aquarium de Hong Kong qui rafle bon nombres de prix ici en Asie.et je pense à Goh Eng Khoon de Malaisie, Colin Heng/Ivan Seah de Singapour, Yip Wai Cheong de Malaisie, Jason Wu des pays bas, Terence Chia et Andy Hwang de Singapour, Sunny Yap de Malaisie, la société angelfish des états unis, Brian Rowland. Mais je n’ai pas oublié notre trouble-fête, vous l’aurez remarqué, Tony tan et son IP Discus qui remporte avec ses partenaires une douzaine de trophées par concours quand cela ne lui arrive pas de venir en Europe a Duisburg ! Donc le niveau était très haut.je n’ai pas vu Heiko Bleher que je ne vous présente pas non plus, pourtant nous fréquentons les mêmes endroits en amazonie.
En Asie, il faut savoir que chaque éleveur dispose de plusieurs spécimens sauvages pour apporter du sang neuf, et ainsi éviter la détérioration du patrimoine génétique de ses Discus.
Les cichlidés font partie des plus beaux poissons. Leurs couleurs n'ont souvent rien à envier à ce qui est, sans doute, le "must" dans le domaine: Les poissons coralliens.
Qu’ils s’agissent de poissons coralliens, de cichlidés ou autres, les couleurs des poissons ont une double origine:
Une origine biochimique: liée à la présence de pigments dans le derme, on parle ici de coloration pigmentaire.
Une origine physique: on parle ici de coloration structurale due à des phénomènes physiques lumineux d'interférence, de diffraction, de diffusion.
Les 2 premiers phénomènes physiques, rendent comptent des couleurs irisées (arc en ciel) qui varient selon l’angle sous lequel on regarde l’animal. La couleur irisée est due à l’interférence de la lumière réfléchie par les 2 faces d’une couche de faible épaisseur, ici les nageoires des poissons (mais aussi pour les ailes des libellules).
La diffusion de la lumière à travers des milieux troubles (colloïdes) est responsable de coloration bleue non irisée, ne variant pas selon l'angle d'incidence (Effet dit de Tyndall). Ici les rayonnements de faible longueur d'onde (bleu) sont réfléchis, alors que les rayonnements « plus long » (rouge, jaune) traversent le milieu. Cet effet responsable de la coloration bleu du ciel, se rencontre chez les poissons grâce à la présence chez ces derniers de particules (microcristaux de guanine : cf. loin) au niveau du derme.
C'est la superposition des colorations pigmentaires et structurales qui rend compte de la grande variété possible de la couleur des cichlidés. Par exemple l'association d'un pigment jaune et d'un effet Tyndall sera responsable d'une coloration verte.
Les différentes couleurs
Elles sont liées à la présence dans le derme de "cellules de la coloration": les chromatophores qui sont de 2 types.
Les bio-chromes : qui contiennent des pigments
Les schemochromes : responsables de la « couleur structurale » de type « effet Tyndall ».
Le noir (ou brun foncé) :
Dépend de la présence de mélanophores contenant un pigment noir, la mélanine qui est synthétisée à partir de la tyrosine (acide aminé).
Le rouge et le jaune:
Sont aussi des couleurs pigmentaires dues à la présence de caroténoïdes (dans les érythrophores) et de xanthoptéridines (dans les anthophores).
Il faut noter que ces pigments rouges et jaunes peuvent coexister au sein d'un même chromatophore (érythrophores ou anthophores). (Mills, et al. 2009).
Si les xanthoptéridines peuvent être synthétisées par le poisson, les caroténoïdes ont une origine uniquement exogène et sont apportés par l'alimentation.
Le bleu:
Chez de rares poissons (poissons discus) existe un pigment bleu contenu dans des bio chromes (cyanophores), ce pigment est très rare chez les vertébrés et n'est sans doute pas à l'origine de la coloration bleue des cichlidés.
Le bleu « pétant » de nos protégés est une couleur structurale (effet Tyndall). Ceci grâce à la présence de schemochromes du derme (les iridophores). Les iridophores sont des cellules contenant des petites plaquettes constituées le plus souvent de microcristaux de guanine (base azotée rentrant en particulier dans la composition de l'ADN). La couleur bleue est obtenue par diffusion de la lumière à travers le milieu ainsi constitué. Les rayonnements rouges et jaunes traversent le milieu, alors que les rayonnements de faible longueur d'onde (bleus) sont réfléchis.
Les belles couleurs sont faites pour être vues
Le monde des cichlidophiles est parfois surprenant, certains ne jurent que par les Symphysodons, d'autres ne voient dans les sauvages du Nhamundã que des poissons jaunes et bleus et sont des inconditionnels des rios voir de l’amazone. Personnellement je ne limiterai pas les Discus poissons jaunes et bleus, il y a aussi de jolis bruns. Mais il est probable qu'il y ait plus de poissons « rouges » ou « verts » dans les lacs en remontant les différends, rios de l’amazone.
Ceci tient sans doute à la nature du milieu qui diffère dans les eaux, où en particulier la qualité de l'eau n'est pas la même.
L'eau du Tapajos est très claire et laisse passer facilement la lumière sur une bonne Profondeur, et la synthèse est le développement d’un plancton abondant. Le Nhamundã au contraire a une eau dont la turbidité limite assez vite la pénétration de la lumière. Il est donc encore ici question de la longueur d'onde du spectre lumineux, schématiquement : Dans le Tapajos les ondes de courte longueur « passent » (bleu). Dans le Nhamundã elles sont vite absorbées par les particules en suspension alors que les plus longues continuent à « pénétrer » le milieu sur une plus grande profondeur.
Des études sur la vision des cichlidés semblent confirmer que la sensibilité visuelle des cichlidés du Tapajos est plus marquée pour les longueurs d'ondes longues (rouge, vert), à l'inverse des cichlidés du Nhamundã pour lesquels la sensibilité visuelle est plus marquée pour les longueurs faibles (bleu, jaune). (Carleton, et al.)
Il est même possible que certains Discus i voient les UV et aient développés une vision tétra chromatique (UV, bleu, jaune, rouge).
Dans ces eaux les cichlidés ont sélectionné un moyen (gènes) leur permettant de s'adapter à leur milieu, en privilégiant au niveau des cônes rétiniens des récepteurs lumineux (pigmentaires) sensibles à la qualité de la lumière présente..
Chromatophore : cellules cutanées responsables des changements de couleur chez certains poissons et mollusques. Du grec khrôma="couleur" et pherein="porter" .
Voilà une vue exhalée de notre Discus alors n’hésitez pas à regarder, observer, épier, bigler, estimer, reluquer, fixer, guigner, scruter, toiser, lorgner, mater, voir, mirer, zieuter etc…après toutes ses définitions, vous n’aurez plus d’excuses pour admirer de vos protégés, et éventuellement prendre des décisions parfois lourdes de conséquences !!!.
Fin de la 4 ème partie : Eidge 54.
Conclusion :
Un rendez-vous que je ne manquerai. L’appel de l’Amazonie, qui me demande de venir aussi souvent que je le peux, pour l’observation des Symphysodons dans leur milieu naturel, de ses prédateurs, et du biotope, de ses odeurs boisées, de cette grandeur, de cette immensité que représente l’Amazonie. Cette synthèse est possible grâce à l’observation et a des recoupements d’informations en temps voulus.je ne m’approprie pas tout le travail fait en amont, source la pirogue, les formulations de critiques en Europe vont bon train. Je reste confiant pour la plus grande satisfaction d’un aquariophile responsable.
Rappel à la loi, elle est pourtant simple !!!.
L214-1. Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.
Dame nature a colonisé pratiquement l'ensemble des territoires et des biotopes de la planète. Il en est des poissons comme des autres espèces et ils se sont adaptés à l'ensemble des biotopes disponibles.
Ce qu'il faut retenir, c'est que ces adaptations ne doivent rien au hasard et qu'elles répondent à un impératif de survie. Selon les lois de Darwin, les espèces se modifient par la pression du milieu vers une sélection des sujets les plus aptes à vivre dans les conditions locales.
Pour l'aquariophile, ces poissons ont besoins de retrouver les mêmes conditions de milieu sous peine de disparaître. Le marché aquariophile a des influences sur les poissons que l'on trouve dans les magasins. Le mercantilisme acharné produit des aberrations commerciales. Alors de l’indulgence pour respecter les donner paramétriques et les caractéristiques de nos Symphysodons.
Remerciements:
Pour l’hébergement, les sorties, l’assistance sur place, les repérées, les balades, les échappées, les escapades, les découvertes, les expéditions en amazonie, dans la région du para, sur le Tapajos, Allenquer mais aussi sur le Nhamundã, puis plus loin avec le selva viva et le rio Napo, etc…. mais également en Asie, Kuala Lumpur, Penang, Singapour, Malaisie, Thaïlande, Bangkok, visite des plus grandes et plus belles fermes de Discus du monde.
Ces informations ne sont pas dues aux hasards, mais à la persévérance, l’opiniâtreté, l’obstination, la ténacité, des aquariophiles aventureux voulant comprendre sur le biotope, la vie des Symphysodons ou nous percevons quelques brides de sa vie. Une expérience enrichissante, et pleine de danger et d’imprévu. Notre quête est une goutte d’eau dans l’immensité que représente l’amazone.
Remerciements :
Avec mes respects pour les baroudeurs que nous avons précédés et suivis.
William G. R. Crampton
Qui a effectué des recherches dans la fin des années 90, et qui travaillait plus particulièrement sur les signaux électriques en zone Neotropical.
Merci pour la base de cet écrit http://www.lapirogue.fr/art-fiches-varietes-discus.html
H back, C Isabet, qui sont mes compagnons pour la prochaine expédition et qui veille sur moi.
H back, C Isabet, J. Albert, H. Bleher, T. Hrbek, E. Huusela, H. López Fernandez, R. Lowe-McConnell, J. Prêt, T. Silva, et S. Willis ont partagé leurs idées. Pour assistance sur le terrain Je remercie J. Alves de Oliveira et S. Esashika. C. Paxton a fourni des conseils statistiques. J.-Celso Malte identifié B. cichlae. Financement et soutien ont été fournis par l'Institut Mamirauá, Conselho Nacional de Desenvolvimento Tecnológico e Científico (CNPq) (subventions 380602/96, 2/381597/97-0), le Département britannique pour le développement international. Financement au cours de la phase d'écriture a été fournie par la National Science subvention de la Fondation DEB-0614334.Collecte a été autorisée par un permis, y compris IBAMA 0492/99-12. s Soins aux animaux est conforme aux directives du CNPq.
Ouvrages et articles cités :
Revue scientifique proceedings of the society.
References:
Catalogue ichthyologique | California Academy of Sciences | Version 2012 |
research.calacademy.org/research/ichthyology/catalog/fishcatmain.asp.
Benedito-Cecilio, E., CARM Araujo-Lima, BR Forsberg, MM Bittencourt & LA Martinelli. 2000. Les sources de carbone de la pêche en Amazonie. Gestion des pêches et de l'écologie, 7:305-314. http://www.passeportsante.net
Araujo-Lima, CARM, B. Forsberg, R. Victoria & L. Martinelli. 1986. Les sources d'énergie pour les poissons détritivores dans l'Amazone. Science, 234:1256-1258.
Bagenal, la tuberculose et le FW Tesch. 1978. Âge et de la croissance. Pp. 101-136. Dans: Bagenal, T (Ed.).Méthodes d'évaluation de la production de poisson en eau douce. Oxford, Blackwell Scientific Publications.
Araujo-Lima, CARM & M Goulding. 1997. Si fécond un poisson: l'écologie, la conservation et de l'Aquaculture du Tambaqui de l'Amazonie. New York, Columbia University Press.
Ayres, JM 1993. Comme Matas de Várzea do Mamirauá - Médio Solimões Rio. Brasília, au Brésil, Sociedade Civil Mamirauá / CNPq.
Références externes : Sur les autres projets Wikipédia :
Symphysodon, sur Wikipédia Commons Symphysodon, sur Wikispecies
Un ouvrage de référence, thèse vétérinaire : SYMPHYSODON : MERVEILLEUX DISCUS
Référence Catalogue of Life : Symphysodon (en) (consulté le 10 sept. 2012)
Bleher, H. 2006. Bleher de discussion. Volume I. Pavie, en Italie, Aquapress.
Référence Fish Base : liste des espèces du genre Symphysodon(en)(site miroir)
Référence Animal Diversity Web : Symphysodon (en) (consulté le 10 sept. 2012)
Référence ITIS : Symphysodon Heckel, 1840 (Fr) (+ version anglaise (en))
Référence World Register of Marine Species : taxon Symphysodon (en)
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=de&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.flmnh.ufl.edu%2Fgymnotus%2Fwillcrampton.htm.
hthttp://www.tendancemag.com/conseil-sante/720/Nutrition/Petit-pois--excellente-source-de-tamines.htmltp://fr.wikipedia.org/wiki/Crevette.
http://www.association-discus-passion.com/forum/viewtopic.php?f=4&t=9605 http://www.aqua-nat.org/html/discus.html#caractmer.
http://www.eau-loire-bretagne. fr/espace éducatif/outils pédagogiques/éducateurs et enseignants/CP1 LD.pdf.
http://aqua.net.free.fr/contenu/poissons/ac poissons.html http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/67166.htm .
Département de biologie, University of Central Florida, PO Box 162368.Orlando, FL, 32816, États-Unis.
Documentations et articles de bases sur internet via la toile William G. R. Crampton:
Pour éviter toutes sortes de récriminations je puise mes sources sur (lr 54 et internet).
Source internet, esprit amazone http://espritamazone.e-monsite.com.
Merci de sursauter à cet article, et de réagir.
A plus Aquariophilement Eidge 54.
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