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eidge 54
eidge 54
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2014-03-22, 9:21 am
bonjour a vous,

une nouvelle série, avec des passages en copier/coller, reprenant parfois ce qui est mal compris,pour des aquariophiles n'ayant pas le temps de s'enfoncer dans la nomenclature et de ses méandres.il ne vous reste plus qu'a vous laisser guider par les divers sujets.a vos lunettes!!!.


♂♂ Heroini Cichlasomatine Horde. ♀♀

DOCUMENTATION 14

Les modes de reproduction et de pontes des poissons.
Approche d’une aquariophilie généraliste et moderne.
Rappel à la loi, elle est pourtant simple.
Les conditions de la reproduction.
Le maintien de l'espèce :
Zoom ichtyologique :
Le choix des géniteurs : c c

((Article avec les addenda d’informations, en version copier/coller pour des extraits cités en fin d’articles. Une forme d’information des temps modernes sur internet. Pour clore avec les détracteurs qui rodent sur la toile attendant leurs proies.))(lr54).
L’ichtyologie est a considéré comme une science naturelle, sur l’étude des poissons en général, et plus particulièrement sur le programme phylogénétique .C’est ainsi que l’accent est mis sur l’évolution mais aussi la formation des organismes vivants pour établir leurs liens familiaux et ou de parentés. Comme en généalogie, un arbre permet de discerner, la morphologie, l’anatomie, la physiologie, l’écologie, l’éthologie de la phylogénétique.
Concernant l’étude du comportement animal en milieu naturel, l’éthologie ne se contente pas uniquement de ce type d’étude mais aussi des animaux en captivité, tout comme l’animal domestique, mais pour aller plus loin encore, l’étude comportementale de l’être humain et de sa relation homme animal. Dans l’idéale, étudier ses poissons d’aquarium permet alors de collecter des informations utiles sur eux tels que son habitat, sa biologie, son comportement.
L’aquariophilie quelle belle passion, souvenez-vous cela commence par un bac petit, tout petit, des guppys, suivi de naissances, et puis l’installation d’un bac plus grand avec de l’ambition suite à la réussite relativement facile des guppys ou autres vivipares, et là, la passion démarre, vient un autre bac, puis un autre, le virus est en vous, il faut faire grandir le banc de guppys qui s’étoffe et s’éparpille dans les bacs devenus élevages, dotant plus que les enfants s’en mêlent, au grand plaisir des parents et des grands- parents, quand ce n’est pas l’instituteur qui s’y met aussi. Toutefois, même en démarrant modestement, il est préférable de réfléchir en amont du projet. Mais voyons du côté généraliste 9+. (lr54)
Le maintien de l'espèce :
Certaines espèces de poissons subissent la présence de l'homme qui a totalement détruit leur biotope. C'est le cas de nombreuses espèces de Killies qui, ne vivant que dans une mare de quelques dizaines de mètres carrés, ont été détruites par des programmes absurdes d'assèchement, d'agriculture ou d'urbanisation. Il n’y a pas que là, en Amazonie péruvienne des sites de scalaires ont été pillé pendant des dizaines d’années, puis abandonné, faute de rendement, pour voir une lueur d’espoir de renaitre quelques souches au cours du prélèvement dans nos filets. Le discus sur le Nhamundã a subi le même sort, âprès l’abandon d’une pêche intensive, et l’autorisation d’un seul pécheur en 2011(seule la famille Torrés à conserver ce droit et l’exploite en vue d’exportation.) Son fils Emmanuel a repris le flambeau.
Les géniteurs que vous choisirez seront donc de fidèles représentants de la race, en bonne santé et adultes. (Pour les souches sauvages il convient de les déparasiter car ils sont infestés de toutes sortes de bestioles, avec une quarantaine, obligatoire, suis assez claire !!. Les soustraire des nématodes et des cestodes. Même si on vous affirme qu’ils sont en parfaite santé, la remise en état sanitaire est de votre ressort, et vous ne devez faire confiance à personne. Pas même à un magasin, encore moins à un éleveur particulier à partir de là vous partirez sur un bac et un aquarium sain. (Je suis dure dans mes propos, mais cet a ce prix que vous aurez de la satisfaction).Ils seront en nombres suffisants et bien nourris. Certaines règles de la génétique s'appliquent à ces animaux comme aux autres et ne sont pas toujours simples à appliquer.
Le premier principe est basé sur la consanguinité. Ne jamais choisir les géniteurs dans la même famille. Si la chose est simple dans votre propre élevage, il n'en va pas de même avec des poissons achetés dans le commerce.
Il est impossibles de connaître l'origine des poissons et bien souvent (trop souvent) les commerçants refusent de vous informer ou tout simplement ignorent l'origine de leurs animaux. La meilleure des stratégies consiste à se fournir les mâles dans un magasin et les femelles dans un autre. Il y a de fortes chances pour que les animaux proviennent de sources différentes.
Les méthodes d’hybridation et de sélection qui peuvent éventuellement prévaloir d’un choix ou d’un autre doivent l’être sur des fondements solides. Que de controverses à propos d'un phénomène naturel et bien connu ! C'est probablement, avec la sélection directe, la méthode d'élevage la plus ancienne et la plus utilisée. Nous allons tenter d'éclairer le débat.
L'hybridation est la reproduction de deux espèces ou de deux variétés différentes dans le but d'obtenir des sujets avec des spécifications ou des particularités précises.
L'hybridation doit se distinguer de la pression sélective. L'hybridation est utilisée pour modifier une espèce en lui apportant des gènes qu'elle ne possède pas ou pour créer de nouvelles souches commerciales. Elle utilise toujours deux espèces plus ou moins proches ou deux variétés des mêmes espèces.
La pression sélective consiste à choisir des sujets ayant développé un caractère particulier acquis par mutation naturelle ou provoquée, et de les reproduire selon des règles précises, jusqu'à obtention d'un nombre suffisant de sujets susceptibles de constituer une nouvelle souche, la moins consanguine possible.
Bien souvent, le processus d'obtention commence par une hybridation, produisant des sujets féconds à partir desquels différentes sélections de souches présentant des caractères précis seront effectuées.
Les méthodes de travail reposent sur les Lois de Mendel et de la génétique des populations, ce qui n'est pas notre objet. Ce travail colossal et complexe est l'affaire d'éleveurs professionnels dont le but n'est pas de conserver des espèces, mais de faire du commerce.
(J’ouvre la parenthèse, mais qui est Mendel, oui qui est-il ?
Les lois de Mendel sont trois lois concernant les principes de l'hérédité biologique, énoncées par le moine et botaniste autrichien Gregor Mendel (1822-1884).
La redécouverte des lois de Mendel en 1900, puis leur combinaison avec la découverte des chromosomes, considérés comme le support physique de l'hérédité, est à l'origine de la fondation de la génétique formelle au début du XXe siècle 1.
HISTOIRE :
Vers 1850 au monastère de Brno, comme à Londres, à Paris ou à Vienne, on en était réduit aux hypothèses les plus vagues au sujet de l'hérédité. De multiples expériences consistant à croiser des plantes et des animaux divers avaient permis d'obtenir des résultats heureux. Mais comment ? Selon quels mécanismes précis ? Personne ne pouvait répondre à cette question. Personne n'aurait pu reprendre telle ou telle expérience avec l'assurance d'obtenir les mêmes résultats.
Vers 1850, la théorie la plus accréditée était celle du mélange des "sangs" dans des proportions que le cousin de Darwin, Francis Galton venait de préciser: 1/2 pour le sang du mâle ou de la femelle à la première génération, 1/4 à la seconde, etc. Au moment où Mendel commença ses expériences, la génétique était donc beaucoup moins avancée que la physique ne l'était avant Newton.
Les trois lois :
Ces lois sont décrites dans la partie lois de Mendel de l'article sur Mendel.
Ce sont, dans son cas, des expériences menées sur les pois qui permirent à Mendel de découvrir les lois de l'hérédité 2.
Mendel découvre que :
Un caractère peut présenter 2 formes différentes (aujourd'hui appelées allèles ou gènes homologues).
Un organisme hérite de 2 facteurs pour chaque caractère (les facteurs héréditaires de Mendel sont aujourd'hui appelés "gènes").
Le facteur dominant masque le facteur récessif. Mendel a noté le facteur dominant à l’aide d’une majuscule et l’autre, le récessif, à l’aide de la même lettre mais en minuscule.
Les deux facteurs se séparent durant la formation des gamètes (Loi de ségrégation qui correspond à la séparation des paires de chromosomes homologues durant la méiose).
Les paires de facteurs se séparent de façon indépendante les unes des autres (Loi de ségrégation indépendante qui correspond à l’assortiment indépendant des paires de chromosomes homologues à la métaphase 1 de la première division méiotique).
Première loi : Loi d'uniformité des hybrides de première génération :
Si l'on croise deux races pures distinctes par un seul caractère (homozygotes), tous les descendants de la première génération, qui seront appelés des hybrides F1, est identiques.
La règle d'uniformité s'applique lorsque les deux parents (génération parentale P) se distinguent par une caractéristique pour laquelle ils sont chacun homozygote. La première génération (hybride F1 ) est alors uniforme tant pour le phénotype que le génotype et tous les descendants de la première génération sont hétérozygotes.
Exemple : Tous les individus dits de génération F1 issu du croisement entre un plant à graines rondes et un plant à graines ridées (tous deux homozygotes pour ce caractère) sont identiques, ils ne présentent que la version ronde de la forme. Le phénotype rond est dominant et le phénotype ridé est récessif.
Deuxième loi : Loi de disjonction des allèles :
Lorsque l'on croise entre eux des individus de générations F1, on obtient une génération F2 dans laquelle on trouve à nouveau les deux versions de la couleur des fleurs dans des proportions bien définies : 3:1 soit trois descendants à fleurs rouges (1 RR + 2 RW) pour un descendant à fleurs blanches (WW).
Cette loi est dite « de ségrégation des caractères dans la génération F2 ».
Troisième loi : Ségrégation indépendante des caractères héréditaires multiples :
Cette règle ne s'applique que si les gènes responsables des caractéristiques se situent sur différents chromosomes ou s’ils sont éloignés sur le même chromosome.

les connaissances antérieurs:

Les travaux, avant Mendel, pour tenter de comprendre les mécanismes de l’hérédité furent un échec. La raison en est que les hybrideurs travaillaient comme ils avaient toujours travaillé c’est-à-dire par essais et erreurs. Ils croisaient des individus présentant des caractères différents et choisissaient dans la descendance ceux qui correspondaient le mieux aux desiderata. Or ces procédures, très efficaces par ailleurs en sélection depuis l’origine préhistorique de l’élevage et de l’agriculture, ne permettaient pas une productivité des résultats et donc l’énoncé de lois.
L'ensemble de la communauté scientifique de l'époque soutenait le modèle de l'hérédité par mélange où les caractères possédés par un individu étaient intermédiaires entre ceux de ses deux parents (le croisement d'un parent blanc et d'un parent noir donnant par exemple un individu gris ou blanc et noir). Mendel considère lui que les parents transmettent des unités héréditaires distinctes qui restent distinctes chez les descendants (comme des billes que l'on retire de deux seaux et que l'on place dans un troisième seau).

Les méthodes :

Mendel va choisir les géniteurs de façon différente. Tout d’abord il adopte comme modèle expérimental les petits pois (Pisum sativum), plantes à fleurs dont la reproduction naturelle se fait par autofécondation, permettant de contrôler l’hybridation et de produire rapidement un grand nombre de descendants.
Il choisit d’étudier l’hérédité de pois comestibles présentant sept caractères dont chacun peut se retrouver sous deux formes alternatives, aisément identifiables :
Forme et couleur de la graine, couleur de l’enveloppe, forme et couleur de la gousse, position des fleurs et longueur de la tige.
La première expérience qu’il décrira dans son article consiste à étudier les résultats d’hybridation obtenus pour l’une des paires de caractères seulement. Par exemple, la «forme du pois» (caractère phénotypique régi par un seul gène) qui existe selon deux variantes : graine lisse ou graine ridée (expression phénotypique de chacun des deux allèles du gène que Mendel nomme facteur).
Les pois se reproduisant naturellement par autofécondation, il arrive donc à sélectionner des lignées pures dont tous les individus possèdent toujours la même forme alternative, soit une lignée parentale à graines lisses (que l'on appellera P1, pour la suite du raisonnement) et l'autre à graines ridées (que l'on appellera P2). Il s'agit donc d'individus homozygotes pour le gène considéré, ils ne possèdent qu'un seul type d'allèle.
Le croisement se fait en déposant du pollen d'une fleur de la lignée P1 sur le pistil d'une fleur de la lignée P2 (à laquelle il avait enlevé les étamines pour éviter tout risque d'autofécondation). Il prend le soin de réaliser des fécondations réciproques (pollen de P2 sur pistil de P1) pour voir si les résultats sont identiques.
Les individus obtenus par croisement de P1 et de P2 sont donc des hybrides (que l'on note habituellement F1). Une deuxième génération appelée F2 est produite par reproduction naturelle (autofécondation) des F1.
Il étudie successivement des lignées pures différant par un seul caractère (monohybridisme) puis deux (Dihybridisme) et enfin trois (tri hybridisme).

Les résultats :

Pour la totalité des caractères étudiés 80 % des hybrides obtenus sont identiques. Par exemple, le croisement d'un pois à graines lisses (P1) et d'un pois à graines ridées (P2) donne toujours une génération F1 où tous les individus sont des pois à graines lisses. Le facteur « graines ridées » est donc récessif par rapport au facteur « graines lisses » (qui est qualifiée de dominant). C'est la première loi de Mendel dite d'uniformité des hybrides de première génération.

En F2 (génération obtenue par autofécondation de F1), on peut démontrer par des expériences de croisement-test, l'existence de trois génotypes différents :
50 % d'hétérozygotes (un allèle dominant associé à un allèle récessif) identiques aux parents (F1 = hybride),
25 % d'homozygotes dominants, de phénotype identique à celui des F1,
25 % d'homozygotes récessifs de phénotype différent de celui des F1.
C'est la deuxième loi de Mendel ou loi de disjonction des allèles qui est le résultat de la méiose.
En Dihybridisme, la distribution composite des 2 caractères (quatre phénotypes) est la combinaison de deux distributions monohybridiques indépendantes 3/4 [A] et 1/4 [a]
Soit 9/16 [AB] 3/16 [Ab] 3/16 [ab] 1/16 [ab].
C’est la troisième loi de Mendel dite d'indépendance des caractères qui n'est pas applicable aux gènes liés.
Les résultats de tri hybridismes (8 phénotypes) se prédisent aisément : 27 [ABC] 9 [Abc] 9 [Ab C] 3 [Abc] 9 [ab C] 3 [abc] 3 [ab C] 1 [abc].

En conclusion, Mendel propose que les caractéristiques héréditaires des vivants soient gouvernées chacune par une double commande (une paire d'allèles) et que seule une sur deux est transmise au descendant par chaque parent. C’est le fondement de la génétique qui va démarrer au début du XXe siècle. Du même coup, avec les premiers pas d’une biologie quantitative se développeront les statistiques. Il publie ses travaux en 1865 dans Experiments in Plant Hybridation.

Dominance incomplète :

Les caractères ne sont pas tous exclusivement dominants ou récessifs. Dans certains cas, aucun des allèles qui déterminent un caractère n'est dominant. Lorsque c'est le cas, un mélange des deux caractères peut se produire: on parle de dominance incomplète. Le mélange apparent des caractères en une expression intermédiaire peut survenir chez les individus hétérozygotes. On trouve des exemples de dominance incomplète chez de nombreuses espèces de plantes, dont le muflier ou le maïs. Heureusement pour Mendel, les caractères qu'il a étudiés chez les plants de pois n’étaient pas sujets à la dominance incomplète. Si cela avait été le cas, il n'aurait probablement jamais été en mesure d'établir les fondements de la génétique 3. (Extrait de Wikipédia).
C'est ainsi que nous avons vu apparaître les variétés de poissons rouges, de scalaires, de guppys et bien d'autres encore.
Si les aquariophiles peuvent être heureux d'avoir un choix varié, ils se privent du plaisir de voir les vrais poissons tels qu'ils sont dans la nature. Quoi de plus beau qu'un banc d'Altum dans un aquarium bien planté !
Le revers de la médaille est dû au manque de mesure de certains professionnels qui crée des variétés de poissons tellement modifiées qu'elles sont d'une fragilité remarquable et meurent très rapidement.
Le summum est atteint quand certains vendent de soi-disant nouvelles espèces affublées de noms parfois surprenants. À ce niveau, il ne s'agit plus de sélection ou d'amélioration des espèces, mais d'escroquerie. Soyez donc vigilant et n'achetez pas ces poissons qui n'ont vraiment rien à voir avec l'aquariophilie.

Il s'agit de manipulation génétique à seul but de créer de nouvelles espèces commerciales. Soyons clairs, le jour où l'homme sera capable de faire aussi bien que la nature, ça se saura ! Pour citer un exemple, nous trouvons une soi-disant nouvelle espèce qui porte le nom de Red Parrot. Ce nom ne vaut rien et n'est pas un taxon valide.
Cette espèce créée de toutes pièces se reproduit facilement. Le problème posé est relativement simple. Le commerçant est incapable de vous informer correctement en ce qui concerne l'alimentation, le comportement, la reproduction, la taille adulte et le reste parce que tout le monde ignore les besoins de ces poissons et ce qu'ils sont capables de faire.
À moins d'être un aquariophile chevronné et inconscient, vous aurez toutes les chances d'aboutir à un échec cuisant. Juste un conseil : laissez ces poissons à ceux qui ont envie de se tromper…

Les conditions de la reproduction :

Les poissons ne frayent pas n'importe quand, n'importe où ni n'importe comment. L'observation révèle l'origine de ces comportements. En France, les poissons prédateurs pondent en fin d'hiver, début du printemps, et les poissons-proies pondent en avance ou en retard.
Les uns mangent les autres et les faire frayer ensemble provoquerait la ruine par la faim, des uns et des autres.
Les poissons-proies sont plus prolifiques que les prédateurs et le nombre de sujets restant plus important à chaque frai. Les prédateurs ont des pontes limitées en nombre et le maintien de l'espèce impose de faibles pertes.
Les jeunes prédateurs doivent trouver assez de proies à la bonne taille pour croître et limiter les pertes. Si les poissons sont génétiquement prévus pour pondre à ce moment-là, c'est que depuis des millions d'années, il pleut à la même saison et que les inondations ont les mêmes conséquences.
L'apport d'eau de pluie dilue les eaux plus concentrées de la saison sèche et les valeurs de la dureté chutent avec un apport de substances nutritives dans le milieu.

Les ruissellements provoqués et l'immersion de zone plantée ou non, entraînent et solubilisent une grande quantité de nutriments. L'eau de pluie, solvant universel, apporte des minéraux et des acides drainés dans les forêts. Le ph peut chuter de plusieurs unités.
Cette matière associée à une bonne luminosité et une température relativement élevée, déclenche une explosion de micro-organismes, base de la chaîne alimentaire productrice de biomasse qui sera en premier utilisé par les alevins.
Une alimentation au bon moment est à la bonne taille ! L'eau douce, la chute du ph, la nourriture abondante dans le milieu et enfin la chaleur, sont une combinaison idéale qui déclenche les pontes. Reproduire ces processus en aquarium produit le même effet.
En conclusion, il faut connaître l'écologie des régions d'origine des poissons, pour comprendre les mécanismes de déclenchement des pontes que la nature a programmés depuis longtemps.

D'autres mécanismes profonds interviennent dans la saisonnalité des reproductions et les reproduire en aquarium est important.
Les conditions d'environnement sont, à n'en pas douter, les premières à prendre en compte pour les comprendre et les maîtriser dans leur gestion.
Un certain nombre de règles doivent être respectées pour que le phénomène de la reproduction se produise. Hormis les conditions d'eau qui sont primordiales, les conditions d'environnement le sont tout autant.
Le couple doit se sentir chez lui et trouver les sites de ponte dont il a besoin. Certes, certains sont capables d'improviser et de se débrouiller avec les moyens du bord.
C'est les scalaires qui pondent sur le filtre ou les corydoras qui tapissent les glaces de la cuve, mais la plupart des poissons ne pondent pas s'il ne trouve pas ce qui leur faut.
Pour chaque espèce mise en reproduction vous devez vous renseigner en ce qui concerne leur besoin et lui donner l'eau qui convient et à la bonne température.
L'eau de l’aquarium de frai doit être en conformité avec l’espèce reproduite et de manière très fine. Pour se reproduire, vos poissons doivent se sentir "comme chez eux".
Plusieurs plans interviennent dans cet aspect des choses : la qualité de l'eau et le décor.
La qualité de l'eau est la base du mécanisme reproductif. Les paramètres de l'eau sont primordiaux et devront recevoir l'attention qu'ils méritent.
Les adultes ne déclencheront pas les mécanismes hormonaux de la ponte s'ils ne sont pas dans l'eau qui leur convient et tous les facteurs doivent être dans l'optimaux des espèces.
Les sujets adultes peuvent supporter quelques variations et risquent de pondre, bien que les conditions ne soient pas correctes, mais les œufs ne supporteront pas de variations par rapport à leurs besoins.
En agissant de cette façon vous éviterez les "accidents de coquilles" dus à des pressions osmotiques non respectées ou des ph inadaptés. (L’osmose inverse sera développée dans les prochains articles car le sujet est vaste et les résultats dépendent d’une bonne connaissance technique).

C'est à ce niveau que toutes les reproductions prennent leur sens. Une bonne "repro" n'est pas de faire pondre des poissons, mais d'élever des jeunes.
Lors de la ponte, les œufs sont mous et leur coquille poreuse. Il se produit pendant les quelques secondes qui suivent l'expulsion de l’œuf une série importante de réactions biologiques, physiques et chimiques ou la qualité de l'eau joue à plein.
L’œuf pondu doit laisser passer le spermatozoïde qui le fécondera et qui fermera l'opercule de la membrane. À ce stade, l’œuf a déjà subi sa première transformation majeure et les divisions cellulaires démarrent aussitôt.

Suivent d'importantes métamorphoses faisant intervenir de nombreux facteurs osmotiques et le transfert de molécules.
La composition chimique du milieu intervient directement sur le milieu interne de l’œuf et la porosité de la membrane. Un milieu trop calcaire pour des espèces d'eau très douce, durcira la membrane et interdira les échanges avec le milieu environnant.
Les alevins auront des problèmes de développement dans la construction des tissus osseux en les déformant. À l'inverse, une eau très douce ne conviendra pas aux poissons exigeants en calcaire par des défauts d'ossification et la perte de matière interne.
L'alimentation dans l’aquarium de frai, tant des géniteurs que des futurs alevins pendant le cycle de reproduction demandent une énergie colossale à tous niveaux.
Sur le simple plan physiologique, les poissons, et surtout les femelles, produiront une énorme quantité de gamètes, sur le plan physique une bonne ponte consomme dénormes ressources énergétiques.
Garder un territoire, courir les femelles et chasser les concurrents, nettoyer une frayère ou construire un nid est des activités consommatrices de ressources et ce n'est pas le moment de faillir. Une bonne alimentation riche et variée est un gage de réussite. C'est une alimentation à base de nourriture vivante qui sera privilégiée. Dans la nature les poissons trouvent la nourriture qui leur convient en quantité et en qualité. Ce sont ces deux aspects que nous allons étudier.

La nourriture et sa disponibilité deviennent un facteur déterminant dans le déroulement d'une bonne reproduction.
La meilleure alimentation est principalement constituée de nourritures vivantes et de produits naturels. Cela dit le problème ne s'arrête pas là. Il ne faut pas espérer nourrir tous les poissons de la même manière.
En effet, certaines espèces ont besoin d'une alimentation spécifique pour déclencher la ponte. Par exemple, certains Killies ont impérativement besoin d'œufs de fourmis pour mener à bien une ponte.
Certains poissons ont des alimentations particulièrement spécialisées comme les insectivores ou des poissons qui ne mangent qu’un type de nourriture. N'essayez pas de reproduire ces animaux si vous ne disposez pas d'un stock suffisant.
Les poissons omnivores recevront une alimentation à base de Daphnies et de Cyclopes à laquelle seront ajoutés des végétaux en faible proportion.
Il s'agit en général de poissons qui, sans être des prédateurs, ont besoin d'une nourriture à forte charge de protéines.
Les végétariens recevront une alimentation à base de végétaux bien sûr, mais surtout d'épinards congelés et de laitue. Évitez de faire pocher les produits, car cette technique détruit pas mal de vitamines indispensables à un bon développement. Vous obtiendrez le même résultat en préservant les vitamines en faisant congeler à – 18°C et en dégelant les produits avant distribution.
Les carnassiers seront bien évidemment nourris de poissons et de viandes. Inutile de vous constituer des réserves de Guppies pour les alimenter. Il est préférable de pêcher des alevins en réservoir et de les faire dégorger avant de les distribuer.
Les poissons ont un besoin impératif de trouver dans leur alimentation tous les éléments utiles, et en particulier dans les protéines, des hormones ou d'autres composants indispensables au déclenchement de la reproduction qui est signée par la maturation des gonades et l'apparition des semences. Des phénomènes biochimiques très complexes interviennent.
Leur description serait des plus rébarbatives et ne fait pas l'objet de cette étude.
Pour comprendre un peu mieux les mécanismes, il est important de comprendre ce qui se passe dans la nature lors des cycles reproductifs.

Les modes de reproduction et de pontes des poissons :

La nature a inventé une diversité incroyable d'espèces et de comportements, que parfois nous qualifions d'amoureux. Nos poissons n'échappent pas à la règle et dans cette masse de comportements, tous aussi passionnants les uns que les autres, il est assez difficile de s'y retrouver. Suivre un fil conducteur n'est pas chose aisée et deux pistes s'offrent à nous.
La première est la façon dont les poissons pondent et rangent leurs œufs. La deuxième pourrait être une approche par les genres qui se reproduisent de façon relativement identique avec des différences pour certaines espèces.
Dans un premier temps, nous étudierons comment nos poissons pondent, puis dans un deuxième, nous vous indiquerons à qui appartiennent ces comportements. Enfin, nous consacrerons un paragraphe à l'étude des reproductions particulièrement intéressantes où la nature nous gratifie de son sens de l'invention adaptative.

L'aquariophile devra se conformer aux dures exigences des espèces s'il veut espérer faire aussi bien.
Le premier point dont il faut s'assurer est d'avoir la certitude de posséder un couple sexuellement mature. Un couple en aquariophile n'est pas forcément constitué d'un mâle et d'une femelle. Certaines espèces se montrent plus exigeantes :

Madame et Monsieur doivent se plaire, tout simplement ! Nous allons compliquer un peu les choses en disant que posséder un couple n'est pas encore tout à fait suffisant. Tous les couples formés ne donnent pas forcément des œufs. L'un et l'autre ne doivent pas être stériles ce qui arrive assez souvent. Ce n'est pas fini et votre tâche d'éleveur n'est pas encore réussie.
En admettant que des œufs soient effectivement pondus, rien ne garantit qu'ils donnaient naissance à des jeunes. Les autres pensionnaires se font généralement un plaisir de s'offrir en apéritif les œufs si difficilement obtenus.
Certaines espèces prennent soin de leur progéniture dont ils s'occupent en bons parents pour l'amener à l'autonomie. C'est généralement le cas, mais il arrive que certains parents se montrent franchement mauvais et mangent leurs œufs avant qu'ils aient eu le temps de se développer.
Pour conclure, l'éleveur aquariophile doit se renseigner sur les modalités de reproduction de l'espèce convoitée et les remplir. Vous apprendrez à différencier mâles et femelles, connaître si Monsieur choisit Madame et inversement, discerner si Monsieur est du style polygame pour lui offrir son harem ou si l'espèce se reproduit en groupe. Autant de conditions impératives pour un seul objectif :
Faire en sorte que deux gamètes entrent en relation et forment un œuf qui donnera un jeune dans le seul but universel de toutes les espèces, perpétuer l'espèce.

Les pontes sur substrats :

Les poissons ne sont pas des bricoleurs quand il s'agit de pérenniser leur espèce. Certaines espèces ont donc évolué vers des techniques de reproduction particulière qui ont pour but de réduire le nombre d'œufs produits, mais de mieux protéger le frai.
Au bout du compte, bien plus de jeunes survivent et l'espèce occupe mieux l'espace. Le moyen choisi passe donc par l'utilisation des éléments disponibles dans le milieu de vie et notamment le "décor" et ce que nous nommons le "substrat".
Pour clarifier les choses, le sol est un substrat, tout comme le sable, les roches, les bois ou les vitres. Vous l'avez compris tout support est un substrat de ponte potentiel.
Chaque espèce a donc son substrat privilégié et l'utilise d'une manière parfaitement codifiée à la fois dans le genre et dans l'espèce. Parfois, certaines espèces ont des comportements différents résultants d'une adaptation à un lieu précis ou à des conditions locales et particulières.
Certains poissons, peu prolifiques en règle générale, ont besoin de déposer leurs œufs sur un support, mais pas n'importe quel support. Il peut être caché, en plafond, vertical, rocheux, sableux ou en bois. Les cas de figure ne manquent pas.
Les pondeurs sur substrats sont très souvent des poissons qui s'occupent de leur progéniture et sont tous sans exception des ovipares. Ce sont généralement les Cichlidés qui pondent sur les substrats et de manière différente selon les espèces, mais ils ne sont pas les seuls.
Les pondeurs sur substrats horizontaux sont le plus souvent des Cichlidés qui peuvent combiner plusieurs manières de pondre. Si la ponte en elle-même a lieu sur ce type de site, l'incubation des œufs est très souvent pratiquée hors du site soit, en incubation buccale, soit en déplacement des œufs.
Le résultat est toujours le même : la nature fait tout ce qu'il faut pour que l'espèce soit parfaitement adaptée à son milieu et que celle-ci reste pérenne en nombre suffisant.
L'immense majorité des pondeurs sur substrats horizontaux pratique néanmoins un mode de ponte parfaitement connu qui suit le processus classique de ponte, incubation/protection des larves et l'élevage des jeunes.
Les pondeurs sur substrats verticaux sont principalement les Cichlidés amazoniens, dont les deux types principaux sont les Scalaires et les Discus qui pondent sur les souches ou des feuilles et choisissent eux-mêmes la bonne inclinaison qui peut aller de la verticale à 45°.
La ponte est répartie de haut en bas sur le support. Ce n'est pas par hasard que ces poissons pondent sur les souches. Elles sont tellement acides après un bon nettoyage que l'apparition de germes en est ralentie ce qui protège un temps les œufs.

D'autres poissons pondent sur des supports verticaux. C'est le cas de certains Cichlidés qui pondent sur la phase latérale d'une roche en anfractuosité. La ponte est latérale à la différence des Discus.
Certains poissons dispersent leurs œufs un peu partout pour une raison simple : ne pas mettre tous les œufs dans le même panier. C'est le cas des Corydoras qui dans un premier temps transportent leurs œufs grâce à leurs nageoires modifiées, puis vont soigneusement les coller sur le premier support qui convient.

Le choix des géniteurs :

Toute bonne "repro" commence le choix des reproducteurs. Choisir les géniteurs est de la plus haute importance. Ils ont le rôle de pérenniser l'espèce par la reproduction et de transmettre le meilleur patrimoine génétique possible. Le patrimoine de votre élevage.
Le rôle de l'aquariophile n'est pas d'améliorer l'espèce comme nous pourrions le faire pour des bovins, mais de conserver et de transmettre ces merveilleuses espèces que la nature nous donne.
Il est important que vos géniteurs répondent parfaitement à vos objectifs de reproduction sur les plans morphologiques, génétiques en matière de phénotype et de génotype et qu'ils aient les moyens de mener à bien leur mission.
Ils seront conditionnés sur le plan l'alimentaire, sanitaire et en accord avec le milieu qui doit répondre à leurs besoins en qualité d'eau et d'environnement. Des poissons sains et génétiquement propres donnent les meilleurs résultats.
Il est impossible de faire de la reproduction sans parler de la génétique. Il est évident que la reproduction est surtout et avant tout transmettre un patrimoine génétique. Plusieurs objectifs sont possibles et contrairement à certains ténors, je ne privilégierai pas l'un au détriment des autres.
Chaque facette de ce problème à son intérêt et le défaut de l'intérêt. Il n'y a qu'une porte de sortie à cette situation qui consiste à bien comprendre ce que l'on veut faire et comment on le fait. Rien n'est pire que de faire n'importe quoi sans aucun contrôle. (Vous pouvez consulter un vétérinaire qui sera de bon conseil).
Tout dépend donc de l'objectif poursuivi pour autant que celui-ci soit clairement défini, appliqué et maîtrisé.

Les barrières génétiques :

La nature a prévu des barrières qui font que l'espèce X ne peut se reproduire avec l'espèce Y. C’est le fondement de la diversité. Chacune peut donc s'exprimer pleinement et se différencier des autres.
De ce principe dépend la multiplicité des espèces faisant la richesse de notre planète.
Les espèces sont séparées par des barrières infranchissables les préservant de la dissolution dans l'infini du milieu vivant. Il existe différentes formes de barrières :

Les barrières génétiques font que deux animaux trop différents ne pourront pas se reproduire entre eux ou produiront des sujets stériles. Il ne vous viendrait pas à l'esprit de croiser un lion et un chien parce que vous savez que ce croisement est impossible.
Les barrières saisonnières ou quand la nature ont génétiquement prévu que certaines espèces se reproduisent en été et d'autres en hiver. Elles ne sont donc pas fécondes en même temps, rendant impossible la reproduction.
Les barrières géographiques font que deux espèces ne se rencontrent jamais, même si par ailleurs le croisement est possible.
C'est le cas des poissons vivant de part et d'autre d'un océan, d'une montagne, d'un désert ou de tout autre accident géographique infranchissable.
Les Killies sont tous hybridables et ne doivent leur différenciation qu'à des barrières de terre pour deux infranchissables. Leur mélange conduit à la disparition des espèces mélangées et sûrement pas à la création de nouvelles.
Les barrières thermiques et physico-chimiques font que les espèces restent dans les milieux qui leur conviennent. Vous n'avez jamais vu un éléphant de mer vivant au Nord se reproduire avec une espèce du Sud parce qu'elle ne peut survivre aux températures équatoriales.
Les barrières périodiques font que certaines espèces ont besoin de cycles précis pour que les processus de reproduction se déclenchent. C'est le cas de la lumière, de la température, de la composition des milieux, des hauteurs d’eaux, et bien d'autres choses qu'il serait trop long de détailler.
La transgression des barrières conduit inévitablement à un appauvrissement des espèces et cette dérive ne devrait pas exister dans un aquarium.(ne pas tenter le diable).
Le principe de base de l'hybridation est de contourner les barrières posées par la nature. Il est facile de mettre en présence deux espèces ou deux variétés suffisamment proches génétiquement pour qu'elles se croisent entre elles.
Il existe de très nombreux moyens pour faire en sorte qu'un gamète mâle soit mis en présence d'un gamète femelle et produise un sujet parfaitement viable, stérile ou non.
Dans l'hybridation, seule la barrière génétique n'est pas franchissable.Toutes les autres, géographiques, cyclique ou thermique le sont. Le niveau de complexité des moyens à mettre en œuvre est plus ou moins lourd et la plupart du temps hors de portée des aquariophiles.
A contrario, un certain nombre de choses sont possibles et souvent se produisent spontanément. Dans la multitude des espèces de poissons proposés et les mélanges parfois très surprenants réalisés dans les aquariums, il n'est pas rare de voir des croisements entre espèces ou variétés qui normalement ne se seraient pas croisées.

Cette synthèse est possible grâce à l’observation et des recoupements d’informations en temps voulus. (Lr 54).pourtant je ne m’approprie pas tout le travail fait en amont, les formulations se discutent en Europe vont bon train. Je reste assuré pour le plus grand ravissement d’un aquariophile discussophilement garant.

Rappel à la loi, elle est pourtant simple !!!. Obligations de l’aquariophile.

Tout particulier peut posséder un aquarium chez lui avec des animaux ne faisant pas partie des animaux protégés ou/et des animaux dangereux.
I. - On entend par animal de compagnie tout animal détenu ou destiné à être détenu par l’homme pour son agrément.
Note personnelle : les animaux de compagnie les plus courants sont les mammifères (chiens, chats, chevaux..), les oiseaux, les poissons tropicaux ou d’eau de mer, les reptiles (tortues, serpents..).
Tout possesseur d’animaux protégés ou/et d’animaux dangereux doit passer un certificat de capacité.
La seule contrainte pour les animaux autorisés est le respect des articles L. 214-1 à 3 du Code rural.

L.214-1 : Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.
L.214-2 : Tout homme a le droit de détenir des animaux dans les conditions définies à l’article L.214-1 et de les utiliser dans les conditions prévues à l’article L.214-3….
L.214-3 : Il est interdit d’exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques (5 espèces de poissons) ainsi qu’envers les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité….
Des décrets en Conseil d’État fixent les modalités d’application des articles L. 214-1 à L. 214-2 et L. 215-3.

Article L214-12(Transféré par Ordonnance nº 2000-914 du 18 septembre 2000 art. 11 I, II Journal Officiel du 21 septembre 2000).
I. - Toute personne procédant, dans un but lucratif, pour son compte ou pour le compte d’un tiers, aux transports d’animaux vivants doit recevoir un agrément délivré par les services vétérinaires placés sous l’autorité du préfet. Ceux-ci s’assurent que le demandeur est en mesure d’exécuter les transports dans le respect des règles techniques et sanitaires en vigueur ainsi que des règles concernant la formation des personnels. II. - Un décret en Conseil d’État détermine les conditions de délivrance, de suspension ou de retrait de l’agrément et les règles applicables aux transports des animaux vivants.

Lois de Mendel :

Lois de base de la transmission héréditaire, établies par Gregor Mendel vers 1860 et encore valables aujourd'hui. Mendel a déterminé ces lois en croisant des lignées de pois et en observant la transmission de certains caractères dans la descendance. Première loi : le croisement de deux homozygotes...
En conclusion :
À l'époque de leur publication, les résultats de Mendel passèrent à peu près inaperçus jusqu'à leur redécouverte en 1900 par Hugo de Vries (Amsterdam), Carl Correns (Berlin) et Erich Tschermack (Vienne).
Ces auteurs retrouvèrent de façon indépendante des résultats similaires à ceux de Mendel. Ils reconnurent l'antériorité des travaux de Mendel et le réhabilitèrent : la génétique était alors née.


Source documentation, internet, aqualives, lr 54, etc….
http://fr.wikipedia.org/wiki/Lois_de_Mendel
Notes et références↑ (fr) les trois lois de Mendel [archive], sur florimont.info (consulté le 1er octobre 2013)
↑ (fr) 1865 Les premières lois de l’hérédité : Mendel et ses petits pois [archive], sur www.planetegene.com (consulté le 1er octobre 2013)
↑ Au-delà des lois de Mendel. [Archive]
Source Campbell, Neil A. et Jane B. Reece. Biologie, 2e édition, édition ERPI, 1364p. P. 264-277 Ch. 14. - (ISBN 2-7613-1379-8)
Cet article doit pouvoir vous apporter un début de réponse à vos questions !.
Avec des extraits d’articles d’internet (empruntés selon l’orientation de mes propos):
Sur une base de copier/coller, pour enlever toutes suspicions à nos détracteurs, légions sur les sites internautes
http://www.aquariophilie.wikibis.com http://fr.wikipedia.org/wiki/Symphysodon
http://www.aquabase.org/articles/html.php3 http://www.infodiscus.com/discus/spip.php?
Référence Catalogue off Life : Symphysodon Référence Fish Base : liste des espèces du genre Symphysodon
Reference ITIS : Symphysodon Heckel, 1840 Référence World Register of Marine species :taxon Symphysodon
Ouvrage de référence, thèse vétérinaire: SYMPHYSODON: MERVEILLEUX DISCUS
chantdeleau.com Le Discus, un système de reproduction perfectionné
lapirogue.fr Premier magazine sur le Discus en ligne Référence Animal Diversity .Web : Symphysodon
discusnature.societeg.com: Site de référence pour et par les amateurs de Discus.
chantdeleau.com: Variétés de Discus : standards et origines.

(Co-Auteur) Chroniqueur Discussophile Eidge 54.
Les informations de ces pages n'engagent aucune responsabilité de ma part
Copie autorisée dans un but non lucratif.
En cas d’erreur irréversible de votre part voici ce qui se passe,
Postmortem, les fonctions cessent, l’actine et la myosine sont connectées irréversiblement :
C’est la rigor mortis. .
Article avec les addenda d’informations.
Article in transigé avec une foule de Suppléments d’informations pris sur l’internet.
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