Conseil de vente de Plantes de bassin non envahissantes

Bonjour à tous,

je ne sais pas si je post au bon endroit,

je me questionne sur les plantes des bassin car ce que les gens raffolent (plante robuste et sympa) style myriophyllum, egeria densa
sont en générale des plantes envahissante pour le milieu naturel (dans la région du marais poitevin), pas encore interdite mais qui pourrais le finir je suppose

comment éviter cela ? et surtout par quoi les remplacer
http://www.sevre-niortaise.fr/wp-content/uploads/19_149_plaquette-eee2011iibsn_614.pdf

vu qu'il est difficile pour un magasin de les déconseiller si le concurent en profite pour en vendre le triple ...

Bonjour mick85, c'est une très bonne question , je vais voir dans mon réseau si quelqu'un peut apporter des solutions.
Très intéressant ton pdf , merci pour le partage.

Bonjour je viens de la part de Laurent.

Romain Girod je suis le gérant de la société RhyzHome;.

Il est difficile de se priver de ces plantes là surtout pour des animaleries. Cependant il est peut être important pour vous de jouer sur le côté responsabilité écologique.
On le sait maintenant depuis quelques temps, les plantes comme les Myriophillum aquaticum, Egeria densa, laitue d'eau etc etc sont invasives. Et il est peut être intéressant pour vous d'afficher un encart explicatif sur ces plantes. Il faut sensibiliser les clients professionnels comme particuliers que ces plantes sont invasives donc dangereuses pour notre environnement.

Maintenant il existe tout de même beaucoup de plantes qui peuvent être implantées en fonction de la région et qui viennent de l'aquariophilie classique.
Un conseil à vous donner, regarder les plantes palustres, ou d'aquariums qui peuvent être cultivées en semi immersion.
Pour un bassin, on peut par exemple imaginer une parcel avec de la Lilaeopsis brasiliense qui peut très bien se plaire de Mai à Octobre (environ) dans le Sud de la France. On peut peut être voir pour implanter des Acorus (relativement facile) mais aussi des Lobelia.

La seule façon d'éviter l'interdiction de ces plantes et la responsabilisation des clients.
Maintenant ce n'est pas facile à mettre en route.

A bientôt

Merci pour ta réponse

RhyzHome a écrit:
La seule façon d'éviter l'interdiction de ces plantes et la responsabilisation des clients.
Maintenant ce n'est pas facile à mettre en route.

Je pense la même chose , si je comprend bien c'est le ministère de l'environnement qui devrait mettre en place cette communication avec l'aide des syndicats et de la fédération et des clubs aquariophiles.

En tout cas le sujet est en étude par une organisation indépendante à ce que j'ai pus lire
http://www.eppo.int/INVASIVE_PLANTS/aquarium_plants.htm

merci pour la réponse

le pdf est une plaquette que j'ai découvert à une bourse aqua grace à un intervenant (nicolas pipet)
lien intervenant à la bourse
(il y a une autre affiche du même genre mais je ne la trouve pas sur le net)

Salut
l'histoire est compliqué car d'un coté dans chaque département et région on a des D.D.P.P qui son plus moins flexible que les autres et donc un discours différent mais je suis sure d'une chose si on ne fait rien pour changer ce manque de communication, tôt ou tard nous allons payer le prix fort ...

Donc j'ai envoyé un émail à la fédération d'aquariophilie , si je n'ai pas de réponse je passerai par la communication téléphonique et idem pour le ministère et les syndicats.

Aqualifestyle-france à justement un projet de communication pour exposer ces faits et les conséquences qui pourrais subvenir si une décision radicale était prise à l'encontre de l'aquariophilie.


Mick85, je te remercie pour le lien , et je vais citer certaines phrases afin que celle-ci puissent rester.

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http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/communes/Frontenay-Rohan-Rohan/n/Contenus/Articles/2013/03/21/Echanges-chez-les-aquariophiles-1379606

Dimanche, la bourse aquariophile organisée par Aquario 79 dans la salle polyvalente a eu un réel succès. Huit cents visiteurs dans la journée, aquariophiles convaincus ou simples curieux, sont ressortis en ayant fait des découvertes et appris à mieux connaître les espèces.

Ce qui montre que les bourses sont aussi un lieu pédagogique, là ou la communication peut fonctionner

Mieux connaître pour mieux gérer

Outre les échanges, les prises d'informations avec la nombreuse documentation à disposition, le club avait convié l'IIBSN, Institution interdépartementale du bassin de la Sèvre Niortaise, avec exposition, diaporama et conférence de Nicolas Pipet sur les espèces invasives végétales dont la jussie qui se propage dans le Marais poitevin. La jussie a été interdite à la vente en 2007 mais « d'autres espèces invasives sont en libre vente actuellement, un groupe national travaille sur une nouvelle liste de plantes à interdire »

...

L'IIBSN a distribué un questionnaire anonyme aux aquariophiles pour cerner leurs pratiques.


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Donc il serait important de se rapprocher de ces organisations (et non du lobbing) pour travailler mains dans la mains sur des objectifs en commun , tout comme une journée d'information et de découverte sur place en milieu naturel, une prise de conscience ainsi qu'une explication sur le comportement que nous devons adopter.

merci et bravo pour l'intérêt que tu montre à chaque sujet, il y en a tellement !

j’essaierais de prendre en photo l'autre affiche que j'ai,
cependant je ne peux pas l'afficher en rayon vu qu'il y a la mention "ne les achetez pas"

Oh oui , quand j'ai créé ce forum , je me suis dis que même quand je ne serais plus de ce monde les aquariophiles continuerons encore à s’interroger sur cette passion, si bien entendu celle-ci existera encore

Merci pour les photos et bien moi , j'ai fais une petite recherche sur l'histoire du bannissement des ampullaires pour mieux comprendre l'origine, je te préviendrais quand j'aurais finis le sujet en tout cas est super intéressant cela te montre le manque de communication et comment le l'écologie choisis les procédures extrêmes.

Bye tyty

tyrano34 a écrit:Salut
l'histoire est compliqué car d'un coté dans chaque département et région on a des D.D.P.P qui son plus moins flexible que les autres et donc un discours différent mais je suis sure d'une chose si on ne fait rien pour changer ce manque de communication, tôt ou tard nous allons payer le prix fort ...

Donc j'ai envoyé un émail à la fédération d'aquariophilie , si je n'ai pas de réponse je passerai par la communication téléphonique et idem pour le ministère et les syndicats.

Aqualifestyle-france à justement un projet de communication pour exposer ces faits et les conséquences qui pourrais subvenir si une décision radicale était prise à l'encontre de l'aquariophilie.

Alors je remercie infiniment la Fédération Française d'aquariophilie de nous avoir donné une réponse, et je pense qu'il est temps de rejoindre les rangs de notre Fédération pour lui faire part de notre inquiétude. Discutons avec la F.F.A pour voir comment nous pourrions l'aider pour mieux nous défendre contre la pression des lobbies qui est malheureusement réelle.

Car c'est le mauvais comportement aquariophile qui a créé cette pression.
Hélas nous ne prenons pas le temps de prendre du recul pour comprendre la situation qui nous guette.


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La réponse est en attente d'accord de diffusion ainsi qu'une demande d'éclaircissement sur certains points donnés

La FFA prévoit d’éditer une plaquette d’information pour justement prévenir les aquariophiles .

hâte de voir la plaquette

l'inconvénient de pas mal de plaquette dans le domaine, est dans leur tournure pour pouvoir être proposer en animalerie
(il faut que sa informe sans être négatif à l'ensemble du rayon),
donc faudrait déconseiller tel ou tel espèce pour favoriser une autre plus approprié sur tel et tel points..

si on ne parle que des interdits, sa montre le problème sans les solution si vous voyez ce que je veux dire

En attendant voici la réponse de la fédération française d'aquariophilie



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Les hommes ont toujours tenté d’acclimater des animaux et des plantes exotiques (ou allochtones), tant pour des raisons alimentaires ou économiques, que pour des raisons scientifiques ou esthétiques. Que serions-nous sans le maïs, les pommes de terre ou les tomates ?

Le processus s’est accéléré avec les empires coloniaux puis l’accélération exponentielle des moyens de transport et du commerce international.

En ce qui concerne le milieu aquatique, la carpe, que nous croyons autochtone, n’a t’elle pas été introduite depuis l’Asie par les romains ?.

Les poissons et plantes tropicales de nos aquariums ont été longtemps importés sans souci des conséquences sur l’environnement. Il est vrai que la majorité des espèces ne peut s’adapter aux conditions climatiques hivernales. Une exception cependant pour de rares espèces, comme la carpe koï si bien acclimatée qu’elle est maintenant classée par le législateur parmi les animaux domestiques.

En ce qui concerne les poissons, comment éliminer le poisson-chat, le silure glane, la perche soleil, la truite arc-en-ciel, le sandre, le black-bass introduits depuis plus d’un siècle et définitivement acclimatés dans nos cours d’eau. Sans compter récemment le prolifique Pseudorasbora qui envahit nos étangs.

Ajoutons les divers invertébrés comme les écrevisses américaines ou la moule zébrée. Sans oublier des batraciens comme la grenouille rieuse et la grenouille- taureau, les tortues de Floride sans compter des micro-organismes comme des bryozoaires et des diatomées.

Dans l’autre sens, un grand naturaliste s’est vanté en 1949 d’avoir introduit à Madagascar des poissons européens comme la carpe, la tanche, la truite fario ou le gardon en ayant le culot d’écrire qu’il avait eu le bonheur de constater que ces espèces s’étaient parfaitement acclimatées en éliminant leurs concurrentes autochtones dont les cichlidés!

Quant aux plantes aquatiques d’agrément, l’acclimatation de la plupart d’entre elles ne date pas d’hier. Jussies, Myriophylles, Elodées, Lagarosiphons décoraient les bassins de jardin d’Europe dès la fin du XIXè siècle.

La prise de conscience du danger de propagation aux milieux naturels et d’atteinte à la biodiversité est récente, datant seulement d’une vingtaine d’années.

Trop tard pour lutter contre une propagation largement distribuée pour les espèces allochtones pionnières. Leur éradication est maintenant illusoire.

La liste des plantes invasives (ou pouvant le devenir) s’allonge d’année en année sans grande réaction des professionnels, des pouvoirs publics et des amateurs qui sont toujours avides de nouveautés. Certaines de ces plantes sont toujours proposées en jardinerie (cft catalogues sur internet).

Comment certains amateurs peuvent t‘ils résister à l’achat de beaux spécimens décoratifs alors qu’ils n’ont que peu (voire pas du tout) de connaissances botaniques ?

résultat en est assez décevant, les propriétaires d’étang et pisciculteurs restant surtout motivés par des questions de gestion et de rendement.

Certes, le législateur s’inquiète. Mais, pour le moment, seules deux espèces de jussie sont interdites (du reste déjà largement implantées depuis des décennies au moment de la réglementation):

Ludwigia peploides et L. grandiflora (arrêté du 2 mai 2007).

Cette liste paraît bien dérisoire, compte tenu du nombre d’autres plantes déjà présentes.

Toutes les régions sont concernées Des documents d’information sont régulièrement établis par divers organismes (en majorité associatifs) dans chaque région. Elles demandent sans cesse d’être actualisées et rediffusées..

Que pouvons-nous faire ?

D’abord informer ! Informer ! C’est notre rôle d’aquariophiles responsables.

C’est par les clubs, les associations spécialisées, les sites internet, les forums, les organismes de défense des éleveurs amateurs (comme ProNatura) que l’information doit passer.

Avant d’introduire une nouvelle plante, l’amateur devrait aussi se renseigner en consultant les nombreux sites internet consacrés aux plantes invasives.

Citons la possibilité de télécharger sur internet « Plantes aquatiques invasives PACA ». Ce document est très bien fait, même s’il ne concerne que la région méditerranéenne. Il y en a d’autres dans chaque région ou pays européen.

A consulter aussi la législation sur les espèces invasives et les textes du Grenelle de l’environnement.

La Fédération Française d’Aquariophilie (FFA) prévoit d’éditer une plaquette. Sa diffusion concernera les clubs adhérents, mais combien de clubs ne sont pas fédérés ?

La FFA n’a pas été inactive. Un article sur les Jussies et un sur les Elodées sont déjà parus dans son bulletin.

Mais combien d’aquariophiles ou d’amateurs de bassins restent totalement individualistes ?

C’est en regroupant nos efforts que nous pourrons efficacement agir de façon avant tout préventive.

La formation et la prévention d’abord !

La loi et la police après !

Le législateur est toujours lent. Les débats au sein des commissions durent souvent plusieurs années avant qu’un texte définitif soit établi et qu’une loi ou un arrêté s’applique. Nous l’avons vécu récemment pour la nouvelle définition des espèces domestiques au ministère de l’agriculture. Il faut aussi dire que nous ne pouvons susciter les thèmes de projets législatifs, ceux-ci nous étant imposés dans des commissions dont le rôle est seulement consultatif.

La vigilance passe donc d’abord par le monde amateur et ses multiples réseaux dont la puissance ne peut résulter que de la collaboration de tous.

Très cordialement.

Claude Vast vice président FFA[center]

j'ai appeler hier un de mes fournisseur pour avoir des conseils sur des plantes pouvant remplacer les jugées "envahissantes", premièrement il fut étonné de l'apprendre (mais s'en plus, rien ne change pour lui), et pour remplacé il n'a pu me mentionner qu'une variété..

le sensibilisation devrait passer par eux aussi, seul informateur à grandes échelles des animalerie

info à vérifier mais :


selon un classement des 100 espèce exotique envahissante (arbres, plantes, insectes, poissons...)
source : http://www.issg.org/database/species/search.asp?st=100ss&lang=FR

l'on retrouve à la 32 ème posititon : Eichhornia crassipes = jacynthe d'eau (plante aquatique)

Originaire de l'Amérique du Sud, Eichhornia crassipes est l'une des pires plantes aquatiques envahissantes au monde. Ses belles et grandes fleurs pourpres et violettes font d’elle une plante ornementale très prisée pour les bassins. Aujourd’hui elle est présente dans plus de 50 pays sur cinq continents. La jacinthe d’eau croît très rapidement, avec des populations connues pour avoir doublé en moins de 12 jours. Les invasions par cette plante envahissante bloquent les voies d’eau, limitant ainsi le trafic maritime, et les activités de loisir comme la natation et la pêche. La jacinthe d’eau empêche aussi la lumière et l’oxygène de pénétrer dans l’eau et d’atteindre les plantes submergées. L'ombrage et le recouvrement des plantes aquatiques indigènes réduit gravement la diversité biologique des écosystèmes aquatiques.
Noms communs: aguapé, bekabe kairanga, bung el ralm, bung el ralm, floating water hyacinth, jacinthe d'eau, jacinto de agua, jacinto-aquatico, jal khumbe, jal kumbhi, lechuguilla, lila de agua, lirio acuatico, mbekambekairanga, riri vai, wasserhyazinthe, water hyacinth, water orchid, wota haisin

La Vente de plantes aquatiques envahissantes va être interdit au Royaume-Uni

M. aquaticum,  ne sera plus disponible légalement au Royaume-Uni depuis Avril 2014.

La vente de cinq espèces de plantes aquatiques envahissantes non indigènes doit être interdit au Royaume-Uni afin de protéger la faune et économiser de l'argent, le gouvernement a annoncé.

La demande du gouvernement britannique que ces espèces coûté des milliards de contrôler une fois qu'elles sont établies dans un écosystème avec pennywort flottant, ranunculoides Hydrocotyle, capable de pousser jusqu'à 20 cm par jour et coûte déjà l'économie britannique plus de 20 millions par an pour contrôler

"Des lois sévères pour enrayer la vente de ces plantes pourraient sauver le pays des millions de livres ainsi que la protection de la faune, comme les poissons et les plantes indigènes", a déclaré ministre de l'Environnement Richard Benyon, "Mais ainsi économiser de l'argent et de protéger la faune l'interdiction sera également aider à maintenir l'accès aux rivières et des lacs pour les pêcheurs et les amateurs de sports nautiques. "

Les espèces concernées par l'interdiction sont fougère aquatique, Azolla filiculoides, australien marais orpin, Crassula helmsii, Flotter ombelle, Hydrocotyle ranunculoides, une plume de perroquet, M. aquaticum, et d'onagre d'eau, Ludwigia hexapetala.

Pennywort flottant, ranunculoides Hydrocotyle, est une autre espèce concernés par l'interdiction.

Ils sont normalement vendus pour une utilisation dans les bassins de jardin d'ornement et ont été inscrites dans la loi sur la faune et la Campagne 1981 rendant illégale la stocker dans des habitats naturels, mais cela n'a pas été suffisamment dissuasive et ils ont colonisé naturelles, souvent sensibles, des environnements dans une grande partie du pays.

Les plantes sont particulièrement gênants car ils ont tendance à former épais, étouffant tapis qui appauvrissent l'approvisionnement en oxygène, la lumière et les nutriments disponibles pour les espèces aquatiques indigènes qui provoque des baisses conséquentes du poisson local et les populations d'invertébrés.

Dans les cas les plus graves, ils peuvent même réduire le canotage et la pêche accès et accroître les risques d'inondation, les problèmes qui peuvent coûter des millions de livres par an pour rectifier.

L'interdiction entrera en vigueur à partir de Avril 2014 et les détaillants seront passibles d'une amende pouvant aller jusqu'à £ 5000 et peut-être jusqu'à six mois de prison s'ils sont pris à vendre des plantes après cette date, mais ils ont maintenant de douze mois pour se conformer aux nouvelles mesures et d'identifier et de d'autres espèces.

Defra, les représentants commerciaux et les organismes de conservation, ont également travaillé à sensibiliser les propriétaires de jardin et horticulteurs aux dangers de la propagation des espèces non indigènes à travers la campagne Be Wise de l'usine et ont donné un large soutien à l'interdiction.



Keith Davenport de l'ornement et aquatiques métiers association a déclaré:

«Nous avons recommandé détaillants de ne pas vendre ces cinq espèces de plantes, dans certains cas, pendant au moins une décennie. Donc, ce sont de bonnes nouvelles de Defra, ce qui rend très clairement il ya maintenant une interdiction en place. Nous allons continuer à encourager activement nos membres à soutenir la campagne Be Wise de l'usine. "

Le Wildfowl & Wetlands de responsable de la politique de conservation de la Fiducie, Carrie Hume dit:

«Heureusement, certains de plantes non indigènes les plus destructrices ne seront plus en vente dans nos centres de jardinage. Il s'agit de la bonne décision. Le coût environnemental et économique de faire face à ce problème est déjà énorme et traiter avec elle est maintenant une grande économie pour l'avenir. "

Des études récentes ont suggéré que près de 3000 espèces non indigènes sont établis en Angleterre et près de 1000 en Ecosse, dont 65-70% sont des plantes.

C'est la première interdiction du genre au Royaume-Uni mais la législation similaire existe dans des pays comme l'Espagne, où un certain nombre de plantes d'aquarium communes sont maintenant illégales au commerce, et l'Union européenne a son propre ensemble de mesures mises en place.

source : http://www.seriouslyfish.com/sale-of-invasive-aquatic-plants-to-be-banned-in-uk/

Ceci est un copier-coller d'une traduction internet, la compréhension peut laisser à désirer !
ci quelqu'un peut reprendre le texte plus clairement c'est avec plaisir :)