- eidge 54Membre du Forum
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Nourriture pour Discus
2013-07-14, 8:05 pm
bonjour a vous, petit dernier sur votre site, je vous propose un article que j'ai concocté pour le plaisir des aquariophiles.
merci de vos réactions, a plus Aquariophilement eidge 54.
merci de vos réactions, a plus Aquariophilement eidge 54.
Nourriture pour Discus 31
Le Symphysodon appartient à la tribu Heroini cichlasomatine.
Les Discus du genre Symphysodon sont des Cichlidés Ornementaux.
La nourriture des Discus doit être à la fois riche et variée. Dans la nature les poissons se nourrissent principalement de larves d’insectes, d’insectes adultes, de dépôts d’algues, de végétaux, de petits détritus et de petits crustacés etc., qu’ils trouvent en abondances et à la demande en fonction de la saison amazonienne.
Nous avons observé que dans son habitat naturel, le Symphysodon, se nourrissait en complément, du zooplancton local qu’il absorbe, il broute le gazon biotique qui recouvre les branches, les troncs d’arbres immergés et les racines des Renacos. Cette herbacée biologique est en majorité composée d’algues filamenteuses sur le periphyton dans lesquelles se trouvent de nombreux animalcules unicellulaires ou pluricellulaires, des larves et des insectes aquatiques, et de détritus organiques, des matières végétales, et de petits invertébrés aquatiques. Il y a beaucoup de mini-crevettes dans de la mousse, une nourriture de choix pour nos Discus. L’amazone, et les igarapés remontent sur plusieurs centaines de kms À marée haute, le poisson se nourrit seul ou en petits groupes dans les Várzea inondées. A marée basse il forme de grands rassemblements dans les cimes des arbres tombés le long des berges des retenues d’eau.
Les Discus du genre Symphysodon du rio Nhamundã à tête bleue sont très prisés en tant que cichlidés d'ornements ; la mastoïde est magnifique, ils se reproduisent dans les eaux des plaines inondables et les forêts inondées amazonienne. Ces habitats sont caractérisés par des fluctuations saisonnières extrêmes dans la disponibilité de nourriture, le logement et l'oxygène dissous, ainsi que les densités des prédateurs et des parasites. La plupart des aspects de la biologie du Discus sont influencés par ces conditions contingentes. Puis vient le temps de l’accouplement, et de la reproduction.
La reproduction a lieu au début de la saison des crues, de façon à veiller à ce que la descendance soit bien pourvue en nourriture et ce avant la période des basses eaux prochaines. Quant au Symphysodon Haraldi c’est un géniteur itéropares partiel, il atteint sa maturité sexuelle au bout d'un an, voir un peu plus, et s'engage par des soins parentaux envers ses œufs et de ses larves. Le calendrier des événements de frai, et le taux de survie des alevins peuvent être influencés par les fluctuations du niveau des crues, ce qui entraîne une distribution non-uni modale des classes de taille pour la suite d’un groupe +.
La hausse annuelle et la chute du fleuve Amazone a une amplitude typique de plus ou moins 6 a12 m, exposant les organismes des plaines d'inondation à des fluctuations extrêmes dans la disponibilité de nourriture et d'abris, la densité des prédateurs et des parasites. Les biens physico-chimiques de l'eau sont tels que l'oxygène se dissous (décrit par Junk, 1997).
Comprendre comment les Discus et les poissons de l’amazone se sont adaptés à ces conditions sans cesse changeantes est un élément central pour la compréhension de la diversification des poissons dans le bassin de la plaine amazonienne mais aussi dans les affluents de ce dernier.
Les Poissons du genre Symphysodons Discus sont uniques parmi les cichlidés néo tropicaux dans la formation d’agrégations statiques jusqu'à des centaines de sujets au cours de la période d'étiage.il faut les voir dans les entrelacs des racines et des branches submergées, filant à l’abri du courant derrière leurs souches, jouant avec les rayons du soleil, étant toujours sur le qui-vive au cas où un prédateur surgirait, il faut être le plus rapide, gare aux piranhas et autres poissons- chiens qui ne leur feraient pas de cadeau .amazonie oblige !!!.
Ils nous arrivent de voir des Discus avec qui !!! .Une nageoire en moins, qui des fois y a laisser sa queue, quand ce n’est pas la vie tout simplement. Dans le milieu naturel, il y a pas mal de poissons infestés de façon grave du nématode intestinal Capillaria. Pas seulement, et sans exception, outre de la taille ; tous les Discus infestés par B. cichlae avaient avec une coloration terne - ne présentant que de petites zones ternes de couleur bleu-vert ou rouge. Les barres de flanc vertical, qui devenaient plus intensifiées par les poissons stressés ou socialement subordonnés, ont été souvent de manière permanente mis en évidence chez ces individus.
Nourriture adaptée dans les forêts inondées. En termes de volumétrie, le Symphysodon Haraldi peut se nourrir principalement d'un mélange de periphyton et d’algues, de quelques détritus organiques et de la matière végétale verte. Ces trois catégories ont été combinées en une seule catégorie en raison de difficultés pratiques à les séparer. Néanmoins, la matière végétale verte sous la forme de feuilles triturées ne représentait probablement pas plus de 15% du volume total (une estimation grossière).car il n’est pas facile de peser les restes de nourriture dans l’estomac d’un Discus Sur le reste, il était difficile de distinguer entre les periphyton partiellement digérés et les divers détritus organiques, qui comprennent les résidus végétaux en décomposition principalement.
Le periphyton comprend plusieurs espèces filamenteuses, communautés de carragheens (algues), couvrant les branches mais aussi les racines, les souches et les feuilles de forêts inondées. Le Periphyton représente une forme majeure de la production primaire, et une importante source d'énergie pour les populations de poissons des plaines inondables (Araujo-Lima et al. 1986; Forsberg. et al, 1993). De bien beaux détritus organiques, qui se retrouvent piégés par le periphyton et s'accumulent sur les structures immergées, sont en soit également une source importante de nutrition pour de nombreuses espèces de poissons amazoniens, et une source d'énergie dominante pour les communautés de Discus ,mais aussi des poissons dans leur ensemble (Araujo-Lima et al. 1986).Notre Discus se nourrit entre autre d’animalcules à peines visibles, macroscopiquement, de toute cette gangue plus ou moins filamenteuse qui entoure les branches et mêmes les pierres des igarapés, sa composition sont de minuscules, prawn,( Le terme prawn pour les espèces d'eaux douces). Les naturalistes distinguent ces sortes de crevettes en raison des différences dans la structure de leurs branchies.
La crevette est un nom vernaculaire traditionnellement attribué à un ensemble de crustacés, autrefois regroupés dans le sous-ordre des "décapodes nageurs" ou Natantia, classé dans l'infra ordre des Caridea .D'autres groupes de crustacés dont l'allure est proche de celle des vraies crevettes peuvent parfois être désignés ainsi : il s'agit des euphausiacés et des Mysidacés, les mysis. Autrement exprimé, une crevette est un crustacé décapode appartenant au sous-ordre des Natantia, souvent une espèce pénéide : avec un coup d’épuisette on peut se rendre compte de la multitude de pénéides Crustacés, gammares fluviatilis ou puces d’eau, crevettine, larves d’insectes de toutes sortes qui sont surtout répandues dans les régions chaudes,
Puis d’un autre coup d’épuisette sur le bord d’un igapo dans de la mousse , une concentration importante de ces amicules, découverte également des diaptomus ( genre de copépodes avec un seul œil unique), aussi des apus, leidurus (genre de fossile vivant ressemblant à la limule mais en plus petit de la taille d’une tête d’épingle), enfin le phryganes petit insecte de 20 à 30 mm de l’ordre des trichoptères, même si certains d’entre vous le connaisse sous le nom de porte- bois surtout à la pêche à la truite, ce sont des larves aquatiques, les Discus en sont friands, après métamorphose ils sont capables de voler tel un papillon etc… c’est la principale source d’alimentation de nos Discus a l’état sauvage. Enfin il est également poïkilotherme (c’est-à-dire que la température de son corps suit les variations de la température de l’eau) d’où sa manière de s’alimenter en fonction de la température du rio.
Tri et rinçage des fricots : Les Discus emploient différentes techniques pour trier ce qui est comestible de ce qui ne l’est pas. Ils peuvent ainsi recracher immédiatement un élément non comestible comme un gravier ou un morceau de bois, ou recracher un aliment trop gros, pour l’émietter et l’avaler à nouveau. Les Discus sont aussi capables de nettoyer des aliments dans leur bouche, par une circulation intensive de l’eau que l’on nomme « rinçage »avant de finir dans l’entral de notre discus. Le Discus le fait également en version élevage, si je peux vous le transmettre de cette manière.
Ce mécanisme permet l’élimination des particules non comestibles par la bouche, il recrache, tout en retenant l’aliment pour l’avaler ensuite. Ces techniques sont très utiles et efficaces, surtout en milieu naturel où les aliments sont souvent mélangés à de la vase ou d’autres éléments non comestibles et qu’il détecte par son névraxe via ensuite son action buccale.
Notre Discus sent et goutte il à les flaveurs, il goûte à distance, comme tous les poissons, les Discus peuvent détecter la présence d’aliments en “ gnosie” en “flairant” ou en “goûtant” l’eau, avec sa paire de choanes, “ narines“. Beaucoup détectent des stimuli chimiques grâce également à des organes sensoriels situés autour de la bouche ou sur d'autres parties du corps. (Ligne latérale).
C’est très utile lorsqu’on vit dans de l’eau trouble ou pas très nette (ce qui est souvent le cas dans la nature), où la vue ne sert à rien pour trouver à manger. Donc les Discus goûtent l’eau grâce à de petits organes sensoriels nommés papilles gustatives, très semblables aux nôtres. Le matin au lever du jour notre Discus est en malefaim.
Mais revenons au bord de notre igarapé !!!
À marée basse, le substrat beaucoup moins immergé est disponible pour la croissance du periphyton. En outre, les eaux du lac ont tendance à être influencées par l'action des vagues sur les plages d'argile à marée basse et la réduction de la zone photique pour la croissance des algues. Ces facteurs peuvent expliquer pourquoi une grande partie des Discus ont des algues stockées partiellement dans l’estomac, à marée basse et pourquoi les invertébrés comprennent une plus grande fraction dans leur alimentation : constatations faites après leur avoir ouvert l’estomac, (au cours de la période des hautes eaux, dans les forêts inondées), habituellement c’est là que le periphyton se développe le plus abondamment. (Chaleur et eau plus stagnante) A cette époque de l'année, les invertébrés constituent une composante plus faible volumétriquement de la sustentation du Discus, même si elles peuvent représenter une source essentielle de protéines. Une étude plus approfondie est nécessaire pour enquêter sur la contribution relativement énergétique et nutritive (par rapport à la représentation volumétrique) des matières de détritus, d'algues, de matières végétales et animales dans la nutrition des Symphysodons.
La compression exagérée latérale et la hauteur du corps de notre Discus sont partagées, à un degré moindre, Cette morphologie est probablement bien adaptée pour pénétrer dans les interstices étroits des souches et des branches immergées. Les bandes sombres verticales et ternes des couleurs de fond vert-brun du Discus lui permettent sans doute de lui fournir le camouflage, et les bandes sont rapidement intensifiées par l'expansion des chromatophores chez les poissons effrayés. Après maintes observations dans le biotope naturel, force est de constater que les Discus se fondent dans le décor naturel de leurs rios. Il nous faut quelques fois approcher de très près sous les souches immergées pour voir une compagnie de Discus de plusieurs centaines d’individus. Typique et exclusif chez le Discus, ces agrégations de plusieurs dizaines d'individus sont rarement, sinon jamais vues dans d'autres cas de cichlidés d'Amérique du Sud.(déjà constaté par Bleher et les autres baroudeurs, je cite Henri, Christian, Régis, Pedro( notre guide indien en amazonie).
Les Inondations des eaux des forêts sont généralement mal oxygénées ou anoxiques en raison de la décomposition de la litière de feuilles et autres débris organiques (décrie par Crampton, 1998). Comme les cichlidés amazoniens autres, S. Haraldi présente une suite d'adaptations biochimiques qui leurs permettent une respiration anaérobie efficace pendant les périodes d'hypoxie. Ceux-ci sont documentés par Chippari-Gomes et al. (2005).
La vie de groupe dans le comportement du Discus : Les Discus forment des multi-cohortes « des colonies » dans les galhadas, qui semblent fonctionner aussi bien en bas dans les refuges d'eau que dans les endroits de rassemblement, principalement autour des souches, mais aussi autour de grosses pierres. Les distances de dispersion à court terme indiquées par la marque de libération données, couplée avec le nombre relativement faible de Discus capturé à partir d’une retenue nouvellement construites («artificielle») suggèrent que les colonies de Discus dans les galhadas sont relativement statiques durant la période des basses eaux. Ils stagnent aux mêmes endroits, se déplaçant peu. Les Discus n'ont pas été équitablement répartis entre galhadas sur les sites d'étude. Au lieu de cela, de nombreux galhadas apparemment appropriés (sites abrités dans 2 - 4 m de profondeur), étaient dépourvus de Discus ou ne contenait que quelques spécimens, tandis que d'autres, les galhadas similaires contenaient des centaines de spécimens. Ces tendances indiquent que les Discus actifs forment des agrégats sociaux, plutôt que de simplement remplir l'espace disponible. A l’heure actuel, nous ne savons, quel type de prédateurs et le plus crains des Discus, et celui faisant le plus de ravage parmi les colonies.
Les Piranhas (Serrasalmus spp. P. nattereri) sont piscivores et voraces, mais parce qu'ils n'ont généralement pas avalé leur proie, pourtant les analyses des contenus stomacaux peuvent considérablement donner la mesure dans laquelle ils mangent du Discus. L'importance des jacarés des dauphins de rios, des loutres, des serpents et des oiseaux comme de toutes autres prédateurs est également inconnue.il reste de l’inconnu et des mystères en amazonie.
La vie de groupe et les parasites : vivant en groupe, même si elle est temporaire, présente des inconvénients – notamment dans la transmission accrue de maladies et de parasites (Trivers, 1985). Une grande proportion (14%) des Discus de la baie Uxi était infestée de l'isopode B. cichlae. Ce n’est malheureusement pas la première constatation. Ce parasite ne semble pas seulement retarder la croissance du Discus, mais elle semble aussi limiter le développement de ses couleurs vives. Braga cichlae dévore les lamelles branchiales, provoquant l'absorption d'oxygène réduite et sans aucun doute donc fait obstacle à la croissance et a un développement normal de ce dernier. Les Discus sont beaucoup plus fréquemment infestés par B. cichlae que les autres cichlidés syntopiques, malgré le caractère généraliste de ce parasite (Thatcher, 1991); ce manque de spécificité d'hôte peut être démontré en fournissant à partir de la nage libre B. cichlae avec un choix de Symphysodon contre d'autres hôtes de cichlidés. Parce que pour développer ses couleurs vives comme un ornement sexuel secondaire pour notre Discus et parce que les parasites à la fois peuvent diminuer la couleur et stopper la croissance, une affaire sera faite pour la couleur lumineuse servant d'indice de la charge parasitaire dans le choix du partenaire. Il existe une base théorique solide pour la couleur de se servir comme un indice de qualité pour son partenaire, y compris la santé en général et la charge parasitaire (par exemple Maynard-Smith & Harper, 2003). En tant que tel, il peut y avoir un lien entre parasite, médiation entre la formation d'agrégats de très grandes, et la possession de couleur vive qui s'étendent sur une grande partie de la surface du corps - à la fois les caractéristiques propres au Symphysodon parmi les cichlidés d'Amérique du Sud. Mais revenons en Europe, plus particulièrement en France, cette préparation est particulièrement destiné à vos Discus sauvages. Elle est la résultante de bien d’essaies pour obtenir un très bon résultat. Respecter les grammages. Les combinaisons sont alors à l’ infini, dans le respect de la sustentation de vos Discus. Distribution de 2 à 8 fois par jour.
Préparation pour 1.1kg de mix, pour Discus.
300 gr de filet de haddock, (cru et tailler en brunoise).
100 gr d’œufs de poisson, (bar, flétan, cabillaud, hareng, saumon etc…
100 gr de tétragone haché, frais, à défaut surgelé.
100 gr de têtes et carapaces de grosses crevettes roses. (Uniquement).
100 gr de petits pois crus (de présence car plus de vitamines).
100 gr de poivrons rouge épluché et tailler en brunoise, orange ou vert.
100 gr de Gammarus, congelés (mélange de Gammarus salés et d’eau douce).
100 gr amorce a poisson contenant chapelure, coprah sec, biscuit graines de lin moulu.
100 gr d’algues type wakamè, ou nori ou dulsè (le mélange des 3 sera un plus).
20 gr de graines de sésame, 20 gr de paprika, 20 gr de curcuma,
10 mg de Lr54-uru, mélange 50 fois plus puissant que la carotte.
10 gr de spiruline, de votre choix (1500 espèces d’algues bleues).
10 gr de levure alimentaire, (bière).
10 gr d’ail. Frais à défaut en poudre.
Quelques explications pour ce mix.
Mix : c’est de le nom pour toutes préparations, composés de plusieurs éléments et mélanger.
Amorce a poisson remplace les détritus dans la nature contenant chapelure, coprah sec, biscuit graines de lin moulu. Conservateur (e200, e260, e280).
Lr54-uru, 10 mg colorant 50 fois plus puissant que la carotte pour les adeptes des poissons colorés cette composition reste de mon domaine et dans le jardin secret de l’Amazonie .il est difficile de mettre au point des composantes multiples. Néanmoins je lâche quelques brides d’informations….
Le lr54 est un mélange "maison" d’acerola, guarana, baies d’aguaymanto, lacuma, yucon en racine, d’uru. Tant de connaissance est la résultante de sortie en forêt amazonienne depuis plus de 10ans. ce mélange peut être fait par vos soins !!!!.
Mais pour nous il y a des boissons plus simples comme le guarana !!.
Les Gammarus : Genre de crustacés, de l'ordre des amphipodes, ils vivent dans la mer ou dans les estuaires, les autres Gammarus dans les eaux douces et propres. Ce qui en fait une nourriture pour tout type de poisson, Contrairement à leur version sèche, les Gammarus congelés sont très riches en protéines et vitamines.
Le haddock est une préparation légèrement salée et fumée d'aiglefin. L'aiglefin préparé en haddock est légèrement salé et fumé et teint au rocou (colorant végétal utilisé également pour colorer des fromages. Le haddock bien frais a une chair blanche et claire. La fraîcheur du filet d'aiglefin se détermine à sa tenue et à sa fermeté ; les filets doivent être translucides; pour notre mix il sera tailler en brunoise et au couteau exclusivement.
Le poisson est un aliment primordial dans l’alimentation aquariophile. La valeur nutritive de cet aliment invite à savoir l'apprécier au mieux. Il faut savoir que la chair du poisson contient énormément de protéines.
Elle est aussi une source importante d'éléments minéraux, dans la mesure où elle renferme de l'iode ou encore du phosphore. La chair du poisson contient également de la vitamine B qui a de nombreux rôles: par exemple, lutter contre les états de stress (B1) et maintenir l'intégrité de notre Discus et contrer l'anémie (B12).
De plus, les poissons gras sont communément bénéfiques à l'organisme. En effet, ils lui apportent beaucoup d'énergie. À noter que dans 100 grammes de hareng, de saumon, de haddock, ou de truite, on peut trouver de 100 à 285 calories en énergie. C'est énorme. De plus, la quantité de fer contenue dans les poissons bleus est non négligeable, tout comme celle des vitamines E, A D.
La tétragone cornue est une plante herbacée de la famille des Aizoacées, originaire de la Nouvelle-Zélande et de nombreuses îles de l'Océan atlantique. Mais elle est appréciée et cultivée depuis longtemps aussi à l'île de la Réunion, où les créoles la désigne très coassement "brède tétragone" ou "épinard". A bien des égards, c'est un légume absolument remarquable, auquel sa richesse en vitamine C ?et lui confère d'ailleurs des vertus redynamisâtes fort intéressantes pour l’organisme de notre Discus. (Riche en sels minéraux, elle contient aussi les précieuses vitamines B1, B2 et PP).
La spiruline est une algue qui existe telle quelle depuis plus de 3 milliards d'années. Ainsi nommée en raison de sa forme spiralée, elle appartient à la famille des cyanobactéries ou micro algues bleu-vert. Il existe près de 1 500 espèces d'algues bleues, et 36 espèces de spiruline sont comestibles. La principale espèce actuellement offerte sur le marché est la Spirulina platensis. D’abord cultivée principalement en Californie et à Hawaï, la spiruline est maintenant produite de façon contrôlée partout dans le monde où le climat le permet : Chili, Chine, Cuba, Inde, Afrique de l’Ouest, Grèce (en serres géothermiques), etc. Dans le commerce, la spiruline se présente généralement sous la forme d'une poudre bleu-vert déshydratée,
La spiruline, est faible en calories, elle contient une mine de nutriments dans un très petit volume. Sa teneur peut cependant varier selon son origine géographique, mais aussi selon les procédés de culture, de séchage et de broyage.
La spiruline en générale contient de 55 % à 70 % de protéines d'excellente qualité (proportion des acides aminés et digestibilité optimales), soit de 2,5 g à 3,5 g de protéines par 5 g de poudre.
La spiruline est une source exceptionnelle de caroténoïdes variés (bêta-carotène principalement, mais aussi crypto xanthine, lutéine, zéaxanthine, etc.), soit autour de 22 mg/5 g. Elle fournit notamment une quantité astronomique de bêta-carotène, soit de 12 000 UI à 25 000 UI par 5 g de poudre.
Elle constitue une excellente source de fer, soit de 3 mg à 8 mg par 5 g.
Elle contient une quantité appréciable d'acide gamma-linoléique (de 40 mg à 50 mg/5 g), un acide gras insaturé de la famille des oméga-6. Pour en savoir plus sur les oméga-6,
De plus, la spiruline est riche en phycocyanine, le seul pigment bleu naturel pouvant servir de colorant alimentaire et auquel on attribue une activité antioxydant importante. Elle contient également de la chlorophylle et de petites quantités de plusieurs minéraux. En complément de cyano, et de différentes petites algues vertes, le choix est vaste !!!.
Ses écailles sont en forme de peigne, et le bord de celle-ci sont garnies d’épines denticulées, très visible sur des sauvages, le fait de donner de la spiruline, redore et fait étinceler les écailles de vos Discus.(a vos loupe pour observation).
Les écailles de vos Discus vont devenir brillantes et satinées, de par le mucus de protection de celle-ci, les rayons des nageoires vont se décliner comme jamais avec des couleurs en transparence, une puissance décupler à partir du moment où vos Discus s’enfuiront avec un bruit sourd, la préparation de ce mix aura fait effet.
Je mets de l’ail frais comme antihelminthique naturel. L’ail remplace le vermifuge? L’ail est un vermifuge préventif. A défaut d’ail frais, la poudre fera l’affaire. Les divergents menus ne sont pas exostifs et les mélanges sont à l’infini dans l’élaboration d’un rendement raisonnable.
Cette nourriture peut être déposée sur de la mousse (genre et ou type de java) entourant une racine ou une branche (l’attache de cette mousse peut être obtenue par un fin fil de nylon et sur une hauteur de 60 à 80 cent) ne pas hésiter à mettre en complément de la nourriture vivante que les Discus s’empresseront d’aller chercher dans cette mousse voir filamenteuse serait un plus et parfait.
Propriétés du petit pois
Le petit pois frais peut être classé dans la famille des féculents. C’est un légume au même titre que les haricots verts auxquels il ressemble, bien qu’il soit parmi les plus sucrés et donc les plus caloriques. Consommé frais ou en boîte, la valeur nutritionnelle du petit pois est quasiment la même.
Le petit pois contient trois vitamines anti oxydantes, contient du bêta carotène et beaucoup de fibres qui lui valent de figurer parmi les légumes santé.
Le petit pois est très énergétique et reminéralisant. La forte teneur du petit pois en sucre lent lui confère les vertus rassasiantes. Aussi, il est riche en protéines de mauvaise valeur biologique (un facteur limitant qui est la méthionine que contiennent par contre les céréales).
Le petit pois est très riche en fibres, il possède donc sur l’intestin une action laxative.
Enfin, le petit pois participe à l’élimination du cholestérol. Sachez que les petits pois jeunes, tendres et riches en protéines sont mieux supportés sur le plan intestinal que les pois âgés, durs plus riche en lignine irritante. Alors très bon pour notre Discus après essais. Dans la mesure du possible N’offrez jamais plus que la dose prescrite plus haut de petits pois car ils sont très riches en hydrates de Carbonne.(alors pas d’abus !!!).
Composition pour 100 grammes
Le petit pois est le plus énergétique de la plupart des autres légumes avec en moyenne 80 Kcal cru et 60 calories cuit dont 6g de sucre.
Cet index glycémique est bien et permet d’éviter les hausses brutales de la glycémie. Le petit pois est une excellente source de vitamines. Il englobe une très grande variété dont la plus trouvée est du groupe de la vitamine B : vitamine B1 (0,4mg), vitamine B2 (0,1mg), vitamine B3 (2mg), vitamine B5 (0,21mg), vitamine B6 (0,1mg). Aussi, le petit pois englobe d’autres vitamines comme la vitamine C (32mg), vitamine E (0,2mg), Carotènes (380μg).
Par ailleurs, le petit pois participe vigoureusement à la déminéralisation de l’organisme grâce à la présence du potassium (300mg), du phosphore (126mg), du magnésium (34mg), du fer (1,8mg) et du calcium (26mg).
Le petit pois est gorgé de fibres abondantes (6g), la même quantité de protéines végétales qui complémente les protéines des céréales. Enfin, les 100g de petits pois renferment 0,7g de lipides. Le petit pois est donc un légume très complet qui n’a comme seul défaut de faire grossir s’il est consommé en excès. Son association avec du pain et des pâtes renforce son pouvoir nutritionnel en apportant l’acide aminé manquant, non fabriqué par l’organisme humain. Cependant il a des bienfaits notre petit pois.
Grâce à la lutéine et la zéaxanthine, le petit pois est un aliment antioxydant par excellence. Il protège le corps des atteintes causées par les radicaux libres.
il est une bonne source de protéines végétales.
La levure de bière est un aliment naturel d'une exceptionnelle teneur en nombreux éléments vitaux essentiels, notamment en :
1) Protides avec tous les acides aminés indispensables (isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, tryptophane et valine), c'est-à-dire tous ceux que notre organisme est incapable de synthétiser lui-même et qu'il faut donc lui apporter quotidiennement dans notre ration alimentaire.
2) Substances minérales, et plus particulièrement : calcium, cuivre, fer, magnésium, phosphore, potassium, soufre, qui occupent tous une place essentielle dans le bon fonctionnement des chaînons métaboliques de l'organisme.
3) Vitamines, surtout du groupe B et, pour beaucoup d'entre elles, la levure de bière en constitue la source naturelle la plus riche qui soit, tout spécialement pour la vitamine B1 ou thiamine, la vitamine B2 ou riboflavine, la vitamine B3 (ou PP) ou nicotinamide, la vitamine B5 ou acide pantothénique, la vitamine B6 ou pyridoxine, et la vitamine B8 (ou H) ou biotine. Le tableau ci-dessous illustre d'ailleurs parfaitement cette richesse, en vous signalant au passage que ces quantités sont - en moyenne - cinq à dix fois plus importantes que celles contenues dans les aliments habituels de nos menus quotidiens : pain, céréales,
viandes et volailles, légumes et fruits frais, œufs, fromages et laitages. Délayer avec eau 3cl
Le poivron rouge de préférence, bien sur tous les manuels d’aquariophilies ne jure que par la carotte. Bien que notre Discus sauvage ne consomme pas de carotte dans la nature, et encore moins du poivron, voilà un excellent crinoïde qui va en surprendre plus d’un !! L’évolution de l’aquariophilie passe aussi par la.il faut un temps d’adaptation et le tour est jouer. Des résultats surprenants pour des poissons d’exceptions. Pour les détracteurs, je vous invite à la maison, constaté de vos propres yeux. Des Discus en pleine formes, et ne souffrant d’aucunes pathologies. Le poivron devra être épluché, c’est impératif et tailler en mini brunoise.
Les crevettes : Beaucoup d'espèces sont comestibles et constituent donc des ingrédients de cuisine. La plupart étant dépositoires (se nourrissent de particules déposées sur le fond), elles sont susceptibles de contenir certains polluants qui se déposent sur les fonds où elles vivent : PCB, etc. Certaines espèces ont un taux de cuivre inhabituellement élevé pour des organismes aquatiques. On ne peut pas parler de contamination car il est dû à un pigment sanguin à base de molécules de cuivre, l'hémocyanine, naturellement produit par la crevette. Certains attribuent la coloration en orange de la crevette dite rose au moment de la cuisson à la forte teneur en cuivre de l'animal. Cependant, cette couleur provient en réalité de l'astaxanthine, dont la molécule, ne présente aucune trace de cuivre. Dans cette préparation broyer au cutter.
Enfin il sera encore possible et toujours en complément de faire des infusoires à profusion et des amicules, des algues chlorella, des aselles, des cyclops, des daphnies, des gammares, des ostracodes, des paramécies des rotifères, des tubifex, des vers aquatique, des branchions, des drosophiles etc.… du frais, un maximum, avec décontamination c’est possible pour certaines d’entre eux.
Bien sûr je vais aussi souvent que je le peux en amazonie pour l’observation des Discus sauvages, de ses prédateurs et du biotope.il n’en demeure pas moins les compléments d’informations que nous pouvons recoupés en temps voulus, pour la plus grande satisfaction d’un aquariophile contemplant son bac assis dans son fauteuil.
Avec mes respects pour les baroudeurs que nous avons précédés et suivis.
William G. R. Crampton
Qui a effectué des recherches dans la fin des années 90, et qui travaillait plus particulièrement sur les signaux électriques en zone Neotropical.
Remerciements :
Pour l’hébergement, les sorties, l’assistance sur place, les balades, les échappées, les découvertes, les expéditions en amazonie, dans la région du para, sur le Tapajos, Allenquer mais aussi sur le Nhamundã, puis plus loin avec le selva viva et le rio Napo, etc…. Ces informations ne sont pas dues aux hasards, mais à l’opiniâtreté, l’obstination, la ténacité, des aquariophiles aventureux voulant comprendre sur le biotope, la vie des Symphysodons ou nous percevons quelques brides de sa vie. Une expérience enrichissante, et pleine de danger et d’imprévu. Notre quête est un grain de sable dans l’immensité que représente l’amazone.
Remerciements :
H back, C Isabet, J. Albert, H. Bleher, T. Hrbek, E. Huusela, H. López Fernandez, R. Lowe-McConnell, J. Prêt, T. Silva, et S. Willis ont partagé leurs idées. Pour assistance sur le terrain Je remercie J. Alves de Oliveira et S. Esashika. C. Paxton a fourni des conseils statistiques. J.-Celso Malte identifié B. cichlae. Financement et soutien ont été fournis par l'Institut Mamirauá, Conselho Nacional de Desenvolvimento Tecnológico e Científico (CNPq) (subventions 380602/96, 2/381597/97-0), et le Département britannique pour le développement international. Financement au cours de la phase d'écriture a été fournie par la National Science subvention de la Fondation DEB-0614334.Collecte a été autorisée par un permis, y compris IBAMA 0492/99-12. Soins aux animaux est conforme aux directives du CNPq.
Ouvrages et articles cités :
Araujo-Lima, CARM, B. Forsberg, R. Victoria & L. Martinelli. 1986. Les sources d'énergie pour les poissons détritivores dans l'Amazone. Science, 234:1256-1258.
Araujo-Lima, CARM & M. Goulding. 1997. Si fécond un poisson: l'écologie, la conservation et de l'Aquaculture du Tambaqui de l'Amazonie. New York, Columbia University Press.
Ayres, JM 1993. Comme Matas de Várzea do Mamirauá - Médio Solimões Rio. Brasília, au Brésil, Sociedade Civil Mamirauá / CNPq.
Bagenal, la tuberculose et le FW Tesch. 1978. Âge et de la croissance. Pp. 101-136. Dans: Bagenal, T (Ed.).Méthodes d'évaluation de la production de poisson en eau douce. Oxford, Blackwell Scientific Publications.
Benedito-Cecilio, E., CARM Araujo-Lima, BR Forsberg, MM Bittencourt & LA Martinelli. 2000. Les sources de carbone de la pêche en Amazonie. Gestion des pêches et de l'écologie, 7:305-314. http://www.passeportsante.net http://recettes.doctissimo.fr hthttp://www.tendancemag.com/conseil-sante/720/Nutrition/Petit-pois--excellente-source-de-vitamines.htmltp://fr.wikipedia.org/wiki/Crevette.
Bleher, H. 2006. Bleher de discussion. Volume I. Pavie, en Italie, Aquapress.
Documentation et article base internet via la toile William G. R. Crampton:
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=de&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.flmnh.ufl.edu%2Fgymnotus%2Fwillcrampton.htm
www.passeportsante.net http://recettes.doctissimo.fr
Pour éviter toutes sortes de récriminations je puise mes sources sur (lr 54 et internet).
Département de biologie, University of Central Florida, PO Box 162368.Orlando, FL, 32816, États-Unis
Note à propos de l'alimentation
En 2006, Heiko Bleher dans son étude «Bleher Discus» (p. 510-595) a publié des informations détaillées sur le régime des Discus recueillis au cours de ses nombreux voyages dans le bassin de l'Amazone. Heiko Bleher a présenté l'analyse du contenu des estomacs, ainsi que les observations directes sur plus de 8 500 spécimens sauvages. Bien que la plupart des informations fournies par Bleher soient des estimations, dans le cas de Symphysodon aequifasciatus "Haraldi" des données quantitatives sont présentées (p. 593). Selon les données de H. Bleher, pendant la saison humide le contenu intestinal de ces Discus est composé à 12% d'algues, 44% de végétaux (fleurs, fruits, graines et feuilles), 6% de détritus, 16% d'invertébrés aquatiques & à 22 % d'arthropodes terrestres et arboricoles. Pendant la saison sèche les taux changent pour donner 25% d'algues, 39% de détritus, 9% de végétaux, 22% d'invertébrés aquatiques et 5 % d'arthropodes terrestres et arboricoles.
Il s'avère que les Discus se nourrissent à 55% de periphyton (mélange d'algues, de cyanobactéries, de microbes hétérotrophes et de détritus) durant la saison sèche et à 77% durant la saison humide. Ce periphyton, recueillit sur les racines immergées des plantes est une source très importante de nourriture pour de très nombreuses espèces amazoniennes.
A plus Aquariophilement eidge 54.
Le Symphysodon appartient à la tribu Heroini cichlasomatine.
Les Discus du genre Symphysodon sont des Cichlidés Ornementaux.
La nourriture des Discus doit être à la fois riche et variée. Dans la nature les poissons se nourrissent principalement de larves d’insectes, d’insectes adultes, de dépôts d’algues, de végétaux, de petits détritus et de petits crustacés etc., qu’ils trouvent en abondances et à la demande en fonction de la saison amazonienne.
Nous avons observé que dans son habitat naturel, le Symphysodon, se nourrissait en complément, du zooplancton local qu’il absorbe, il broute le gazon biotique qui recouvre les branches, les troncs d’arbres immergés et les racines des Renacos. Cette herbacée biologique est en majorité composée d’algues filamenteuses sur le periphyton dans lesquelles se trouvent de nombreux animalcules unicellulaires ou pluricellulaires, des larves et des insectes aquatiques, et de détritus organiques, des matières végétales, et de petits invertébrés aquatiques. Il y a beaucoup de mini-crevettes dans de la mousse, une nourriture de choix pour nos Discus. L’amazone, et les igarapés remontent sur plusieurs centaines de kms À marée haute, le poisson se nourrit seul ou en petits groupes dans les Várzea inondées. A marée basse il forme de grands rassemblements dans les cimes des arbres tombés le long des berges des retenues d’eau.
Les Discus du genre Symphysodon du rio Nhamundã à tête bleue sont très prisés en tant que cichlidés d'ornements ; la mastoïde est magnifique, ils se reproduisent dans les eaux des plaines inondables et les forêts inondées amazonienne. Ces habitats sont caractérisés par des fluctuations saisonnières extrêmes dans la disponibilité de nourriture, le logement et l'oxygène dissous, ainsi que les densités des prédateurs et des parasites. La plupart des aspects de la biologie du Discus sont influencés par ces conditions contingentes. Puis vient le temps de l’accouplement, et de la reproduction.
La reproduction a lieu au début de la saison des crues, de façon à veiller à ce que la descendance soit bien pourvue en nourriture et ce avant la période des basses eaux prochaines. Quant au Symphysodon Haraldi c’est un géniteur itéropares partiel, il atteint sa maturité sexuelle au bout d'un an, voir un peu plus, et s'engage par des soins parentaux envers ses œufs et de ses larves. Le calendrier des événements de frai, et le taux de survie des alevins peuvent être influencés par les fluctuations du niveau des crues, ce qui entraîne une distribution non-uni modale des classes de taille pour la suite d’un groupe +.
La hausse annuelle et la chute du fleuve Amazone a une amplitude typique de plus ou moins 6 a12 m, exposant les organismes des plaines d'inondation à des fluctuations extrêmes dans la disponibilité de nourriture et d'abris, la densité des prédateurs et des parasites. Les biens physico-chimiques de l'eau sont tels que l'oxygène se dissous (décrit par Junk, 1997).
Comprendre comment les Discus et les poissons de l’amazone se sont adaptés à ces conditions sans cesse changeantes est un élément central pour la compréhension de la diversification des poissons dans le bassin de la plaine amazonienne mais aussi dans les affluents de ce dernier.
Les Poissons du genre Symphysodons Discus sont uniques parmi les cichlidés néo tropicaux dans la formation d’agrégations statiques jusqu'à des centaines de sujets au cours de la période d'étiage.il faut les voir dans les entrelacs des racines et des branches submergées, filant à l’abri du courant derrière leurs souches, jouant avec les rayons du soleil, étant toujours sur le qui-vive au cas où un prédateur surgirait, il faut être le plus rapide, gare aux piranhas et autres poissons- chiens qui ne leur feraient pas de cadeau .amazonie oblige !!!.
Ils nous arrivent de voir des Discus avec qui !!! .Une nageoire en moins, qui des fois y a laisser sa queue, quand ce n’est pas la vie tout simplement. Dans le milieu naturel, il y a pas mal de poissons infestés de façon grave du nématode intestinal Capillaria. Pas seulement, et sans exception, outre de la taille ; tous les Discus infestés par B. cichlae avaient avec une coloration terne - ne présentant que de petites zones ternes de couleur bleu-vert ou rouge. Les barres de flanc vertical, qui devenaient plus intensifiées par les poissons stressés ou socialement subordonnés, ont été souvent de manière permanente mis en évidence chez ces individus.
Nourriture adaptée dans les forêts inondées. En termes de volumétrie, le Symphysodon Haraldi peut se nourrir principalement d'un mélange de periphyton et d’algues, de quelques détritus organiques et de la matière végétale verte. Ces trois catégories ont été combinées en une seule catégorie en raison de difficultés pratiques à les séparer. Néanmoins, la matière végétale verte sous la forme de feuilles triturées ne représentait probablement pas plus de 15% du volume total (une estimation grossière).car il n’est pas facile de peser les restes de nourriture dans l’estomac d’un Discus Sur le reste, il était difficile de distinguer entre les periphyton partiellement digérés et les divers détritus organiques, qui comprennent les résidus végétaux en décomposition principalement.
Le periphyton comprend plusieurs espèces filamenteuses, communautés de carragheens (algues), couvrant les branches mais aussi les racines, les souches et les feuilles de forêts inondées. Le Periphyton représente une forme majeure de la production primaire, et une importante source d'énergie pour les populations de poissons des plaines inondables (Araujo-Lima et al. 1986; Forsberg. et al, 1993). De bien beaux détritus organiques, qui se retrouvent piégés par le periphyton et s'accumulent sur les structures immergées, sont en soit également une source importante de nutrition pour de nombreuses espèces de poissons amazoniens, et une source d'énergie dominante pour les communautés de Discus ,mais aussi des poissons dans leur ensemble (Araujo-Lima et al. 1986).Notre Discus se nourrit entre autre d’animalcules à peines visibles, macroscopiquement, de toute cette gangue plus ou moins filamenteuse qui entoure les branches et mêmes les pierres des igarapés, sa composition sont de minuscules, prawn,( Le terme prawn pour les espèces d'eaux douces). Les naturalistes distinguent ces sortes de crevettes en raison des différences dans la structure de leurs branchies.
La crevette est un nom vernaculaire traditionnellement attribué à un ensemble de crustacés, autrefois regroupés dans le sous-ordre des "décapodes nageurs" ou Natantia, classé dans l'infra ordre des Caridea .D'autres groupes de crustacés dont l'allure est proche de celle des vraies crevettes peuvent parfois être désignés ainsi : il s'agit des euphausiacés et des Mysidacés, les mysis. Autrement exprimé, une crevette est un crustacé décapode appartenant au sous-ordre des Natantia, souvent une espèce pénéide : avec un coup d’épuisette on peut se rendre compte de la multitude de pénéides Crustacés, gammares fluviatilis ou puces d’eau, crevettine, larves d’insectes de toutes sortes qui sont surtout répandues dans les régions chaudes,
Puis d’un autre coup d’épuisette sur le bord d’un igapo dans de la mousse , une concentration importante de ces amicules, découverte également des diaptomus ( genre de copépodes avec un seul œil unique), aussi des apus, leidurus (genre de fossile vivant ressemblant à la limule mais en plus petit de la taille d’une tête d’épingle), enfin le phryganes petit insecte de 20 à 30 mm de l’ordre des trichoptères, même si certains d’entre vous le connaisse sous le nom de porte- bois surtout à la pêche à la truite, ce sont des larves aquatiques, les Discus en sont friands, après métamorphose ils sont capables de voler tel un papillon etc… c’est la principale source d’alimentation de nos Discus a l’état sauvage. Enfin il est également poïkilotherme (c’est-à-dire que la température de son corps suit les variations de la température de l’eau) d’où sa manière de s’alimenter en fonction de la température du rio.
Tri et rinçage des fricots : Les Discus emploient différentes techniques pour trier ce qui est comestible de ce qui ne l’est pas. Ils peuvent ainsi recracher immédiatement un élément non comestible comme un gravier ou un morceau de bois, ou recracher un aliment trop gros, pour l’émietter et l’avaler à nouveau. Les Discus sont aussi capables de nettoyer des aliments dans leur bouche, par une circulation intensive de l’eau que l’on nomme « rinçage »avant de finir dans l’entral de notre discus. Le Discus le fait également en version élevage, si je peux vous le transmettre de cette manière.
Ce mécanisme permet l’élimination des particules non comestibles par la bouche, il recrache, tout en retenant l’aliment pour l’avaler ensuite. Ces techniques sont très utiles et efficaces, surtout en milieu naturel où les aliments sont souvent mélangés à de la vase ou d’autres éléments non comestibles et qu’il détecte par son névraxe via ensuite son action buccale.
Notre Discus sent et goutte il à les flaveurs, il goûte à distance, comme tous les poissons, les Discus peuvent détecter la présence d’aliments en “ gnosie” en “flairant” ou en “goûtant” l’eau, avec sa paire de choanes, “ narines“. Beaucoup détectent des stimuli chimiques grâce également à des organes sensoriels situés autour de la bouche ou sur d'autres parties du corps. (Ligne latérale).
C’est très utile lorsqu’on vit dans de l’eau trouble ou pas très nette (ce qui est souvent le cas dans la nature), où la vue ne sert à rien pour trouver à manger. Donc les Discus goûtent l’eau grâce à de petits organes sensoriels nommés papilles gustatives, très semblables aux nôtres. Le matin au lever du jour notre Discus est en malefaim.
Mais revenons au bord de notre igarapé !!!
À marée basse, le substrat beaucoup moins immergé est disponible pour la croissance du periphyton. En outre, les eaux du lac ont tendance à être influencées par l'action des vagues sur les plages d'argile à marée basse et la réduction de la zone photique pour la croissance des algues. Ces facteurs peuvent expliquer pourquoi une grande partie des Discus ont des algues stockées partiellement dans l’estomac, à marée basse et pourquoi les invertébrés comprennent une plus grande fraction dans leur alimentation : constatations faites après leur avoir ouvert l’estomac, (au cours de la période des hautes eaux, dans les forêts inondées), habituellement c’est là que le periphyton se développe le plus abondamment. (Chaleur et eau plus stagnante) A cette époque de l'année, les invertébrés constituent une composante plus faible volumétriquement de la sustentation du Discus, même si elles peuvent représenter une source essentielle de protéines. Une étude plus approfondie est nécessaire pour enquêter sur la contribution relativement énergétique et nutritive (par rapport à la représentation volumétrique) des matières de détritus, d'algues, de matières végétales et animales dans la nutrition des Symphysodons.
La compression exagérée latérale et la hauteur du corps de notre Discus sont partagées, à un degré moindre, Cette morphologie est probablement bien adaptée pour pénétrer dans les interstices étroits des souches et des branches immergées. Les bandes sombres verticales et ternes des couleurs de fond vert-brun du Discus lui permettent sans doute de lui fournir le camouflage, et les bandes sont rapidement intensifiées par l'expansion des chromatophores chez les poissons effrayés. Après maintes observations dans le biotope naturel, force est de constater que les Discus se fondent dans le décor naturel de leurs rios. Il nous faut quelques fois approcher de très près sous les souches immergées pour voir une compagnie de Discus de plusieurs centaines d’individus. Typique et exclusif chez le Discus, ces agrégations de plusieurs dizaines d'individus sont rarement, sinon jamais vues dans d'autres cas de cichlidés d'Amérique du Sud.(déjà constaté par Bleher et les autres baroudeurs, je cite Henri, Christian, Régis, Pedro( notre guide indien en amazonie).
Les Inondations des eaux des forêts sont généralement mal oxygénées ou anoxiques en raison de la décomposition de la litière de feuilles et autres débris organiques (décrie par Crampton, 1998). Comme les cichlidés amazoniens autres, S. Haraldi présente une suite d'adaptations biochimiques qui leurs permettent une respiration anaérobie efficace pendant les périodes d'hypoxie. Ceux-ci sont documentés par Chippari-Gomes et al. (2005).
La vie de groupe dans le comportement du Discus : Les Discus forment des multi-cohortes « des colonies » dans les galhadas, qui semblent fonctionner aussi bien en bas dans les refuges d'eau que dans les endroits de rassemblement, principalement autour des souches, mais aussi autour de grosses pierres. Les distances de dispersion à court terme indiquées par la marque de libération données, couplée avec le nombre relativement faible de Discus capturé à partir d’une retenue nouvellement construites («artificielle») suggèrent que les colonies de Discus dans les galhadas sont relativement statiques durant la période des basses eaux. Ils stagnent aux mêmes endroits, se déplaçant peu. Les Discus n'ont pas été équitablement répartis entre galhadas sur les sites d'étude. Au lieu de cela, de nombreux galhadas apparemment appropriés (sites abrités dans 2 - 4 m de profondeur), étaient dépourvus de Discus ou ne contenait que quelques spécimens, tandis que d'autres, les galhadas similaires contenaient des centaines de spécimens. Ces tendances indiquent que les Discus actifs forment des agrégats sociaux, plutôt que de simplement remplir l'espace disponible. A l’heure actuel, nous ne savons, quel type de prédateurs et le plus crains des Discus, et celui faisant le plus de ravage parmi les colonies.
Les Piranhas (Serrasalmus spp. P. nattereri) sont piscivores et voraces, mais parce qu'ils n'ont généralement pas avalé leur proie, pourtant les analyses des contenus stomacaux peuvent considérablement donner la mesure dans laquelle ils mangent du Discus. L'importance des jacarés des dauphins de rios, des loutres, des serpents et des oiseaux comme de toutes autres prédateurs est également inconnue.il reste de l’inconnu et des mystères en amazonie.
La vie de groupe et les parasites : vivant en groupe, même si elle est temporaire, présente des inconvénients – notamment dans la transmission accrue de maladies et de parasites (Trivers, 1985). Une grande proportion (14%) des Discus de la baie Uxi était infestée de l'isopode B. cichlae. Ce n’est malheureusement pas la première constatation. Ce parasite ne semble pas seulement retarder la croissance du Discus, mais elle semble aussi limiter le développement de ses couleurs vives. Braga cichlae dévore les lamelles branchiales, provoquant l'absorption d'oxygène réduite et sans aucun doute donc fait obstacle à la croissance et a un développement normal de ce dernier. Les Discus sont beaucoup plus fréquemment infestés par B. cichlae que les autres cichlidés syntopiques, malgré le caractère généraliste de ce parasite (Thatcher, 1991); ce manque de spécificité d'hôte peut être démontré en fournissant à partir de la nage libre B. cichlae avec un choix de Symphysodon contre d'autres hôtes de cichlidés. Parce que pour développer ses couleurs vives comme un ornement sexuel secondaire pour notre Discus et parce que les parasites à la fois peuvent diminuer la couleur et stopper la croissance, une affaire sera faite pour la couleur lumineuse servant d'indice de la charge parasitaire dans le choix du partenaire. Il existe une base théorique solide pour la couleur de se servir comme un indice de qualité pour son partenaire, y compris la santé en général et la charge parasitaire (par exemple Maynard-Smith & Harper, 2003). En tant que tel, il peut y avoir un lien entre parasite, médiation entre la formation d'agrégats de très grandes, et la possession de couleur vive qui s'étendent sur une grande partie de la surface du corps - à la fois les caractéristiques propres au Symphysodon parmi les cichlidés d'Amérique du Sud. Mais revenons en Europe, plus particulièrement en France, cette préparation est particulièrement destiné à vos Discus sauvages. Elle est la résultante de bien d’essaies pour obtenir un très bon résultat. Respecter les grammages. Les combinaisons sont alors à l’ infini, dans le respect de la sustentation de vos Discus. Distribution de 2 à 8 fois par jour.
Préparation pour 1.1kg de mix, pour Discus.
300 gr de filet de haddock, (cru et tailler en brunoise).
100 gr d’œufs de poisson, (bar, flétan, cabillaud, hareng, saumon etc…
100 gr de tétragone haché, frais, à défaut surgelé.
100 gr de têtes et carapaces de grosses crevettes roses. (Uniquement).
100 gr de petits pois crus (de présence car plus de vitamines).
100 gr de poivrons rouge épluché et tailler en brunoise, orange ou vert.
100 gr de Gammarus, congelés (mélange de Gammarus salés et d’eau douce).
100 gr amorce a poisson contenant chapelure, coprah sec, biscuit graines de lin moulu.
100 gr d’algues type wakamè, ou nori ou dulsè (le mélange des 3 sera un plus).
20 gr de graines de sésame, 20 gr de paprika, 20 gr de curcuma,
10 mg de Lr54-uru, mélange 50 fois plus puissant que la carotte.
10 gr de spiruline, de votre choix (1500 espèces d’algues bleues).
10 gr de levure alimentaire, (bière).
10 gr d’ail. Frais à défaut en poudre.
Quelques explications pour ce mix.
Mix : c’est de le nom pour toutes préparations, composés de plusieurs éléments et mélanger.
Amorce a poisson remplace les détritus dans la nature contenant chapelure, coprah sec, biscuit graines de lin moulu. Conservateur (e200, e260, e280).
Lr54-uru, 10 mg colorant 50 fois plus puissant que la carotte pour les adeptes des poissons colorés cette composition reste de mon domaine et dans le jardin secret de l’Amazonie .il est difficile de mettre au point des composantes multiples. Néanmoins je lâche quelques brides d’informations….
Le lr54 est un mélange "maison" d’acerola, guarana, baies d’aguaymanto, lacuma, yucon en racine, d’uru. Tant de connaissance est la résultante de sortie en forêt amazonienne depuis plus de 10ans. ce mélange peut être fait par vos soins !!!!.
Mais pour nous il y a des boissons plus simples comme le guarana !!.
Les Gammarus : Genre de crustacés, de l'ordre des amphipodes, ils vivent dans la mer ou dans les estuaires, les autres Gammarus dans les eaux douces et propres. Ce qui en fait une nourriture pour tout type de poisson, Contrairement à leur version sèche, les Gammarus congelés sont très riches en protéines et vitamines.
Le haddock est une préparation légèrement salée et fumée d'aiglefin. L'aiglefin préparé en haddock est légèrement salé et fumé et teint au rocou (colorant végétal utilisé également pour colorer des fromages. Le haddock bien frais a une chair blanche et claire. La fraîcheur du filet d'aiglefin se détermine à sa tenue et à sa fermeté ; les filets doivent être translucides; pour notre mix il sera tailler en brunoise et au couteau exclusivement.
Le poisson est un aliment primordial dans l’alimentation aquariophile. La valeur nutritive de cet aliment invite à savoir l'apprécier au mieux. Il faut savoir que la chair du poisson contient énormément de protéines.
Elle est aussi une source importante d'éléments minéraux, dans la mesure où elle renferme de l'iode ou encore du phosphore. La chair du poisson contient également de la vitamine B qui a de nombreux rôles: par exemple, lutter contre les états de stress (B1) et maintenir l'intégrité de notre Discus et contrer l'anémie (B12).
De plus, les poissons gras sont communément bénéfiques à l'organisme. En effet, ils lui apportent beaucoup d'énergie. À noter que dans 100 grammes de hareng, de saumon, de haddock, ou de truite, on peut trouver de 100 à 285 calories en énergie. C'est énorme. De plus, la quantité de fer contenue dans les poissons bleus est non négligeable, tout comme celle des vitamines E, A D.
La tétragone cornue est une plante herbacée de la famille des Aizoacées, originaire de la Nouvelle-Zélande et de nombreuses îles de l'Océan atlantique. Mais elle est appréciée et cultivée depuis longtemps aussi à l'île de la Réunion, où les créoles la désigne très coassement "brède tétragone" ou "épinard". A bien des égards, c'est un légume absolument remarquable, auquel sa richesse en vitamine C ?et lui confère d'ailleurs des vertus redynamisâtes fort intéressantes pour l’organisme de notre Discus. (Riche en sels minéraux, elle contient aussi les précieuses vitamines B1, B2 et PP).
La spiruline est une algue qui existe telle quelle depuis plus de 3 milliards d'années. Ainsi nommée en raison de sa forme spiralée, elle appartient à la famille des cyanobactéries ou micro algues bleu-vert. Il existe près de 1 500 espèces d'algues bleues, et 36 espèces de spiruline sont comestibles. La principale espèce actuellement offerte sur le marché est la Spirulina platensis. D’abord cultivée principalement en Californie et à Hawaï, la spiruline est maintenant produite de façon contrôlée partout dans le monde où le climat le permet : Chili, Chine, Cuba, Inde, Afrique de l’Ouest, Grèce (en serres géothermiques), etc. Dans le commerce, la spiruline se présente généralement sous la forme d'une poudre bleu-vert déshydratée,
La spiruline, est faible en calories, elle contient une mine de nutriments dans un très petit volume. Sa teneur peut cependant varier selon son origine géographique, mais aussi selon les procédés de culture, de séchage et de broyage.
La spiruline en générale contient de 55 % à 70 % de protéines d'excellente qualité (proportion des acides aminés et digestibilité optimales), soit de 2,5 g à 3,5 g de protéines par 5 g de poudre.
La spiruline est une source exceptionnelle de caroténoïdes variés (bêta-carotène principalement, mais aussi crypto xanthine, lutéine, zéaxanthine, etc.), soit autour de 22 mg/5 g. Elle fournit notamment une quantité astronomique de bêta-carotène, soit de 12 000 UI à 25 000 UI par 5 g de poudre.
Elle constitue une excellente source de fer, soit de 3 mg à 8 mg par 5 g.
Elle contient une quantité appréciable d'acide gamma-linoléique (de 40 mg à 50 mg/5 g), un acide gras insaturé de la famille des oméga-6. Pour en savoir plus sur les oméga-6,
De plus, la spiruline est riche en phycocyanine, le seul pigment bleu naturel pouvant servir de colorant alimentaire et auquel on attribue une activité antioxydant importante. Elle contient également de la chlorophylle et de petites quantités de plusieurs minéraux. En complément de cyano, et de différentes petites algues vertes, le choix est vaste !!!.
Ses écailles sont en forme de peigne, et le bord de celle-ci sont garnies d’épines denticulées, très visible sur des sauvages, le fait de donner de la spiruline, redore et fait étinceler les écailles de vos Discus.(a vos loupe pour observation).
Les écailles de vos Discus vont devenir brillantes et satinées, de par le mucus de protection de celle-ci, les rayons des nageoires vont se décliner comme jamais avec des couleurs en transparence, une puissance décupler à partir du moment où vos Discus s’enfuiront avec un bruit sourd, la préparation de ce mix aura fait effet.
Je mets de l’ail frais comme antihelminthique naturel. L’ail remplace le vermifuge? L’ail est un vermifuge préventif. A défaut d’ail frais, la poudre fera l’affaire. Les divergents menus ne sont pas exostifs et les mélanges sont à l’infini dans l’élaboration d’un rendement raisonnable.
Cette nourriture peut être déposée sur de la mousse (genre et ou type de java) entourant une racine ou une branche (l’attache de cette mousse peut être obtenue par un fin fil de nylon et sur une hauteur de 60 à 80 cent) ne pas hésiter à mettre en complément de la nourriture vivante que les Discus s’empresseront d’aller chercher dans cette mousse voir filamenteuse serait un plus et parfait.
Propriétés du petit pois
Le petit pois frais peut être classé dans la famille des féculents. C’est un légume au même titre que les haricots verts auxquels il ressemble, bien qu’il soit parmi les plus sucrés et donc les plus caloriques. Consommé frais ou en boîte, la valeur nutritionnelle du petit pois est quasiment la même.
Le petit pois contient trois vitamines anti oxydantes, contient du bêta carotène et beaucoup de fibres qui lui valent de figurer parmi les légumes santé.
Le petit pois est très énergétique et reminéralisant. La forte teneur du petit pois en sucre lent lui confère les vertus rassasiantes. Aussi, il est riche en protéines de mauvaise valeur biologique (un facteur limitant qui est la méthionine que contiennent par contre les céréales).
Le petit pois est très riche en fibres, il possède donc sur l’intestin une action laxative.
Enfin, le petit pois participe à l’élimination du cholestérol. Sachez que les petits pois jeunes, tendres et riches en protéines sont mieux supportés sur le plan intestinal que les pois âgés, durs plus riche en lignine irritante. Alors très bon pour notre Discus après essais. Dans la mesure du possible N’offrez jamais plus que la dose prescrite plus haut de petits pois car ils sont très riches en hydrates de Carbonne.(alors pas d’abus !!!).
Composition pour 100 grammes
Le petit pois est le plus énergétique de la plupart des autres légumes avec en moyenne 80 Kcal cru et 60 calories cuit dont 6g de sucre.
Cet index glycémique est bien et permet d’éviter les hausses brutales de la glycémie. Le petit pois est une excellente source de vitamines. Il englobe une très grande variété dont la plus trouvée est du groupe de la vitamine B : vitamine B1 (0,4mg), vitamine B2 (0,1mg), vitamine B3 (2mg), vitamine B5 (0,21mg), vitamine B6 (0,1mg). Aussi, le petit pois englobe d’autres vitamines comme la vitamine C (32mg), vitamine E (0,2mg), Carotènes (380μg).
Par ailleurs, le petit pois participe vigoureusement à la déminéralisation de l’organisme grâce à la présence du potassium (300mg), du phosphore (126mg), du magnésium (34mg), du fer (1,8mg) et du calcium (26mg).
Le petit pois est gorgé de fibres abondantes (6g), la même quantité de protéines végétales qui complémente les protéines des céréales. Enfin, les 100g de petits pois renferment 0,7g de lipides. Le petit pois est donc un légume très complet qui n’a comme seul défaut de faire grossir s’il est consommé en excès. Son association avec du pain et des pâtes renforce son pouvoir nutritionnel en apportant l’acide aminé manquant, non fabriqué par l’organisme humain. Cependant il a des bienfaits notre petit pois.
Grâce à la lutéine et la zéaxanthine, le petit pois est un aliment antioxydant par excellence. Il protège le corps des atteintes causées par les radicaux libres.
il est une bonne source de protéines végétales.
La levure de bière est un aliment naturel d'une exceptionnelle teneur en nombreux éléments vitaux essentiels, notamment en :
1) Protides avec tous les acides aminés indispensables (isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, tryptophane et valine), c'est-à-dire tous ceux que notre organisme est incapable de synthétiser lui-même et qu'il faut donc lui apporter quotidiennement dans notre ration alimentaire.
2) Substances minérales, et plus particulièrement : calcium, cuivre, fer, magnésium, phosphore, potassium, soufre, qui occupent tous une place essentielle dans le bon fonctionnement des chaînons métaboliques de l'organisme.
3) Vitamines, surtout du groupe B et, pour beaucoup d'entre elles, la levure de bière en constitue la source naturelle la plus riche qui soit, tout spécialement pour la vitamine B1 ou thiamine, la vitamine B2 ou riboflavine, la vitamine B3 (ou PP) ou nicotinamide, la vitamine B5 ou acide pantothénique, la vitamine B6 ou pyridoxine, et la vitamine B8 (ou H) ou biotine. Le tableau ci-dessous illustre d'ailleurs parfaitement cette richesse, en vous signalant au passage que ces quantités sont - en moyenne - cinq à dix fois plus importantes que celles contenues dans les aliments habituels de nos menus quotidiens : pain, céréales,
viandes et volailles, légumes et fruits frais, œufs, fromages et laitages. Délayer avec eau 3cl
Le poivron rouge de préférence, bien sur tous les manuels d’aquariophilies ne jure que par la carotte. Bien que notre Discus sauvage ne consomme pas de carotte dans la nature, et encore moins du poivron, voilà un excellent crinoïde qui va en surprendre plus d’un !! L’évolution de l’aquariophilie passe aussi par la.il faut un temps d’adaptation et le tour est jouer. Des résultats surprenants pour des poissons d’exceptions. Pour les détracteurs, je vous invite à la maison, constaté de vos propres yeux. Des Discus en pleine formes, et ne souffrant d’aucunes pathologies. Le poivron devra être épluché, c’est impératif et tailler en mini brunoise.
Les crevettes : Beaucoup d'espèces sont comestibles et constituent donc des ingrédients de cuisine. La plupart étant dépositoires (se nourrissent de particules déposées sur le fond), elles sont susceptibles de contenir certains polluants qui se déposent sur les fonds où elles vivent : PCB, etc. Certaines espèces ont un taux de cuivre inhabituellement élevé pour des organismes aquatiques. On ne peut pas parler de contamination car il est dû à un pigment sanguin à base de molécules de cuivre, l'hémocyanine, naturellement produit par la crevette. Certains attribuent la coloration en orange de la crevette dite rose au moment de la cuisson à la forte teneur en cuivre de l'animal. Cependant, cette couleur provient en réalité de l'astaxanthine, dont la molécule, ne présente aucune trace de cuivre. Dans cette préparation broyer au cutter.
Enfin il sera encore possible et toujours en complément de faire des infusoires à profusion et des amicules, des algues chlorella, des aselles, des cyclops, des daphnies, des gammares, des ostracodes, des paramécies des rotifères, des tubifex, des vers aquatique, des branchions, des drosophiles etc.… du frais, un maximum, avec décontamination c’est possible pour certaines d’entre eux.
Bien sûr je vais aussi souvent que je le peux en amazonie pour l’observation des Discus sauvages, de ses prédateurs et du biotope.il n’en demeure pas moins les compléments d’informations que nous pouvons recoupés en temps voulus, pour la plus grande satisfaction d’un aquariophile contemplant son bac assis dans son fauteuil.
Avec mes respects pour les baroudeurs que nous avons précédés et suivis.
William G. R. Crampton
Qui a effectué des recherches dans la fin des années 90, et qui travaillait plus particulièrement sur les signaux électriques en zone Neotropical.
Remerciements :
Pour l’hébergement, les sorties, l’assistance sur place, les balades, les échappées, les découvertes, les expéditions en amazonie, dans la région du para, sur le Tapajos, Allenquer mais aussi sur le Nhamundã, puis plus loin avec le selva viva et le rio Napo, etc…. Ces informations ne sont pas dues aux hasards, mais à l’opiniâtreté, l’obstination, la ténacité, des aquariophiles aventureux voulant comprendre sur le biotope, la vie des Symphysodons ou nous percevons quelques brides de sa vie. Une expérience enrichissante, et pleine de danger et d’imprévu. Notre quête est un grain de sable dans l’immensité que représente l’amazone.
Remerciements :
H back, C Isabet, J. Albert, H. Bleher, T. Hrbek, E. Huusela, H. López Fernandez, R. Lowe-McConnell, J. Prêt, T. Silva, et S. Willis ont partagé leurs idées. Pour assistance sur le terrain Je remercie J. Alves de Oliveira et S. Esashika. C. Paxton a fourni des conseils statistiques. J.-Celso Malte identifié B. cichlae. Financement et soutien ont été fournis par l'Institut Mamirauá, Conselho Nacional de Desenvolvimento Tecnológico e Científico (CNPq) (subventions 380602/96, 2/381597/97-0), et le Département britannique pour le développement international. Financement au cours de la phase d'écriture a été fournie par la National Science subvention de la Fondation DEB-0614334.Collecte a été autorisée par un permis, y compris IBAMA 0492/99-12. Soins aux animaux est conforme aux directives du CNPq.
Ouvrages et articles cités :
Araujo-Lima, CARM, B. Forsberg, R. Victoria & L. Martinelli. 1986. Les sources d'énergie pour les poissons détritivores dans l'Amazone. Science, 234:1256-1258.
Araujo-Lima, CARM & M. Goulding. 1997. Si fécond un poisson: l'écologie, la conservation et de l'Aquaculture du Tambaqui de l'Amazonie. New York, Columbia University Press.
Ayres, JM 1993. Comme Matas de Várzea do Mamirauá - Médio Solimões Rio. Brasília, au Brésil, Sociedade Civil Mamirauá / CNPq.
Bagenal, la tuberculose et le FW Tesch. 1978. Âge et de la croissance. Pp. 101-136. Dans: Bagenal, T (Ed.).Méthodes d'évaluation de la production de poisson en eau douce. Oxford, Blackwell Scientific Publications.
Benedito-Cecilio, E., CARM Araujo-Lima, BR Forsberg, MM Bittencourt & LA Martinelli. 2000. Les sources de carbone de la pêche en Amazonie. Gestion des pêches et de l'écologie, 7:305-314. http://www.passeportsante.net http://recettes.doctissimo.fr hthttp://www.tendancemag.com/conseil-sante/720/Nutrition/Petit-pois--excellente-source-de-vitamines.htmltp://fr.wikipedia.org/wiki/Crevette.
Bleher, H. 2006. Bleher de discussion. Volume I. Pavie, en Italie, Aquapress.
Documentation et article base internet via la toile William G. R. Crampton:
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=de&tl=fr&u=http%3A%2F%2Fwww.flmnh.ufl.edu%2Fgymnotus%2Fwillcrampton.htm
www.passeportsante.net http://recettes.doctissimo.fr
Pour éviter toutes sortes de récriminations je puise mes sources sur (lr 54 et internet).
Département de biologie, University of Central Florida, PO Box 162368.Orlando, FL, 32816, États-Unis
Note à propos de l'alimentation
En 2006, Heiko Bleher dans son étude «Bleher Discus» (p. 510-595) a publié des informations détaillées sur le régime des Discus recueillis au cours de ses nombreux voyages dans le bassin de l'Amazone. Heiko Bleher a présenté l'analyse du contenu des estomacs, ainsi que les observations directes sur plus de 8 500 spécimens sauvages. Bien que la plupart des informations fournies par Bleher soient des estimations, dans le cas de Symphysodon aequifasciatus "Haraldi" des données quantitatives sont présentées (p. 593). Selon les données de H. Bleher, pendant la saison humide le contenu intestinal de ces Discus est composé à 12% d'algues, 44% de végétaux (fleurs, fruits, graines et feuilles), 6% de détritus, 16% d'invertébrés aquatiques & à 22 % d'arthropodes terrestres et arboricoles. Pendant la saison sèche les taux changent pour donner 25% d'algues, 39% de détritus, 9% de végétaux, 22% d'invertébrés aquatiques et 5 % d'arthropodes terrestres et arboricoles.
Il s'avère que les Discus se nourrissent à 55% de periphyton (mélange d'algues, de cyanobactéries, de microbes hétérotrophes et de détritus) durant la saison sèche et à 77% durant la saison humide. Ce periphyton, recueillit sur les racines immergées des plantes est une source très importante de nourriture pour de très nombreuses espèces amazoniennes.
A plus Aquariophilement eidge 54.
Re: Nourriture pour Discus
2013-07-15, 8:15 am
Super intéressant
poissons-chiens, tu veux dire poissons loups du genre Hoplias
Bon ton sujet , je l'ai lus , certes trop technique pour des novices et soit disant passionnés mais à chaque ligne on ressent ce que tu as vécus , j'ai appris un mot que je ne connaissais pas "gangue "
Maintenant combien vont le lire , je ne sais pas mais je dirais pas beaucoup car malheureusement le vrai passionné en France est une espèce en voie de disparition.
Je discute souvent avec Heiko Bleher et je connais aussi des éleveurs de discus , d'ailleurs je savais que les atlas sur les discus de Heiko Bleher regorgé d'informations mais malheureusement , je n'ai jamais accroché sur ce poisson, mais après avoir lus ton sujet ou tu as sus nous transporter dans son élément, j'ai eu une envie d'en apprendre plus sur ce poisson.
Pour le moment je me consacre au monde des gobies mais qui sais dans quelques années pourquoi pas découvrir ce poisson.
J'espère juste que tu nous laissera ce sujet pour que la futur génération * puissent en profiter.
Car vois tu ce matin en me connectant sur notre forum, je reçois un message d'un membre qui je pensé passionné, celui-ci me disant qu'il quittait le forum, même si je suis fatigué par mes problèmes de santé, j'ai toujours répondu présent sur le forum mais pas assez apparemment et quand il a pris cette décision, il a aussi décidé de partir en supprimant son partage ...
Je me bats depuis plusieurs années pour faire comprendre aux aquariophiles de France que notre plus grand défaut, c'est le manque de communication et donc de ne pas assez partager.
Pourtant c'est pas pour nous qu'on fait ça mais bien pour nos poissons ...
Excuse moi de te demander ça mais pour le bien de notre passion, puis-je archiver ce sujet (Tu nous en fait don?)
Merci pour ta réponse quelle soit positive ou négative
Amitié tyty
Espérons que certains sort du lot de ce laxisme aquariophile et s'intéresse vraiment à cette passion.
"il faut être le plus rapide, gare aux piranhas et autres poissons- chiens qui ne leur feraient pas de cadeau .amazonie oblige !!!."
poissons-chiens, tu veux dire poissons loups du genre Hoplias
Bon ton sujet , je l'ai lus , certes trop technique pour des novices et soit disant passionnés mais à chaque ligne on ressent ce que tu as vécus , j'ai appris un mot que je ne connaissais pas "gangue "
Maintenant combien vont le lire , je ne sais pas mais je dirais pas beaucoup car malheureusement le vrai passionné en France est une espèce en voie de disparition.
Je discute souvent avec Heiko Bleher et je connais aussi des éleveurs de discus , d'ailleurs je savais que les atlas sur les discus de Heiko Bleher regorgé d'informations mais malheureusement , je n'ai jamais accroché sur ce poisson, mais après avoir lus ton sujet ou tu as sus nous transporter dans son élément, j'ai eu une envie d'en apprendre plus sur ce poisson.
Pour le moment je me consacre au monde des gobies mais qui sais dans quelques années pourquoi pas découvrir ce poisson.
J'espère juste que tu nous laissera ce sujet pour que la futur génération * puissent en profiter.
Car vois tu ce matin en me connectant sur notre forum, je reçois un message d'un membre qui je pensé passionné, celui-ci me disant qu'il quittait le forum, même si je suis fatigué par mes problèmes de santé, j'ai toujours répondu présent sur le forum mais pas assez apparemment et quand il a pris cette décision, il a aussi décidé de partir en supprimant son partage ...
Je me bats depuis plusieurs années pour faire comprendre aux aquariophiles de France que notre plus grand défaut, c'est le manque de communication et donc de ne pas assez partager.
Pourtant c'est pas pour nous qu'on fait ça mais bien pour nos poissons ...
Excuse moi de te demander ça mais pour le bien de notre passion, puis-je archiver ce sujet (Tu nous en fait don?)
Merci pour ta réponse quelle soit positive ou négative
Amitié tyty
Espérons que certains sort du lot de ce laxisme aquariophile et s'intéresse vraiment à cette passion.
- eidge 54Membre du Forum
- Date d'inscription : 11/04/2013
Nombre de messages : 87
Re: Nourriture pour Discus
2013-07-15, 4:17 pm
bonjour a vous, réponse sur les différents articles, bien sur que je fais don, car je pratique l'aquariophilie.
mais je préfère me présenter comme ceci.
Aquariophile depuis bien longtemps. Ex membre de l’AFA et de l’AFC, puis co-fondateur d’évasion à l’européenne de Discus, Co-organisateur d’expédition sur l’Amazonie, mon orientation est depuis longtemps pour le cichlidé d’Amérique du sud.
Mon poisson de prédilection est le Symphysodon Discus. D’abord sauvage, puis d’élevage.
Ma passion m’a permis d’assouvir quelques développements en matière de nourritures et d’observations sur le biotope naturel. (Chef de cuisine de formation, la nutrition est de mon domaine.) Ainsi je vais régulièrement depuis plus de 10 ans en amazonie dans la région du para vers Santarem notre point de départ à quelques expéditions en partance entre autre sur le Tapajos, l’amazone ou le Nhamundã. mes expéditions vont jusqu’au rio Nanay au Pérou.
L’observation du comportement des Symphysodons apportent des réponses, sur le mode de vie de celui-ci, mais également sur la température de l’eau, la vitesse du courant (le Discus aime vivre, s’oxygéner, nager dans le courant, contrairement à des bacs sans courants et sans aucuns effets d’efforts, je photographie et film en subaquatique des moments forts surtout en présence de couple. Le danger est partout, en amazonie on ne triche pas.
Les films sont montés en documentaires puis passe dans notre club, via ensuite les maisons de la nature et enfin les maisons de retraite.je monte des expéditions pour aquariophiles passionnés d’Amazonie, découvrir le biotope avec un maximum de précautions .je reviens tout juste du rio Napo. Affréter un caboteur de Latitud sur en collaboration avec aquariomania pour 10 pers. La passion d’une telle activité se partage ?je veux la communiquer sans n’en attendre rien au retour! Pour l'aquariophilie !
Je vais également en Asie une fois par an, surtout à Penang, chez les grossistes, et aussi au concours de Discus à Kuala Lumpur en Malaisie, mais aussi à Singapour, et en Thaïlande ; j'étais dans les premiers européens pour le concours de Singapour, nous avons fait une escale à Hong-Kong, et fini notre périple à Penang voir la situation sur le sud-est asiatique sur les Discus.
Voici les adresses pour voir les vidéos. de très beaux reportages.
http://www.aquariomania.net/Video-Amazo ... a1381.html
http://www.aquariomania.net/Video-Amazo ... a1407.html
http://www.aquariomania.net/Video-Amazo ... a1383.html
http://www.aquariomania.net/Amazonie-20 ... a1424.html
http://www.aquariomania.net/vie-privee- ... a1265.html
https://www.youtube.com/watch?feature=pl ... TxouFBWBM#!
a plus Aquariophilement eidge 54.
mais je préfère me présenter comme ceci.
Aquariophile depuis bien longtemps. Ex membre de l’AFA et de l’AFC, puis co-fondateur d’évasion à l’européenne de Discus, Co-organisateur d’expédition sur l’Amazonie, mon orientation est depuis longtemps pour le cichlidé d’Amérique du sud.
Mon poisson de prédilection est le Symphysodon Discus. D’abord sauvage, puis d’élevage.
Ma passion m’a permis d’assouvir quelques développements en matière de nourritures et d’observations sur le biotope naturel. (Chef de cuisine de formation, la nutrition est de mon domaine.) Ainsi je vais régulièrement depuis plus de 10 ans en amazonie dans la région du para vers Santarem notre point de départ à quelques expéditions en partance entre autre sur le Tapajos, l’amazone ou le Nhamundã. mes expéditions vont jusqu’au rio Nanay au Pérou.
L’observation du comportement des Symphysodons apportent des réponses, sur le mode de vie de celui-ci, mais également sur la température de l’eau, la vitesse du courant (le Discus aime vivre, s’oxygéner, nager dans le courant, contrairement à des bacs sans courants et sans aucuns effets d’efforts, je photographie et film en subaquatique des moments forts surtout en présence de couple. Le danger est partout, en amazonie on ne triche pas.
Les films sont montés en documentaires puis passe dans notre club, via ensuite les maisons de la nature et enfin les maisons de retraite.je monte des expéditions pour aquariophiles passionnés d’Amazonie, découvrir le biotope avec un maximum de précautions .je reviens tout juste du rio Napo. Affréter un caboteur de Latitud sur en collaboration avec aquariomania pour 10 pers. La passion d’une telle activité se partage ?je veux la communiquer sans n’en attendre rien au retour! Pour l'aquariophilie !
Je vais également en Asie une fois par an, surtout à Penang, chez les grossistes, et aussi au concours de Discus à Kuala Lumpur en Malaisie, mais aussi à Singapour, et en Thaïlande ; j'étais dans les premiers européens pour le concours de Singapour, nous avons fait une escale à Hong-Kong, et fini notre périple à Penang voir la situation sur le sud-est asiatique sur les Discus.
Voici les adresses pour voir les vidéos. de très beaux reportages.
http://www.aquariomania.net/Video-Amazo ... a1381.html
http://www.aquariomania.net/Video-Amazo ... a1407.html
http://www.aquariomania.net/Video-Amazo ... a1383.html
http://www.aquariomania.net/Amazonie-20 ... a1424.html
http://www.aquariomania.net/vie-privee- ... a1265.html
https://www.youtube.com/watch?feature=pl ... TxouFBWBM#!
a plus Aquariophilement eidge 54.
Re: Nourriture pour Discus
2013-07-15, 7:36 pm
Merci à toi , si tu veux et si tu as le temps, tu peux utiliser le bouton se présenter : http://www.aqualifestyle-france.com/h2-formulaire-de-presentation
quelque petites questions pour mieux faire connaissance et comme ça les membres pourrons mieux te découvrir.
D'ailleurs j'ai une question, tu organise ces expéditions que pour les Français ou tu fais aussi l'européen?
quelque petites questions pour mieux faire connaissance et comme ça les membres pourrons mieux te découvrir.
D'ailleurs j'ai une question, tu organise ces expéditions que pour les Français ou tu fais aussi l'européen?
- eidge 54Membre du Forum
- Date d'inscription : 11/04/2013
Nombre de messages : 87
Re: Nourriture pour Discus
2013-07-15, 8:04 pm
bonsoir a vous,
pour la partie expedition,je délègue une partie avec aquariomania qui s'est engagé pour 5 ans avec
le selva viva, un caboteur appartenant a une o.m.g.
J'avais besoin d'appui solide au Pérou car le Napo n'est pas très loin de la Colombie et des farcs, je ne pouvais prendre aucun risque ou en faire prendre a mes aquariophiles. Les expéditions sont ouvertes a tout le monde genre photographes, rêveurs, accompagnateurs, observateurs, aquariophiles de tous poils. sur la dernière expédition nous avons offert un filet de pèche avec notre partenaire tétra, a une communauté indienne qui en avait besoin, un oculiste,ophtalmologue de profession parmi nous a offert des lunettes de vue ,etc....
cette année le caboteur repartira pour un autre rio, avec deux équipes une pour la descente du rio une pour la remontée, si vous voulez faire partie de l'expédition, il reste 2 places.
Pour ma part je serai a 3500km en amazonie brésilienne a la fin de l'été, pour de nouvelles aventures ,car j'affectionne la région du para ou nous disposons d'une chiaccara et de 10ha de foret vierge. Notre pied a terre pour le départ de nos expéditions.
a plus Aquariophilement eidge 54.
Pour la petite histoire eidge est le nom que me nomme les indiens" borari".
pour la partie expedition,je délègue une partie avec aquariomania qui s'est engagé pour 5 ans avec
le selva viva, un caboteur appartenant a une o.m.g.
J'avais besoin d'appui solide au Pérou car le Napo n'est pas très loin de la Colombie et des farcs, je ne pouvais prendre aucun risque ou en faire prendre a mes aquariophiles. Les expéditions sont ouvertes a tout le monde genre photographes, rêveurs, accompagnateurs, observateurs, aquariophiles de tous poils. sur la dernière expédition nous avons offert un filet de pèche avec notre partenaire tétra, a une communauté indienne qui en avait besoin, un oculiste,ophtalmologue de profession parmi nous a offert des lunettes de vue ,etc....
cette année le caboteur repartira pour un autre rio, avec deux équipes une pour la descente du rio une pour la remontée, si vous voulez faire partie de l'expédition, il reste 2 places.
Pour ma part je serai a 3500km en amazonie brésilienne a la fin de l'été, pour de nouvelles aventures ,car j'affectionne la région du para ou nous disposons d'une chiaccara et de 10ha de foret vierge. Notre pied a terre pour le départ de nos expéditions.
a plus Aquariophilement eidge 54.
Pour la petite histoire eidge est le nom que me nomme les indiens" borari".
Re: Nourriture pour Discus
2013-07-16, 7:03 am
Merci , tout cela est très intéressant
Je te posé la question sur l'Europe pour savoir si vous avez la maîtrise des autres langues (anglais, italien , espagnol ... ) si oui , peut être te proposer un sujet ici : http://www.aqualifestyle-france.com/f78-presentation-of-forums-and-sites-aquarists-of-world
C'est toi qui vois si l'idée t'intéresse.
Bye tyty
Je te posé la question sur l'Europe pour savoir si vous avez la maîtrise des autres langues (anglais, italien , espagnol ... ) si oui , peut être te proposer un sujet ici : http://www.aqualifestyle-france.com/f78-presentation-of-forums-and-sites-aquarists-of-world
C'est toi qui vois si l'idée t'intéresse.
Bye tyty
- eidge 54Membre du Forum
- Date d'inscription : 11/04/2013
Nombre de messages : 87
Re: Nourriture pour Discus
2013-07-16, 7:38 am
bonjour a vous,
je ne parle aucune langue étrangère, l'équipage du selva viva parle le péruvien et certains dialectes indiens, certains d'entre- nous parle l'anglais,en amazonie brésilienne la tendance est plutôt le portugais, les guides eux en langue indienne le borari.
Pour les différents reportages ,il vous est possible dans la langue de votre choix. Pour les autres sites j'ai mis en route une saga de l'été, sorte de feuilleton résumant l'aquariophilie sous divers formes, vue a la sauce amazonienne, avec des extraits d'articles.je diffuse au compte-goutte, et voir la réaction de l'humanoïde devant les vacances.
Je vais vous poster le premier!!. a plus Aquariophilement eidge 54.
je ne parle aucune langue étrangère, l'équipage du selva viva parle le péruvien et certains dialectes indiens, certains d'entre- nous parle l'anglais,en amazonie brésilienne la tendance est plutôt le portugais, les guides eux en langue indienne le borari.
Pour les différents reportages ,il vous est possible dans la langue de votre choix. Pour les autres sites j'ai mis en route une saga de l'été, sorte de feuilleton résumant l'aquariophilie sous divers formes, vue a la sauce amazonienne, avec des extraits d'articles.je diffuse au compte-goutte, et voir la réaction de l'humanoïde devant les vacances.
Je vais vous poster le premier!!. a plus Aquariophilement eidge 54.
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