- eidge 54Membre du Forum
- Date d'inscription : 11/04/2013
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le kamoboko,cela ne vous dit peut être rien! ! !
2014-08-14, 5:22 pm
bonjour a vous,
sujet d'été sujet de fond,le kamoboko,cela ne vous dit peut être rien!!! mais si vous connaissez,quand je vais approfondir le sujet,vous en consommerez peut-être moins!!!.
Vous pouvez prendre tout ou une partie de ce qui va suivre.
((Le copier/coller est indispensable pour mieux comprendre ce qui va suivre, ho pour mes détracteurs c’est un sujet que j’affectionne particulièrement pour mettre au point un produit similaire, distribuable aux poissons et dont peu d’aquariophiles se servent. Ha ! Si vous consommiez ce produit vous aller revoir votre copie ; L’information passe par la !!)). (Extrait de marc glacone).
Oui, des fois, il faut savoir faire don de soi pour le bien de l’Humanité. De toute l’Humanité.
Aujourd'hui, les français sont les plus grands consommateurs de ....... en Europe.
Etre chef de cuisine et ne pas vous informer de ce qui se fait dans le surimi, pourtant des consommateurs sont souvent invités à donner leur avis auprès des publicitaires (entres autres).
Vous avez de la chance que je ne sois pas dégustateur dans l'industrie alimentaire, pour remettre du sens, dans le surimi et bien d’autres produits. Élue saveur de l'année aussi (il suffit de payer et le tour est joué). Dans le chocolat aussi, il y a des choses à revoir avec des matières d’huiles de palmes qui n’ont rien à faire la dedans mais qui satisfont les industriels de tous poils aux titres de profits toujours plus juteux.
On l'a bien compris : l'huile de palme, c'est le mal. D'accord. Mais concrètement, où-est-ce qu'on la trouve, comment on la débusque et qu'est-ce qu'on risque, exactement, à en consommer.
C'est peu dire que l'huile de palme n'a pas le vent en poupe en ce moment… ! Que ce soit pour des questions de santé ou des questions d'ordre sociales et environnementales, l'huile de palme déchaîne bien des passions. Voilà quelques explications pour comprendre le pourquoi du comment.
L'huile de palme est peu coûteuse. Résultat, elle intervient dans la composition de 80% des produits alimentaires à travers le monde : chips, croûtons, soupes en sachet, le fameux Nutella et autres pâtes à tartiner, biscuits, mayonnaise, céréales, chocolat, sardines en boîtes… L'huile de palme est partout !
On la retrouve également dans 20% environ des produits de beauté, principalement les savons solides et les crèmes hydratantes.
Enfin, elle entre dans la composition de certains biocarburants.
Pourquoi est- elle montrée du doigt ?
L'huile de palme est utilisée massivement par les industriels de l'agroalimentaire et de la beauté parce qu'elle est très peu coûteuse par rapport aux autres huiles. Problème, elle n'a presque que des défauts :
D'abord, elle est dangereuse pour la santé : elle contient en effet 50% d'acides gras saturés (contre 15% pour l'huile d'olive, par exemple). Des acides gras qui augmentent les risques de maladies cardiovasculaires. A la clé : crises cardiaques, artères bouchées, obésité, cholestérol…
Dangereuse pour l’environnement aussi :
Ensuite -et on néglige souvent ce point pourtant fondamental ! - elle est ultra nocive pour l'environnement : peu coûteuse, elle est massivement utilisée par l'industrie agro-alimentaire. Des centaines de milliers d'hectares de forêt tropicale disparaissent dans les principales régions productrices (amazonie Indonésie, Malaisie, Bornéo et Sumatra) au profit de la culture de palmiers à huiles.
Conséquences : 90% des forêts des principaux pays producteurs sont décimées au profit de la culture de palmier. Conséquence : augmentation des rejets de gaz à effets de serre, destruction de l'habitat de nombreuses espèces d'animaux, pollution.
Elle génère des conséquences sociales graves, mais pas seulement :
Les petits producteurs chargés de la récolte des fruits du palmier à huile sont exploités et vivent dans une misère extrême. Ils travaillent de surcroît dans des conditions pénibles, voire périlleuses.
Comment lutter contre l’huile de palme ?
A ce stade, on espère vous avoir convaincues que "l'huile de palme, c'est tabou, on en viendra tous à bout !"
Pour ce faire, une seule solution : être vigilant sur la composition des produits et apprendre à débusquer l'huile de palme sous ses différentes appellations. Celle-ci peut revêtir plus de 200 appellations différentes… ! Parmi les plus courantes, huile végétale, graisse végétale, acide palmique, huile végétale hydrogénée… bon je ferme la parenthèse sur l’huile de palme. (Je ferme la parenthèse sur un sujet glissant, et dont les industriels en ont fait leurs choux gras).
Mais revenons sur notre sujet le surimi. « À partir 1985, les Français ont pu goûter, et apprécier le surimi pour la toute première fois. Le bâtonnet orange a vite été adopté pour son goût et sa simplicité.
Né au Japon il y a quelques siècles, le 'Kamoboko' vient d'une méthode de conservation du poisson mis au point par les pêcheurs. La conception du surimi a gardé ses traditions et privilégie une pêche responsable et respectueuse de l'éco-système.
Afin de garantir une fraîcheur optimale et garder un maximum de saveur, la transformation des poissons se fait directement sur le chalut après la pêche sur des bateaux usines.
Le surimi (en japonais 擂り身, surimi, « poisson haché ») est un produit alimentaire. Il est réalisé à base de chair de poisson blanc, traditionnellement le colin d'Alaska ou le merlan bleu, mais depuis des temps plus récents des espèces moins nobles sont entrées dans sa composition. Il peut se présenter sous diverses formes : bâtonnets, dés, médaillons, émietté, découpé en tranches, ou en forme de corps de crustacé.
Bâtonnets aromatisés au crabe prendre de préférence la marque coraya,qui est sans arome artificiel, sans colorant, sans conservateur, voici le type de poissons que l’on retrouve à l’intérieur et pour votre gouverne Lieu noir, ou Goberge Merlan bleu Colin d'Alaska Brème de mer
En France, la norme AFNOR impose que le surimi de base soit constitué d'un minimum de 85 % de chair de poissons et que les miettes, bâtonnets, dés, médaillons de surimi comportent au moins 35 % de surimi base (soit moins de 30 % de chair de poissons pour les préparations commerciales couramment vendues). (Trouvable facilement dans le commerce asiatique).
Voici la base de la recette :
Les bâtonnets sont alors préparés en rajoutant du blanc d'œuf, de la fécule de blé, de l'huile de colza, des arômes (naturels pour Coraya) et une pointe de paprika pour la couleur orangée de l’enrobage.
Le Surimi est un produit sans colorant artificiel et sans conservateur. Autant de gages de qualité qui permettent au Surimi d'être :
Riche en protéines, Riche en oméga 3, Source de vitamine B12, à faible teneur en matières grasses à faible teneur en sucre
A partir de la cela dérape !!!. Je cite un extrait pris sur internet.
Les défenseurs du surimi prétendent qu’il s’agit d’une préparation alimentaire "millénaire" provenant du Japon. S’il est vrai que le mot surimi est japonais et signifie "chair de poisson", le Japon n’est pas un gros consommateur de surimi et cette préparation n’existe que depuis quatre siècles. En outre, au Japon, le mot surimi désigne d’abord une préparation culinaire faite à la main et à la maison, ce qui n’a rien à voir avec le surimi industriel !
Il nous faut donc bien comprendre que le surimi qui se vend dans les supermarchés n’a rien à voir avec le surimi japonais traditionnel. Toutes proportions gardées, ce serait comme comparer un bon pain de campagne fait de levain et de farine complète avec le pain de mie industriel prétranché, de forme carrée, spongieux, cuit avec de la levure chimique, emballé dans du plastique et dont la date de péremption lointaine montre à quel point il est bourré de conservateurs...
L’autre mensonge est de prétendre que le surimi a été inventé pour conserver le poisson, alors qu’en fait le surimi est un produit à dégradation rapide, un produit frais, devant se conserver au réfrigérateur et sensible à la listéria. La durée de vie commerciale du produit est de 14 jours.
Qui mange le surimi ?les enfants, les adolescents, les adultes, les personnes âgées.
De toute évidence, le surimi a fait sa percée chez les jeunes à cause de la facilité d’utilisation. Ceux qui continuent de préparer eux-mêmes leur nourriture et qui aiment manger des plats faits avec des produits naturels ont sans doute goûté au surimi au moins une fois mais ne l’ont jamais inclus dans leurs habitudes alimentaires. La présentation du surimi sous forme de bâtonnets impacte le réflexe de consommation de la même manière que le sachet de saucisses; il n’y a aucun effort de préparation à fournir :
on ouvre le sachet et on mange. Le premier marché du surimi a donc été le grignotage, le hors d’œuvre vite fait. Le crabe étant un produit cher, c’est surtout le surimi aromatisé au goût de crabe qui s’est imposé comme substitut économique du crustacé. Bien entendu, cette substitution est complètement fantasmatique, ce n’est qu’une tromperie marketing. Les bâtonnets de surimi "goût crabe" n’ont rien à voir avec du vrai crabe, ni par le goût, ni par la texture.
Mais les gens qui consomment du faux crabe sous forme de surimi n’ont peut-être jamais mangé de vrai crabe, ou si peu, et ne sont donc pas gênés par cette mauvaise imitation. Le phénomène est déjà observé avec les œufs de lompe, présentés comme succédanés du caviar et qui n’en ont ni le goût, ni la texture, ni la couleur. Mais comme le caviar est un aliment de luxe, la plupart de ceux qui mangent des œufs de lompe n’ont aucun point de comparaison avec le vrai caviar car ils n’en ont probablement jamais mangé.
Point de vue psychosociologique :
Le surimi représente un pas de plus dans l’essor de l’industrie de l’imitation qui a explosé avec l’invention des matières synthétiques : le nylon remplaçant la soie, le skaï remplaçant le cuir, matières plastiques diverses remplaçant le bois, la pierre, l’ivoire. C’est une bonne chose que ces matières synthétiques qu’on appelle poétiquement "résines de synthèse" remplacent des matériaux rares comme l’ivoire, le corail ou l’ébène, car ça évite de tuer des éléphants et de piller les ressources inévitablement limitées de la nature.
Malheureusement, le surimi n’est pas un produit inoffensif ni décoratif. Il a nécessairement des conséquences désastreuses sur le dépeuplement forcé des ressources alimentaires de la mer puisqu’il faut pêcher 100 tonnes de poisson pour fabriquer 15 tonnes de surimi-base. Et il aura à moyen terme des conséquences sur la santé humaine vu que ce n’est pas un produit naturel.
Notez d’ailleurs que le surimi-base n’est pas vendu tel quel. Comme son nom l’indique il sert de base à la fabrication du surimi commercial et entre, en général pour 30 à 40 % dans la composition du produit fini.
Voici la composition des bâtonnets de surimi marque Fleury Michon : Chair de poisson (34 %), eau, blanc d’oeufs, fécule de pomme de terre, amidon de blé, sucres, gélatine, huile de colza, sel, arôme crabe, colorant : extrait naturel de paprika, gélifiant : carraghénane, épaississant : gomme de Xanthane, exhausteur de goût : glutamate de sodium, stabilisants : sorbitol, polyphosphates.
L’essentiel des glucides du surimi sont des glucides complexes provenant de l’amidon de pommes de terre et de blé ajoutés pour donner du corps à la chair de poisson avant cuisson à la vapeur.
Quant aux sucres simples, ils entrent dans la composition du surimi, mais en très faibles quantités (moins de 2 %) pour le goût et ses propriétés cryoprotectrices (préservation de la chair du poisson lors de la surgélation en mer).voilà pour la version industriel.
Voici la composition du surimi marque in Surimi : Eau, Surimi (40 %) (Poisson blanc, sucre, stabilisant : sorbitol), protéines de soja (sans OGM), poudre de blanc d’œuf, huile de colza, sel, arôme crabe, colorant extrait de paprika.
Ne pas se faire d’illusion sur l’arôme crabe, il est soit 100 % d’origine chimique, soit partiellement chimique et partiellement constitué d’extraits du broyage des carapaces de crustacés récupérées dans l’industrie des crustacés décortiqués et précuits (c’est-à-dire les déchets de la fabrication des boîtes de crabe, des crevettes décortiquées, bisques, etc.).
Dans la nomenclature européenne des additifs alimentaires l’arôme de crabe naturel est défini comme un liquide brun ayant une odeur et un goût caractéristiques de crabe (avec beaucoup d’imagination quand même). Il contient les ingrédients suivants : sorbitol, eau, sel, protéines de blé hydrolysées et levure autolysée. Bien que ce produit contienne de petites quantités de substances odoriférantes, ce sont les protéines de blés hydrolysés et la levure autolysée qui lui confèrent son arôme.
Traduction : en version néophyte, pour mieux comprendre le phénomène l’arôme de crabe standard ne contient pas de crabe, mais il a droit au qualificatif de "naturel" parce qu’il est soi-disant fait avec des substances naturelles (auxquelles on a pourtant fait subir des transformations chimiques douteuses au point qu’on se demande vraiment ce que c’est : ni la levure ni le blé ne sentent le crabe à l’état naturel). Ainsi le qualificatif "naturel" est dévoyé, détourné de son sens primitif.
Le consommateur normal, moi y compris, penserait pourtant qu’un arôme de crabe naturel serait fait à partir de crabe. Il est facile en effet d’obtenir un arôme naturel de crabe, en faisant bouillir des petits crabes de roche qui n’auraient eu par ailleurs aucune valeur alimentaire. Chez nous autrefois, la soupe de poisson du pauvre se faisait en mettant un crabe dans un bouillon, facile à attraper sur les rochers...
Valeur alimentaire du surimi :
Non trafiqué par l’addition de colorants et arômes artificiels, le surimi-base est théoriquement de la protéine pure de poisson. Sa valeur alimentaire est donc très faible. Tout au plus un équivalent du blanc d’œuf. Une fois transformé pour la distribution commerciale, allez savoir pourquoi, on y ajoute du sucre, du sorbitol, et encore de la protéine (végétale de soja et animale sous forme de blanc d’œuf en poudre ou sous forme de gélatine). On obtient ainsi une texture gommeuse, dénaturée au maximum : le surimi ne sent pas le poisson et en fait s’il n’est pas aromatisé, il n’a absolument aucun goût. Il se dégrade en séchant ou en moisissant. Est-ce bien un aliment ? Même mon chat n’en veut pas. Pourtant il adore le poisson ! C’est un signe...
Analyse nutritionnelle standard des bâtonnets de surimi. Référence marque in Surimi.
Valeur Energétique 116 kcals - 485 kJ
Protéines 18,1 g - 62 %
Glucides 3,8 g -13 %
Lipides 2,9 g - 23 %
Sodium 792 mg
Potassium 89mg
Calcium 25 mg
Analyse nutritionnelle du surimi de Fleury Michon. Valeurs nutritionnelles pour 100g
Protides 8 g
Glucides 14 g
Lipides 4,5 g
Matières minérales Sel : 2 g
Valeur énergétique moyenne pour 100g 128,5 Kcal - 539,7 kJ
Le surimi est fabriqué à base de filets de poisson (colin d’Alaska, brème de mer, hoky, merlan bleu ou sardine), cuits, lavés, hachés et aromatisés. La pâte ainsi obtenue est reconstituée pour lui donner toute une série de formes, de textures et de couleurs différentes. Les recettes de fabrication diffèrent d’un fabricant à l’autre. La guerre des prix bas fait là aussi des ravages en termes de qualité des produits finis.
Je ne fais le procès de personne, j’essaie de comprendre dans les méandres industriels.
Pour le liant, voici le produit utilisé, cela va mieux en le disant
Les composés sur-mesure de la gamme Hydrotop s'assurer que les produits finis à base de surimi sont d'excellente qualité en ce qui concerne le goût, l'apparence et la consistance, de cette manière ils compensent dans une large mesure des fluctuations biologiques et techniques dans les matières premières.
6/10/2011 --- Dans la fabrication de surimi pour faire de la viande simili-crabe, il y a deux cadres de référence différents: alors que certains fabricants se concentrent sur le maintien de la qualité constante de ses produits, d'autres attachent plus d'importance à faible coût de production. Les différents systèmes de stabilisation du MIX Hydrotop 50 et Hydrotop MIX 100 séries répondre à ces deux exigences.
La fluctuation des qualités de poissons qui dépendent de la distance, l'âge du poisson, les ressources alimentaires disponibles et la pureté de l'eau ont une influence considérable sur la qualité du surimi masse de poissons pressée. «Afin d'obtenir une qualité élevée et constante, les fabricants doivent compenser ces fluctuations spécifiques à l'aide de systèmes de stabilisation", explique Friedmann Nau, directeur de la technologie d'applications pour le poisson et les produits du secteur.
Les composés sur-mesure de la gamme Hydrotop s'assurer que les produits finis à base de surimi sont d'excellente qualité en ce qui concerne le goût, l'apparence et la consistance, de cette manière ils compensent dans une large mesure des fluctuations biologiques et techniques dans les matières premières.
Uniquement à l'aide de combinaisons spécifiques de surimi et de substances sèches (amidon, protéine, huile, Hydrotop) et de l'eau ajoutée qu'il est possible de créer une structure analogue à celle des produits traditionnels et de qualité. "Cela ne peut être réalisé dans un processus de conception complexe, l'utilisation des phosphates hautement spécifiques, chaudes et froides hydrocolloïdes gélifiants avec des effets synergiques et de protéines", Nau continue. Hydrosol de combinaisons de principes actifs sont conçus pour le surimi 25-35% ou une teneur en eau de 45-55%, en fonction de la qualité recherchée, ils sont orientés avec précision aux exigences de qualité du client.
Les systèmes de stabilisation du MIX, MIX Hydrotop 50 et Hydrotop série 100 se sont révélées très efficaces dans la fabrication de produits finis à base de surimi. Pour Hydrosol utilise hydrocolloïdes de qualité supérieure qui résultent uniquement de la viscosité optimale, même à basses températures - contrairement carraghénane, par exemple. "En l'état froid rétention d'eau du produit et de propriétés filmogènes favoriser la formation d'un gouvernement stable, visqueux protéine / amidon matrice.
Dans ce réseau, l'eau est immobilisée. C'est la condition sine qua non pour le traitement mécanique continue en fines lanières d'environ un millimètre d'épaisseur ", explique Nau. (Quand le mélange est chauffé coagule les protéines et les houles de l’amidon. Quand il se refroidit, les systèmes de stabilisation commencer à se solidifier autour de 50 ° C et forment un gel capable de trancher. ».
Rappel à la loi, elle est pourtant simple !!!. Obligations de l’aquariophile.
Tout particulier peut posséder un aquarium chez lui avec des animaux ne faisant pas partie des animaux protégés ou/et des animaux dangereux.
I. - On entend par animal de compagnie tout animal détenu ou destiné à être détenu par l’homme pour son agrément.
Note personnelle : les animaux de compagnie les plus courants sont les mammifères (chiens, chats, chevaux..), les oiseaux, les poissons tropicaux ou d’eau de mer, les reptiles (tortues, serpents..).
Tout possesseur d’animaux protégés ou/et d’animaux dangereux doit passer un certificat de capacité.
La seule contrainte pour les animaux autorisés est le respect des articles L. 214-1 à 3 du code rural.
L.214-1 : Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.
L.214-2 : Tout homme a le droit de détenir des animaux dans les conditions définies à l’article
L.214-1 et de les utiliser dans les conditions prévues à l’article L.214-3….
L.214-3 : Il est interdit d’exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques
(5 espèces de poissons) ainsi qu’envers les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité….
Des décrets en Conseil d’Etat fixent les modalités d’application des articles L. 214-1 à L. 214-2 et L. 215-3.
Article L214-12(Transféré par Ordonnance nº 2000-914 du 18 septembre 2000 art. 11 I, II Journal Officiel du 21 septembre 2000)
I. - Toute personne procédant, dans un but lucratif, pour son compte ou pour le compte d’un tiers, au transport d’animaux vivants doit recevoir un agrément délivré par les services vétérinaires placés sous l’autorité du préfet.
Ceux-ci s’assurent que le demandeur est en mesure d’exécuter les transports dans le respect des règles techniques et sanitaires en vigueur ainsi que des règles concernant la formation des personnels. II. - Un décret en Conseil d’Etat détermine les conditions de délivrance, de suspension ou de retrait de l’agrément et les règles applicables au transport des animaux vivants.
Voilà pour un complément d’information.je reste cependant à votre disposition pour élaborer un surimi plus proche de la réalité.
Remerciement à marc glacone pour un extrait de la vérité sur le surimi.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Surimi
http://ccmmdce.voila.net/surimi.html
http://www.cosmopolitan.fr/,tout-sur-l-huile-de-palme-et-ses-dangers,2510882,1875462.asp
http://vivresanshuiledepalme.blogspot.fr/2013/05/pates-tartiner-sans-huile-de-palme.html
`•.¸ ¸. •´¯`•.¸ ¸ < ((((º> A plus Aquariophilement Eidge 54. < ((((º> `•.¸¸.•´¯`•.¸
sujet d'été sujet de fond,le kamoboko,cela ne vous dit peut être rien!!! mais si vous connaissez,quand je vais approfondir le sujet,vous en consommerez peut-être moins!!!.
Vous pouvez prendre tout ou une partie de ce qui va suivre.
((Le copier/coller est indispensable pour mieux comprendre ce qui va suivre, ho pour mes détracteurs c’est un sujet que j’affectionne particulièrement pour mettre au point un produit similaire, distribuable aux poissons et dont peu d’aquariophiles se servent. Ha ! Si vous consommiez ce produit vous aller revoir votre copie ; L’information passe par la !!)). (Extrait de marc glacone).
Oui, des fois, il faut savoir faire don de soi pour le bien de l’Humanité. De toute l’Humanité.
Aujourd'hui, les français sont les plus grands consommateurs de ....... en Europe.
Etre chef de cuisine et ne pas vous informer de ce qui se fait dans le surimi, pourtant des consommateurs sont souvent invités à donner leur avis auprès des publicitaires (entres autres).
Vous avez de la chance que je ne sois pas dégustateur dans l'industrie alimentaire, pour remettre du sens, dans le surimi et bien d’autres produits. Élue saveur de l'année aussi (il suffit de payer et le tour est joué). Dans le chocolat aussi, il y a des choses à revoir avec des matières d’huiles de palmes qui n’ont rien à faire la dedans mais qui satisfont les industriels de tous poils aux titres de profits toujours plus juteux.
On l'a bien compris : l'huile de palme, c'est le mal. D'accord. Mais concrètement, où-est-ce qu'on la trouve, comment on la débusque et qu'est-ce qu'on risque, exactement, à en consommer.
C'est peu dire que l'huile de palme n'a pas le vent en poupe en ce moment… ! Que ce soit pour des questions de santé ou des questions d'ordre sociales et environnementales, l'huile de palme déchaîne bien des passions. Voilà quelques explications pour comprendre le pourquoi du comment.
L'huile de palme est peu coûteuse. Résultat, elle intervient dans la composition de 80% des produits alimentaires à travers le monde : chips, croûtons, soupes en sachet, le fameux Nutella et autres pâtes à tartiner, biscuits, mayonnaise, céréales, chocolat, sardines en boîtes… L'huile de palme est partout !
On la retrouve également dans 20% environ des produits de beauté, principalement les savons solides et les crèmes hydratantes.
Enfin, elle entre dans la composition de certains biocarburants.
Pourquoi est- elle montrée du doigt ?
L'huile de palme est utilisée massivement par les industriels de l'agroalimentaire et de la beauté parce qu'elle est très peu coûteuse par rapport aux autres huiles. Problème, elle n'a presque que des défauts :
D'abord, elle est dangereuse pour la santé : elle contient en effet 50% d'acides gras saturés (contre 15% pour l'huile d'olive, par exemple). Des acides gras qui augmentent les risques de maladies cardiovasculaires. A la clé : crises cardiaques, artères bouchées, obésité, cholestérol…
Dangereuse pour l’environnement aussi :
Ensuite -et on néglige souvent ce point pourtant fondamental ! - elle est ultra nocive pour l'environnement : peu coûteuse, elle est massivement utilisée par l'industrie agro-alimentaire. Des centaines de milliers d'hectares de forêt tropicale disparaissent dans les principales régions productrices (amazonie Indonésie, Malaisie, Bornéo et Sumatra) au profit de la culture de palmiers à huiles.
Conséquences : 90% des forêts des principaux pays producteurs sont décimées au profit de la culture de palmier. Conséquence : augmentation des rejets de gaz à effets de serre, destruction de l'habitat de nombreuses espèces d'animaux, pollution.
Elle génère des conséquences sociales graves, mais pas seulement :
Les petits producteurs chargés de la récolte des fruits du palmier à huile sont exploités et vivent dans une misère extrême. Ils travaillent de surcroît dans des conditions pénibles, voire périlleuses.
Comment lutter contre l’huile de palme ?
A ce stade, on espère vous avoir convaincues que "l'huile de palme, c'est tabou, on en viendra tous à bout !"
Pour ce faire, une seule solution : être vigilant sur la composition des produits et apprendre à débusquer l'huile de palme sous ses différentes appellations. Celle-ci peut revêtir plus de 200 appellations différentes… ! Parmi les plus courantes, huile végétale, graisse végétale, acide palmique, huile végétale hydrogénée… bon je ferme la parenthèse sur l’huile de palme. (Je ferme la parenthèse sur un sujet glissant, et dont les industriels en ont fait leurs choux gras).
Mais revenons sur notre sujet le surimi. « À partir 1985, les Français ont pu goûter, et apprécier le surimi pour la toute première fois. Le bâtonnet orange a vite été adopté pour son goût et sa simplicité.
Né au Japon il y a quelques siècles, le 'Kamoboko' vient d'une méthode de conservation du poisson mis au point par les pêcheurs. La conception du surimi a gardé ses traditions et privilégie une pêche responsable et respectueuse de l'éco-système.
Afin de garantir une fraîcheur optimale et garder un maximum de saveur, la transformation des poissons se fait directement sur le chalut après la pêche sur des bateaux usines.
Le surimi (en japonais 擂り身, surimi, « poisson haché ») est un produit alimentaire. Il est réalisé à base de chair de poisson blanc, traditionnellement le colin d'Alaska ou le merlan bleu, mais depuis des temps plus récents des espèces moins nobles sont entrées dans sa composition. Il peut se présenter sous diverses formes : bâtonnets, dés, médaillons, émietté, découpé en tranches, ou en forme de corps de crustacé.
Bâtonnets aromatisés au crabe prendre de préférence la marque coraya,qui est sans arome artificiel, sans colorant, sans conservateur, voici le type de poissons que l’on retrouve à l’intérieur et pour votre gouverne Lieu noir, ou Goberge Merlan bleu Colin d'Alaska Brème de mer
En France, la norme AFNOR impose que le surimi de base soit constitué d'un minimum de 85 % de chair de poissons et que les miettes, bâtonnets, dés, médaillons de surimi comportent au moins 35 % de surimi base (soit moins de 30 % de chair de poissons pour les préparations commerciales couramment vendues). (Trouvable facilement dans le commerce asiatique).
Voici la base de la recette :
Les bâtonnets sont alors préparés en rajoutant du blanc d'œuf, de la fécule de blé, de l'huile de colza, des arômes (naturels pour Coraya) et une pointe de paprika pour la couleur orangée de l’enrobage.
Le Surimi est un produit sans colorant artificiel et sans conservateur. Autant de gages de qualité qui permettent au Surimi d'être :
Riche en protéines, Riche en oméga 3, Source de vitamine B12, à faible teneur en matières grasses à faible teneur en sucre
A partir de la cela dérape !!!. Je cite un extrait pris sur internet.
Les défenseurs du surimi prétendent qu’il s’agit d’une préparation alimentaire "millénaire" provenant du Japon. S’il est vrai que le mot surimi est japonais et signifie "chair de poisson", le Japon n’est pas un gros consommateur de surimi et cette préparation n’existe que depuis quatre siècles. En outre, au Japon, le mot surimi désigne d’abord une préparation culinaire faite à la main et à la maison, ce qui n’a rien à voir avec le surimi industriel !
Il nous faut donc bien comprendre que le surimi qui se vend dans les supermarchés n’a rien à voir avec le surimi japonais traditionnel. Toutes proportions gardées, ce serait comme comparer un bon pain de campagne fait de levain et de farine complète avec le pain de mie industriel prétranché, de forme carrée, spongieux, cuit avec de la levure chimique, emballé dans du plastique et dont la date de péremption lointaine montre à quel point il est bourré de conservateurs...
L’autre mensonge est de prétendre que le surimi a été inventé pour conserver le poisson, alors qu’en fait le surimi est un produit à dégradation rapide, un produit frais, devant se conserver au réfrigérateur et sensible à la listéria. La durée de vie commerciale du produit est de 14 jours.
Qui mange le surimi ?les enfants, les adolescents, les adultes, les personnes âgées.
De toute évidence, le surimi a fait sa percée chez les jeunes à cause de la facilité d’utilisation. Ceux qui continuent de préparer eux-mêmes leur nourriture et qui aiment manger des plats faits avec des produits naturels ont sans doute goûté au surimi au moins une fois mais ne l’ont jamais inclus dans leurs habitudes alimentaires. La présentation du surimi sous forme de bâtonnets impacte le réflexe de consommation de la même manière que le sachet de saucisses; il n’y a aucun effort de préparation à fournir :
on ouvre le sachet et on mange. Le premier marché du surimi a donc été le grignotage, le hors d’œuvre vite fait. Le crabe étant un produit cher, c’est surtout le surimi aromatisé au goût de crabe qui s’est imposé comme substitut économique du crustacé. Bien entendu, cette substitution est complètement fantasmatique, ce n’est qu’une tromperie marketing. Les bâtonnets de surimi "goût crabe" n’ont rien à voir avec du vrai crabe, ni par le goût, ni par la texture.
Mais les gens qui consomment du faux crabe sous forme de surimi n’ont peut-être jamais mangé de vrai crabe, ou si peu, et ne sont donc pas gênés par cette mauvaise imitation. Le phénomène est déjà observé avec les œufs de lompe, présentés comme succédanés du caviar et qui n’en ont ni le goût, ni la texture, ni la couleur. Mais comme le caviar est un aliment de luxe, la plupart de ceux qui mangent des œufs de lompe n’ont aucun point de comparaison avec le vrai caviar car ils n’en ont probablement jamais mangé.
Point de vue psychosociologique :
Le surimi représente un pas de plus dans l’essor de l’industrie de l’imitation qui a explosé avec l’invention des matières synthétiques : le nylon remplaçant la soie, le skaï remplaçant le cuir, matières plastiques diverses remplaçant le bois, la pierre, l’ivoire. C’est une bonne chose que ces matières synthétiques qu’on appelle poétiquement "résines de synthèse" remplacent des matériaux rares comme l’ivoire, le corail ou l’ébène, car ça évite de tuer des éléphants et de piller les ressources inévitablement limitées de la nature.
Malheureusement, le surimi n’est pas un produit inoffensif ni décoratif. Il a nécessairement des conséquences désastreuses sur le dépeuplement forcé des ressources alimentaires de la mer puisqu’il faut pêcher 100 tonnes de poisson pour fabriquer 15 tonnes de surimi-base. Et il aura à moyen terme des conséquences sur la santé humaine vu que ce n’est pas un produit naturel.
Notez d’ailleurs que le surimi-base n’est pas vendu tel quel. Comme son nom l’indique il sert de base à la fabrication du surimi commercial et entre, en général pour 30 à 40 % dans la composition du produit fini.
Voici la composition des bâtonnets de surimi marque Fleury Michon : Chair de poisson (34 %), eau, blanc d’oeufs, fécule de pomme de terre, amidon de blé, sucres, gélatine, huile de colza, sel, arôme crabe, colorant : extrait naturel de paprika, gélifiant : carraghénane, épaississant : gomme de Xanthane, exhausteur de goût : glutamate de sodium, stabilisants : sorbitol, polyphosphates.
L’essentiel des glucides du surimi sont des glucides complexes provenant de l’amidon de pommes de terre et de blé ajoutés pour donner du corps à la chair de poisson avant cuisson à la vapeur.
Quant aux sucres simples, ils entrent dans la composition du surimi, mais en très faibles quantités (moins de 2 %) pour le goût et ses propriétés cryoprotectrices (préservation de la chair du poisson lors de la surgélation en mer).voilà pour la version industriel.
Voici la composition du surimi marque in Surimi : Eau, Surimi (40 %) (Poisson blanc, sucre, stabilisant : sorbitol), protéines de soja (sans OGM), poudre de blanc d’œuf, huile de colza, sel, arôme crabe, colorant extrait de paprika.
Ne pas se faire d’illusion sur l’arôme crabe, il est soit 100 % d’origine chimique, soit partiellement chimique et partiellement constitué d’extraits du broyage des carapaces de crustacés récupérées dans l’industrie des crustacés décortiqués et précuits (c’est-à-dire les déchets de la fabrication des boîtes de crabe, des crevettes décortiquées, bisques, etc.).
Dans la nomenclature européenne des additifs alimentaires l’arôme de crabe naturel est défini comme un liquide brun ayant une odeur et un goût caractéristiques de crabe (avec beaucoup d’imagination quand même). Il contient les ingrédients suivants : sorbitol, eau, sel, protéines de blé hydrolysées et levure autolysée. Bien que ce produit contienne de petites quantités de substances odoriférantes, ce sont les protéines de blés hydrolysés et la levure autolysée qui lui confèrent son arôme.
Traduction : en version néophyte, pour mieux comprendre le phénomène l’arôme de crabe standard ne contient pas de crabe, mais il a droit au qualificatif de "naturel" parce qu’il est soi-disant fait avec des substances naturelles (auxquelles on a pourtant fait subir des transformations chimiques douteuses au point qu’on se demande vraiment ce que c’est : ni la levure ni le blé ne sentent le crabe à l’état naturel). Ainsi le qualificatif "naturel" est dévoyé, détourné de son sens primitif.
Le consommateur normal, moi y compris, penserait pourtant qu’un arôme de crabe naturel serait fait à partir de crabe. Il est facile en effet d’obtenir un arôme naturel de crabe, en faisant bouillir des petits crabes de roche qui n’auraient eu par ailleurs aucune valeur alimentaire. Chez nous autrefois, la soupe de poisson du pauvre se faisait en mettant un crabe dans un bouillon, facile à attraper sur les rochers...
Valeur alimentaire du surimi :
Non trafiqué par l’addition de colorants et arômes artificiels, le surimi-base est théoriquement de la protéine pure de poisson. Sa valeur alimentaire est donc très faible. Tout au plus un équivalent du blanc d’œuf. Une fois transformé pour la distribution commerciale, allez savoir pourquoi, on y ajoute du sucre, du sorbitol, et encore de la protéine (végétale de soja et animale sous forme de blanc d’œuf en poudre ou sous forme de gélatine). On obtient ainsi une texture gommeuse, dénaturée au maximum : le surimi ne sent pas le poisson et en fait s’il n’est pas aromatisé, il n’a absolument aucun goût. Il se dégrade en séchant ou en moisissant. Est-ce bien un aliment ? Même mon chat n’en veut pas. Pourtant il adore le poisson ! C’est un signe...
Analyse nutritionnelle standard des bâtonnets de surimi. Référence marque in Surimi.
Valeur Energétique 116 kcals - 485 kJ
Protéines 18,1 g - 62 %
Glucides 3,8 g -13 %
Lipides 2,9 g - 23 %
Sodium 792 mg
Potassium 89mg
Calcium 25 mg
Analyse nutritionnelle du surimi de Fleury Michon. Valeurs nutritionnelles pour 100g
Protides 8 g
Glucides 14 g
Lipides 4,5 g
Matières minérales Sel : 2 g
Valeur énergétique moyenne pour 100g 128,5 Kcal - 539,7 kJ
Le surimi est fabriqué à base de filets de poisson (colin d’Alaska, brème de mer, hoky, merlan bleu ou sardine), cuits, lavés, hachés et aromatisés. La pâte ainsi obtenue est reconstituée pour lui donner toute une série de formes, de textures et de couleurs différentes. Les recettes de fabrication diffèrent d’un fabricant à l’autre. La guerre des prix bas fait là aussi des ravages en termes de qualité des produits finis.
Je ne fais le procès de personne, j’essaie de comprendre dans les méandres industriels.
Pour le liant, voici le produit utilisé, cela va mieux en le disant
Les composés sur-mesure de la gamme Hydrotop s'assurer que les produits finis à base de surimi sont d'excellente qualité en ce qui concerne le goût, l'apparence et la consistance, de cette manière ils compensent dans une large mesure des fluctuations biologiques et techniques dans les matières premières.
6/10/2011 --- Dans la fabrication de surimi pour faire de la viande simili-crabe, il y a deux cadres de référence différents: alors que certains fabricants se concentrent sur le maintien de la qualité constante de ses produits, d'autres attachent plus d'importance à faible coût de production. Les différents systèmes de stabilisation du MIX Hydrotop 50 et Hydrotop MIX 100 séries répondre à ces deux exigences.
La fluctuation des qualités de poissons qui dépendent de la distance, l'âge du poisson, les ressources alimentaires disponibles et la pureté de l'eau ont une influence considérable sur la qualité du surimi masse de poissons pressée. «Afin d'obtenir une qualité élevée et constante, les fabricants doivent compenser ces fluctuations spécifiques à l'aide de systèmes de stabilisation", explique Friedmann Nau, directeur de la technologie d'applications pour le poisson et les produits du secteur.
Les composés sur-mesure de la gamme Hydrotop s'assurer que les produits finis à base de surimi sont d'excellente qualité en ce qui concerne le goût, l'apparence et la consistance, de cette manière ils compensent dans une large mesure des fluctuations biologiques et techniques dans les matières premières.
Uniquement à l'aide de combinaisons spécifiques de surimi et de substances sèches (amidon, protéine, huile, Hydrotop) et de l'eau ajoutée qu'il est possible de créer une structure analogue à celle des produits traditionnels et de qualité. "Cela ne peut être réalisé dans un processus de conception complexe, l'utilisation des phosphates hautement spécifiques, chaudes et froides hydrocolloïdes gélifiants avec des effets synergiques et de protéines", Nau continue. Hydrosol de combinaisons de principes actifs sont conçus pour le surimi 25-35% ou une teneur en eau de 45-55%, en fonction de la qualité recherchée, ils sont orientés avec précision aux exigences de qualité du client.
Les systèmes de stabilisation du MIX, MIX Hydrotop 50 et Hydrotop série 100 se sont révélées très efficaces dans la fabrication de produits finis à base de surimi. Pour Hydrosol utilise hydrocolloïdes de qualité supérieure qui résultent uniquement de la viscosité optimale, même à basses températures - contrairement carraghénane, par exemple. "En l'état froid rétention d'eau du produit et de propriétés filmogènes favoriser la formation d'un gouvernement stable, visqueux protéine / amidon matrice.
Dans ce réseau, l'eau est immobilisée. C'est la condition sine qua non pour le traitement mécanique continue en fines lanières d'environ un millimètre d'épaisseur ", explique Nau. (Quand le mélange est chauffé coagule les protéines et les houles de l’amidon. Quand il se refroidit, les systèmes de stabilisation commencer à se solidifier autour de 50 ° C et forment un gel capable de trancher. ».
Rappel à la loi, elle est pourtant simple !!!. Obligations de l’aquariophile.
Tout particulier peut posséder un aquarium chez lui avec des animaux ne faisant pas partie des animaux protégés ou/et des animaux dangereux.
I. - On entend par animal de compagnie tout animal détenu ou destiné à être détenu par l’homme pour son agrément.
Note personnelle : les animaux de compagnie les plus courants sont les mammifères (chiens, chats, chevaux..), les oiseaux, les poissons tropicaux ou d’eau de mer, les reptiles (tortues, serpents..).
Tout possesseur d’animaux protégés ou/et d’animaux dangereux doit passer un certificat de capacité.
La seule contrainte pour les animaux autorisés est le respect des articles L. 214-1 à 3 du code rural.
L.214-1 : Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.
L.214-2 : Tout homme a le droit de détenir des animaux dans les conditions définies à l’article
L.214-1 et de les utiliser dans les conditions prévues à l’article L.214-3….
L.214-3 : Il est interdit d’exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques
(5 espèces de poissons) ainsi qu’envers les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité….
Des décrets en Conseil d’Etat fixent les modalités d’application des articles L. 214-1 à L. 214-2 et L. 215-3.
Article L214-12(Transféré par Ordonnance nº 2000-914 du 18 septembre 2000 art. 11 I, II Journal Officiel du 21 septembre 2000)
I. - Toute personne procédant, dans un but lucratif, pour son compte ou pour le compte d’un tiers, au transport d’animaux vivants doit recevoir un agrément délivré par les services vétérinaires placés sous l’autorité du préfet.
Ceux-ci s’assurent que le demandeur est en mesure d’exécuter les transports dans le respect des règles techniques et sanitaires en vigueur ainsi que des règles concernant la formation des personnels. II. - Un décret en Conseil d’Etat détermine les conditions de délivrance, de suspension ou de retrait de l’agrément et les règles applicables au transport des animaux vivants.
Voilà pour un complément d’information.je reste cependant à votre disposition pour élaborer un surimi plus proche de la réalité.
Remerciement à marc glacone pour un extrait de la vérité sur le surimi.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Surimi
http://ccmmdce.voila.net/surimi.html
http://www.cosmopolitan.fr/,tout-sur-l-huile-de-palme-et-ses-dangers,2510882,1875462.asp
http://vivresanshuiledepalme.blogspot.fr/2013/05/pates-tartiner-sans-huile-de-palme.html
`•.¸ ¸. •´¯`•.¸ ¸ < ((((º> A plus Aquariophilement Eidge 54. < ((((º> `•.¸¸.•´¯`•.¸
Re: le kamoboko,cela ne vous dit peut être rien! ! !
2014-08-14, 6:00 pm
Whoua sacré lecture j'ai bien aimé le slogan "l'huile de palme, c'est tabou, on en viendra tous à bout !" sinon le passage sur le surimi, je l'ai trouvé intéressant après j'ai pas compris pourquoi tu fais tout ces rappel sur le droit des animaux à la fin du sujet.
http://en.wikipedia.org/wiki/Kamaboko
http://en.wikipedia.org/wiki/Surimi
Malheureusement, le surimi n’est pas un produit inoffensif ni décoratif.
Il a nécessairement des conséquences désastreuses sur le dépeuplement forcé des ressources alimentaires de la mer
puis qu’il faut pêcher 100 tonnes de poisson pour fabriquer 15 tonnes de surimi-base.
Et il aura à moyen terme des conséquences sur la santé humaine vu que ce n’est pas un produit naturel.
http://en.wikipedia.org/wiki/Kamaboko
http://en.wikipedia.org/wiki/Surimi
Malheureusement, le surimi n’est pas un produit inoffensif ni décoratif.
Il a nécessairement des conséquences désastreuses sur le dépeuplement forcé des ressources alimentaires de la mer
puis qu’il faut pêcher 100 tonnes de poisson pour fabriquer 15 tonnes de surimi-base.
Et il aura à moyen terme des conséquences sur la santé humaine vu que ce n’est pas un produit naturel.
- eidge 54Membre du Forum
- Date d'inscription : 11/04/2013
Nombre de messages : 87
Re: le kamoboko,cela ne vous dit peut être rien! ! !
2014-08-15, 9:21 am
Bonjour tyrano,
ce sont des messages de fins d'articles, et des rappels pour des aquariophiles peu scrupuleux du bien- être de leurs animaux .
il ne fait pas beau ce jour,j'attends avec impatience mon informaticien,qui devrait me remettre en route la fonction capturer,car j'ai 3 ou 4 documentaires a monter sur notre dernier voyage en Asie dans les fermes d’élevage a Singapour.j'ai retrouvé une souche de tiger kitti,magnifique,l'histoire sera sur le n°que j'écris aujourd'hui.
je suis sur le n° 48 Heroini Cichlasomatine Horde
voici un extrait de l’introduction:
Introduction :
Écrit basé sur des documents et expérience personnelle, puisqu’il s’agit de la population de mon bac. Le choix est déterminant dans la population que vous allez mettre. Cela doit être mûrement réfléchi, à partir du moment, où vous vous orientez vers des symphysodons discus, le panel est important.
Il ne sera alors pas question de mélanger des sauvages a de l’élevage. Plus vous monterez en gamme moins vous aurez le droit à l’erreur. Car l’exigence de ces poissons se mérite, et rien ne vous autorise à ne pas le mettre en bonne condition. D’ailleurs l’aquariophilie passe par des phases successives (pour se faire la main, et comprendre le fonctionnement des poissons. (on ne pilote pas une Ferrari lorsque l’on vient d’avoir son permis).bien sûr vous connaissez tout cela par cœur, n’empêche que les sites internet nous relatent fréquemment des aberrations, et une forme de maltraitance par des pseudos-aquariophiles bafouant les règles élémentaires de ce poisson.( des annonces avec un discus noir, ce n’est pas une nouvelle variété, mais un petit malin qui veut se débarrasser au plus vite des erreurs qu’il a commises) situation lamentable ,et qui se répète un peu trop souvent à mon goût .des sanctions devraient être prise pour faire prendre conscience.(voilà passer l’orage, voyons l’avenir et une partie de la population de mon bac.
etc...etc...
Aplus je retourne a mon texte eidge 54.
ce sont des messages de fins d'articles, et des rappels pour des aquariophiles peu scrupuleux du bien- être de leurs animaux .
il ne fait pas beau ce jour,j'attends avec impatience mon informaticien,qui devrait me remettre en route la fonction capturer,car j'ai 3 ou 4 documentaires a monter sur notre dernier voyage en Asie dans les fermes d’élevage a Singapour.j'ai retrouvé une souche de tiger kitti,magnifique,l'histoire sera sur le n°que j'écris aujourd'hui.
je suis sur le n° 48 Heroini Cichlasomatine Horde
voici un extrait de l’introduction:
Introduction :
Écrit basé sur des documents et expérience personnelle, puisqu’il s’agit de la population de mon bac. Le choix est déterminant dans la population que vous allez mettre. Cela doit être mûrement réfléchi, à partir du moment, où vous vous orientez vers des symphysodons discus, le panel est important.
Il ne sera alors pas question de mélanger des sauvages a de l’élevage. Plus vous monterez en gamme moins vous aurez le droit à l’erreur. Car l’exigence de ces poissons se mérite, et rien ne vous autorise à ne pas le mettre en bonne condition. D’ailleurs l’aquariophilie passe par des phases successives (pour se faire la main, et comprendre le fonctionnement des poissons. (on ne pilote pas une Ferrari lorsque l’on vient d’avoir son permis).bien sûr vous connaissez tout cela par cœur, n’empêche que les sites internet nous relatent fréquemment des aberrations, et une forme de maltraitance par des pseudos-aquariophiles bafouant les règles élémentaires de ce poisson.( des annonces avec un discus noir, ce n’est pas une nouvelle variété, mais un petit malin qui veut se débarrasser au plus vite des erreurs qu’il a commises) situation lamentable ,et qui se répète un peu trop souvent à mon goût .des sanctions devraient être prise pour faire prendre conscience.(voilà passer l’orage, voyons l’avenir et une partie de la population de mon bac.
etc...etc...
Aplus je retourne a mon texte eidge 54.
Re: le kamoboko,cela ne vous dit peut être rien! ! !
2014-08-15, 10:42 am
Merci , j'ai encore plusieurs lectures de tes articles à lire
Je t'avouerai qu'en ce moment je me heurte au même problème que d'autres aquariophiles passionnés rencontrent, qui est que faisons nous de nos reproductions si nous n'avons plus de demande.
L'aquariophile passionné "le vrai" devient une espèce en grand danger et celui-ci n'a pas eu le temps de créer la nouvelle génération.
De ce fait le cercle est coupé et au fur à mesure celui-ci va diminuer de taille et surtout se désagréger dans le temps.
Je t'avouerai qu'en ce moment je me heurte au même problème que d'autres aquariophiles passionnés rencontrent, qui est que faisons nous de nos reproductions si nous n'avons plus de demande.
L'aquariophile passionné "le vrai" devient une espèce en grand danger et celui-ci n'a pas eu le temps de créer la nouvelle génération.
De ce fait le cercle est coupé et au fur à mesure celui-ci va diminuer de taille et surtout se désagréger dans le temps.
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