la disparition des espèces endémiques de l'irian jaya - the disappearance of endemic species of Irian Jaya.

Bonjour aquarist du monde , je viens auprès de vous pour vous informer sur l'avenir des rivières et des lacs de l'irian jaya.

Plusieurs expédition ont révélés l'importance de ce biotope qui n'est en faite qu'une multitude de biotopes différents.

Chaque rivières à presque ça propre diversités parfois celle-ci n'est dû qu'a quelques petits changements d'apparence ou d'adaptation.

L'homme façonne la terre à son image et malheureusement celui-ci ne regarde pas derrière et ne sais prendre du recul.

Alors que peu être dame nature nous à fournis toutes les solutions à nos questions et que simplement par égoïsme et soif de puissance nous supprimons ces solutions.

Dans ce topic je vous ferais découvrir la faune aquatique d'eau douce de l'irian jaya.

Afin d'attirer votre attention, je vous fais part d'une photo d'espèces de poissons qui a peine découvert risque de disparaître.



Melanotaenia fasinensis
Melanotaenia ajamaruensis
Melanotaenia parva

Tous au long de ce topic nous essayerons de vous expliquer le pourquoi et le comment et surtout que pouvons nous faire pour éviter le pire.

Bonjour tout le monde,

Une grande remarque sur le statut de nom de "Irianjaya"
L'Autorité Indonesian avait changé le nom le plus remarquable "Papouasie Occidentale" West Papua.
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La Papouasie (moitié indonésienne de l’ile de Nouvelle-Guinée) abrite plus de la moitié des espèces vivantes répertoriées à ce jour dans tout l’archipel Indo-malais.
Cette région héberge notamment 43 des 76 espèces connus de poissons arc-en-ciel (Melanotaeniidae). Ce groupe de poisson d’ornement est présent dans la plupart des bassins de Nouvelle-Guinée et des iles environnantes ainsi qu’en Australie.
Les Melanotaeniidae se distribuent dans 7 genres. Cinq genres sont représentés sur l’île de Nouvelle Guinée: Chilatherina Regan, 1914, Glossolepis Weber, 1907, Iriatherina Meinken, 1974, Melanotaenia, Gill, 1862 et Pelangia, Allen, 1998. Le genre Melanoatenia est de loin le plus diversifié avec 37 espèces décrites en Nouvelle-Guinée.
Ces poissons caractérisés par une extrême diversité de forme et de coloration sont très recherchés par les aquariophiles et parfois leurs populations sont surexploitées.
L'étude de systématique de ces poissons est ancienne puisque 30 espèces ont été décrites durant la période (1843-1964). C’est l’ichtyologiste australien Gerald R. Allen qui a augmenté significativement nos connaissance sur la diversité de ce groupe avec la découverte de plus de 40 espèces grâce à plusieurs expéditions organisées depuis près de 40 ans.

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Melanotaenia fasinensis est morphologiquement proche de M. ajamaruensis.

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Melanotaenia ajamaruensis a été capturé par Mr. Boeseman durant sa mission en 1955 sur la région de lac Ayamaru. Vingt sept ans après sa mission, cette espèce a décrite par Allen & Cross (1980) à partir des spécimens de Boeseman en collection à Leiden. Aucune référence ne mentionnait avec exactitude la localité type et la coloration des poissons vivants était inconnue. Allen a tenté de retrouver cette espèce sans succès dans son milieu d’origine en 1982 et 1989. Allen a donc considéré que cette espèce était éteinte. La comparaison des spécimens que nous avons capturé sur la rivière Kaliwensi en 2007 comparés en morphologie avec les spécimens types de M. ajamaruensis confirme que nous avons bien redécouvert cette espèce.
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Melanotaenia parva a été décrite par Allen (1990). c’est une espèce endémique du lac de Kurumoi dans la région de Bintuni. Quand nous l’avons visité en juin 2007 et bien qu’en saison des pluies, le lac était presque à sec et en plus il était infesté par l'espèce exotique Oreochromis mossambicus. M. parva a été difficilement capturée, nous l’avons capturé dans un ruisseau de moins d’un mètre de large. On prévoit que le lac Kurumoi sera en vidé dans quelques années (plus de 40m de baisse à partir de son exutoire ce qui entrainera la disparition M. parva.
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Vous pouvez trouver également la presse sur la version en Bahasa Indonesia

Cordialement,
Kadarusman
Sorong, West Papua,
Indonesia

Hello,

Le lac de Kurumoi était presqu'à sec au moment même de la saison des pluies ?

Vraiment toute la Terre est touchée par une "énergétisation" de l'air ambiant; et ne croyez pas que je vous raconte seulement...ce que vous savez déjà: il n'y a pas que la Terre, et ses lacs, ses rivières: le système solaire entier est extrêmement tendu. De Mercure à Pluton on a remarqué parfois un doublement du champ magnétique (comme sur l'immense planète jupiter ! ) ou une disparition des calottes polaires (Mars).

Il faudrait arriver à "créer du froid" ; le naturaliste allemand Viktor Schauberger arrivait à certaines réalisations à ce sujet. Avant la seconde guerre mondiale...
Mais il faut une volonté commune pour remettre à jour ses travaux.

En attendant, on ne compte que les mauvais résultats.
Qui sauvera les melanotaenia de Papouasie ou les dauphins du Mekong ?

Lac kurumoi
-2° 9' 33.90", +134° 5' 15.74"



c'est bien ce lac?

Comment des tilapias se sont retrouvés dans ce lac?

Yes, you have pointed a right Position of Kurumoi Lake,
The Lake has probably infested Tilapia since Netherlands Era.

Kadarusman
Sorong, West Papua

Je me demande vraiment ce qu'on vas laisser à nos enfants et petits enfants...
La planète est en train de changer, non seulement, il y a les changements climatique, mais hier soir, j'ai regardé un documentaire sur le champ magnétique terrestre: Il est en train de diminuer significativement, et des chercheur ont essayé de comprendre: ils se sont aperçu que tous les 300 milles ans, la polarité de la terre s'inversait (le pôle nord au sud, et inversement). Nous entrons dans cette période de changement, du coup le champ magnétique va continuer de baisser, du coup la terre sera de moins en moins protégée contre les radiations solaires,...

Tout ça pour dire que j'espère qu'il n'est pas déjà trop tard pour changer au moins en partie ce que nous être humain faisons subir à notre terre...

oh non se sont mes chouchous!!!!!! lol c'est justement mon souci je ne trouve pas les variétés que je veux.

Merci evan depuis le temps que j'attends un accroc comme toi car notre ami mikelo n'a plus trop le temps de partager mais il reste fidéle à lui même et fait tous pour que les océaniens remontent dans l'estime des aquariophiles français.

Quand on sais que un lac recule de plus de 50 mètres la je tire la sonnette d'alarme

Je suis impatient de voir les photos de tes poissons et de ton aquarium , je tes déplacé le sujet dans le bon endroit ne t'inquiete pas (tu avais mis à la suite du sujet du modèle).

Bye

tyty

c'est vrai que j'ai pas trop le temps de participer en ce moment, mais je surveille toujours ce qu'il se passe sur le forum, du moins ce qui concerne l'Océanie.
Je t'avais déja dit tyty, si tu as besoin de moi sur un sujet, mp moi ou fait moi mp.

Evan, si tu veux des infos sur les melanos, j'ai pas mal de documentation à traduire ou déja traduite. Quelques articles se trouvent ici: http://poisson.oceanie.free.fr
Malheureusement je n'ai pas encore traduit les mélanos. En tout cas je suis toujours dispo en mp

Merci mikelo faut juste que j'arrive à m'organiser et me pauser , mais dés que je peu je te briffe en mp ...

ha oki merci,ben je me penche dessus .

Article de la revue de presse indonésienne
http://sains.kompas.com/read/2011/10/21/09122179/Ilmuwan.Indonesia.Raih.Penghargaan.di.Perancis

Deux scientifiques indonésien récompensé par la France


Deux scientifiques de l'Indonésie qui ont fait leurs études en France ont reçus le le prix de Mahar Award 2011 décerné par la Fondation AFIDES.

Le scientifique Kadarusman et le scientifique Hananto Carey, tous les deux ont terminés leur études à l'Université de Paul Sabatier de Toulouse et de Paris-Est Créteil.

Le prix est décerné depuis 20 ans à des étudiants de doctorat en France dont la recherche est jugé pour avoir une contribution majeure à la science et la technologie.

Jusqu'à présent 48 étudiants ont reçu cette récompense.

Le prix a eu lieu le jeudi (20/10/2011) au Bureau de l'Ambassade de la République d'Indonésie à Paris, assisté par Helen Schutzenberger président de la fondation AFIDES , l'Ambassadeur de la France ainsi que des professeurs de français qui sont membres du comité scientifique.

Selon Hélène Schutzenberger, ces deux étudiants ont fournis une thèse de qualité et l'innovante tout en offrant une solution au problème de la biodiversité, les transports et l'économie de l'Indonésie.

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Thèse du chercheur Kadarusman intitulée "Poisson arc-en-ciel de Papouasie" relations phylogénétiques, systématique et conservation.

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Il a révélé que de nombreuses espèces de poissons arc en ciel sont aujourd'hui menacées, la conservation et la culture sont absolument nécessaire.

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Pendant ce temps, l'étude Hananto intitulé « Mobilité et accessibilité au marché du travail dans les villes en Indonésie ".

Cette étude révèle que si la mobilité des citoyens est fluide, alors le marché du travail va augmenter. Pour cela, le gouvernement a demandé d'améliorer les infrastructures, le transport et les équipements publics pour améliorer l'accès du public au marché du travail.

Hananto Kadarusman et terminera ses études plus tard dans cette année. Après cela, les deux seront de retour à l'Indonésie. Les deux scientifiques sont attendus en indonésie, les résultats des études scientifiques qui ont été tirées en France pourrait être bénéfique pour l'Indonésie.

Superbe lien et vidéos.

En effet il y a une dizaine d'années, on parlait déjà de cette problématique de ces fameux poissons arc en ciel qui se font assez rare dans leur biotope naturel.

Les principaux poissons vendus en aquariophilie étaient d'élevages mais la demande mondiale étant de plus en plus forte, les installations pour faire reproduire ces poissons furent insuffisantes et les pêches de plus en plus nombreuses dans leur habitat naturel.

Pourtant en France, ces poissons sont très peu représentés dans un aquarium, les aquariophiles préférant d'autres espèces dans leurs bacs.
Pourtant ces poissons sont splendides de par leurs couleurs et leur maintenance est plutôt facile.

Je pense qu'il faut développer les fermes de reproduction de ces poissons comme dit la spécialiste dans la vidéo de Tyrano pour pouvoir faire face à la demande de plus en plus croissante des aquariophiles.
Il faut aussi réguler les prélèvements des spécimens sauvages car on ne peut pas se permettre de détruire à petit feu ces magnifiques poissons.

Je suis parfaitement d'accord avec toi sur le fait que les aquariophiles devraient réagir et réfléchir à sauver les biotopes et les espèces menacées quitte à ce que le gouvernement de ce pays bloque les exportations de ces poissons pendant quelques années, je suis pour !

framen a écrit:Superbe lien et vidéos.

En effet il y a une dizaine d'années, on parlait déjà de cette problématique de ces fameux poissons arc en ciel qui se font assez rare dans leur biotope naturel.

Les principaux poissons vendus en aquariophilie étaient d'élevages mais la demande mondiale étant de plus en plus forte, les installations pour faire reproduire ces poissons furent insuffisantes et les pêches de plus en plus nombreuses dans leur habitat naturel.

Navré d'intervenir mais tu fais trop de généralité sur le rainbow fish, car en papouasie occidentale (irian jaya) tu as très peu de complexe d'élevage à cause de la difficulté du terrain, faut faire attention ce qui est dit dans la vidéo car c'est un montage que la scénariste à fait pour mettre la faute sur la demande aquariophile alors que ce n'est pas du tout le cas, le chercheur français parlé d'une généralité et surtout des Scleropages ...

Je suis justement intervenu sur ce forum pour rectifier ce quiproquos : http://www.rainbowfish.info/forum/viewtopic.php?f=29&t=2880

framen a écrit:


Je pense qu'il faut développer les fermes de reproduction de ces poissons comme dit la spécialiste dans la vidéo de Tyrano pour pouvoir faire face à la demande de plus en plus croissante des aquariophiles.

Oui mais il faut aussi prélevé de l'espèces sauvages , car sans cela, le biotope n'a plus aucune valeurs et tu peux voir partout dans le monde le résultat quand un biotope n'a aucun intérêt financier (déforestation massives, pollution lié a urbanisme, barrages ...)

framen a écrit:
Il faut aussi réguler les prélèvements des spécimens sauvages car on ne peut pas se permettre de détruire à petit feu ces magnifiques poissons.

Le marché aquariophile c'est 90% d’élevage et 10% de sauvage , s'intéressé au prélèvement des espèces oui mais c'est du cas par cas qu'il faut faire et non une généralité.

Arrêté le prélèvement sauvage ! C'est indirectement détruire les biotopes, et on s'étonne de voir de plus en plus de biotopes disparaître pour le profit de l'homme. C'est très simple à comprendre si nous leur offrons cette rentabilité et d'autres possibilité pour rapporté plus d’intérêt financier vous verrez qu'il réfléchirons à deux fois avant de détruire un biotope.

AU JOUR D’AUJOURD’HUI , ce n'est pas la demande aquariophile qui détruit les espèces et les biotopes.

framen a écrit:Je suis parfaitement d'accord avec toi sur le fait que les aquariophiles devraient réagir et réfléchir à sauver les biotopes et les espèces menacées quitte à ce que le gouvernement de ce pays bloque les exportations de ces poissons pendant quelques années, je suis pour !

Oui mais un gouvernement ne fera pas ça , l'argent dirige le monde , il faut trouver une solution qui leur conviennent, on ne vas pas faire la guerre à ces gouvernements étranger pour les obligés à respecter leur engagement auprès de la faune et de la flore.

Il faut se mettre à leur place et leur proposer une solution d'échange, maintenant avant de proposer cette solution il faut que la communication fonctionne, que les aquariophiles deviennent des aquariophiles responsables pour ainsi créer d'autres aquariophiles responsables pour que la communauté aquariophile évolue et découvre l'histoire qui se cache derrière le nom d'un poisson.

Au fur à mesure que les aquariophiles découvrirons les biotopes et s'ouvrirons au monde , la communauté internationale pourra comprendre ce qui se passe dans tel biotopes et agir en fonction des intérêts du pays concernés.