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Koi1
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Un autre « Soleil » menace-t-il le nôtre ? Empty Un autre « Soleil » menace-t-il le nôtre ?

2010-04-16, 9:10 am
Pour rebondir sur le Topic de Laurent : https://aqualifestyle-france.forumsactifs.com/environnement-f89/un-de-plus-volcan-islandais-d-eyjafjallajokull-t4990.htm#40030 , voici quelque chose qui manque pas d’intérêt, après a vous de vous faire une idée de se qu’il se passe ou pas.

Se texte sort d’un hors-série du Magazine « Les Grandes Mystères de l’Histoire » est il peut avoir des phrases comme vous aurais lu d’autres article au paravent. Si cela vous intéresse je peux mettre les autres articles qui sont tout aussi intéressent.

Un autre « Soleil » menace-t-il le nôtre ?

Immanuel Velikovsky dans son livre « Mondes en collision » a écrit à propos des théories sur l’origine de notre système solaire : « Outre la théorie des marées (une étoile passa très près de notre Soleil, souleva une immense « marée » de matières de celui-ci qui formèrent les planètes) et celle des nébuleuses (les planètes sont issues de la contraction de la masse solaire), une autre théorie a été récemment proposée : Le Soleil aurait appartenu à un système d’étoiles doubles. Le passage d’une étoile aurait brisé le compagnon du Soleil et de ces débris se seraient formées les planètes. » Il poursuit en ces termes : « Un événement maintes fois cités dans les traditions des différents âges du monde est l’apparition d’un nouveau « Soleil » dans le ciel au commencement de chaque Age » et de préciser : « Le mot « Soleil » est même substitué au mot « Age » dans les traditions cosmogoniques de nombreux peuples, dans toutes les régions du monde ». Se pourrait-il qu’un autre « Soleil » ou « un naine brune » tourne autour de notre système, avec son lot de planètes et de débris ?

Quel sera notre Soleil ?
Nous avons vu que les Mayas comptaient leurs Ages d’après le nom qu’ils donnèrent aux différents « Soleils » consécutifs, qualifiés selon l’élément de destruction mis en évidence durant cette période : eau, terre, air ou vent, feu. Cela ne signifie pas que les autres éléments aient été inopérants mais chaque « Soleil » a eu son élément destructeur particulier. Quel sera le nôtre ? Si l’on suit la logique, ce sera le cinquième, à savoir l’éther, élément subtil, qui nous mène à la spiritualité, ce qui en un sens apporte de l’eau au moulin des théories « New Age »… L’éther étant une sorte de fusion entre le feu et l’eau, il se pourrait que les catastrophes prévues en 2012 soient un mélange de ces deux éléments.

Revenons à la possibilité que notre système soit double. En astronomie, une étoile double est un système binaire d’étoiles en orbite mutuelles. Elles tournent chacune autour de l’autre, ou plus précisément, elles tournent toutes deux du centre de gravité du système qu’elles constituent. Elles sont liées de manières gravitationnelle l’une à l’autre. Il se pourrait que les théories catastrophiques circulant sur l’année en 2012 repose sur la possible existence d’un Soleil « jumeau » au nôtre possédant son lot de planètes et d’astéroïdes qui reviendrait périodiquement dans notre système, y causant des catastrophes dont l’ampleur dépendrait de son orbite, de la position de ses planètes et bien sûr de celle de notre propre système au moment du passage. Comme nous allons le voir, des phénomènes fort curieux sont en train de se passer, en se moment même, dans notre système solaire. Déterminer leur origine nous donnera peut-être la clé de compréhension de 2012.

Le réchauffement climatique et ses effets dévastateurs sur notre environnement sont depuis quelque temps à la une de l’actualité et des préoccupations des citoyens. Après avoir nié ce problème durant de longues années, les savants semblent à présent tous unanimes sur un point : le réchauffement est indéniable. L’activité humaine et le rejet massif de CO² seraient les grands responsables de ce problème. La glace fond, les océans montent, les ouragans se déchaînent… Il ne s’agit plus d’échapper au réchauffement global mais d’éviter une phase d’emballement qui rendrait le phénomène incontrôlable, avec notamment l’arrêt de l’oscillation de l’océan Atlantique et du Gulf Stream, dont dépend le climat européen. On sait que la planète va se réchauffer de 4 à 5°C d’ici 2050.

Tout est-il vraiment de notre faute ?
Pas sûr… Selon certains, cette alerte au réchauffement serait « habillée » avec de la science mais ne serait pas de la science mais de la propagande ! Il n’y aurait aucune preuve directe reliant le réchauffement climatique aux gaz à effet de serre. Nous ne pouvons affirmer que le CO² est le moteur du climat. Avec ou sans nous, ces changements se produiraient de toute façon car ils sont issus de cycles naturels que nous avons oubliés mais qui étaient bien connus de nos ancêtres. La terre a connu dans le passé bien des bouleversements climatiques. Dès ères glaciaires ont alterné avec des périodes plus chaudes à une époque où n’existait aucune usine ni aucune automobile ! De nombreux pays se sont engagés à réduire leurs émissions de CO², tandis que d’autres, comme les Etats-Unis, restent hostiles aux quotas de réduction pour des raisons économiques. Les savants ne sont pas tous d’accord sur les raisons du réchauffement constaté. D’autres théories sous-jacentes apparaissent comme du Dr Dimitriev, un scientifique russe qui affirme que ces changements ne sont pas en relation avec le processus de réchauffement de la terre, ni avec les émissions de gaz à effet de serre mais que c’est l’ensemble du système solaire qui est en train de subir de profondes mutations. Le savant pointe du doigt les changements intervenus dans l’atmosphère, la luminosité, les champs magnétiques des planètes de notre système.

Des anomalies…
L’ensemble de notre système solaire semble être concerné par le réchauffement global et fait complètement incroyable, ce sont les planètes les plus éloignées du soleil qui semblent se réchauffer plus rapidement ! Examinons cela de plus près :

Pluton
Les astronomes ont révélé que Pluton, astres le plus lointain de notre système, était entrain de subir un réchauffement de son atmosphère. Pluton a subit aussi un accroissement de sa pression atmosphérique de 300%, de 1989 à 2002, malgré le fait que la planète s’éloigne du Soleil.

Jupiter
Jupiter se trouve au beau milieu de la tourmente. Des changements globaux semblent modifier ses températures de plus de 10°F (12,22°C) sur différentes parties de sa surface. N’avez-vous pas remarqué dans le ciel, depuis quelques temps, une étoile très brillante que vous n’aviez jamais observée auparavant ? C’est Jupiter. Il s’y passe apparemment quelque chose d’anormal. Les adeptes du « New Age » pensent que Jupiter va devenir un nouveau Soleil, symboliquement, le nouveau Christ Michaël. Et si la planète Jupiter (qui a été heurtée par la comète Shoemaker-Levy9 en 1994) s’emballait ?
Jupiter montre une augmentation de 200% de la luminosité de ses nuages de plasma avoisinants, un phénomène traduisant probablement de forts changements intérieurs. Son champ magnétique a doublé d’intensité depuis 1992.

Vénus
Vénus présente des changements atmosphériques substantiels et une augmentation de sa luminosité aurorale de 2500% depuis les 30 dernières années. Des observateurs ont observé en 1999 une luminosité vert typique d’une atmosphère composée d’oxygène.

Mars
Mars se réchauffe comme le prouvent la fonte de ses calottes polaires et l’augmentation en nombres et en ampleur des tempêtes à sa surface. En outre, on a observé dans l’atmosphère martienne une formation de nuages.

Saturne
Saturne voit son "Jet Stream" équatorial décroître depuis 20 ans. Cet événement est accompagné d’une surcharge d’émission de rayon X depuis son équateur (jusqu’à 1000% en ce qui concerne le brillant nuage entourant la planète) ainsi que la disparition des rayons transversaux de son anneau. On a observé aussi des aurores brillantes à la surface de son atmosphère, ce qui indique une augmentation de sa charge électrique.

Mercure
Un astronome russe, Pasichnyk, a rapporté qu’il semblait se former sur Mercure des calottes polaires, ce qui est considéré comme impossible vu sa proximité du Soleil.

Uranus
Sur Uranus, on note de grands changements de luminosité liés à l’émergence de nuages très lumineux de la grosseur d’un continent terrestre, et l’arrivée d’énormes tempêtes depuis les 20 dernières années. Selon la NASA, Saturne connaît une « tempête du siècle » à son pôle sud, d’un diamètre de presque 5000 miles (8046,72 km), soit l’équivalent des deux tiers du diamètre de la terre !

Neptune
En juin 1994, la grande tache sombre de l’hémisphère sud de Neptune (comparable à la grande tache rouge de Jupiter) est mystérieusement disparue. En 1995, elle est réapparue dans l’hémisphère nord ! De plus, la luminosité globale de la planète s’est accrue de 40%.

Triton
Triton, la plus grosse lune de Neptune, a subi depuis 1998 une période d’intense réchauffement climatique a confirmé l’astronome James Elliot, professeur aux sciences terrestres, atmosphériques et planétaires de l’Institut de technologie de Massachusetts.

Soleil
Notre Soleil aussi se réchauffe. Les radiations solaires qui atteignent la Terre sont plus chaudes qu’en 1986. Cette découverte est basée sur une analyse des satellites qui mesurent la température de la lumière solaire. Le Soleil produit actuellement plus de lumière qu’à n’importe quel moment dans les 1000 dernières années. Le Soleil démontrerait plus d’activité depuis 1940, en termes d’éruption solaire (en nombre et en force que dans les 1150 dernières années combinées !). Selon les travaux du Dr. Mike Lockwood (Rutherford Appleton National Laboratories), le champ magnétique du Soleil s’est accru de 230% depuis 1901.

Un réchauffement global
C’est Richard C. Hoagland qui a révélé pour la première fois en 2004, la notion d’un réchauffement du système solaire dans sa totalité plutôt qu’uniquement à l’échelle terrestre. « Nous devons réexaminer nos postulats fondamentaux sur les atmosphères planétaires et ce qui provoque le réchauffement observé, » a déclaré Alan Aylward, membre de l’équipe d’étude de l’University College London. Ce sujet demeure peu connu du public et semble inexistant aux yeux de la communauté scientifique. Sujet tabou, il commence peu à peu à intéresser les adeptes de la théorie du complot qui y voit une nouvelle manipulation de la vérité. Dans un article intitulé « Interplanetary Day after tomorrow », Hoagland explore de manière scientifique la possibilité d’un changement climatique de notre système solaire ? a l’aide de données officielles fournies par la NASA et aidés de nombreuses parutions dans les journaux scientifiques, il a recueilli un grand nombre d’éléments rendus publics au compte-gouttes. Ses conclusions sont alarmantes. Nous sommes face à un réchauffement global, non a un réchauffement local de notre planète. Notre Terre, pour sa part, a vu depuis 1975, son activité volcanique et sismique accrue de plus de 400% et sur la même période, une augmentation moyenne de 400% des catastrophes naturelles ! Qu’elle en est la raison ? Et si un astre, un système solaire, un lot de débris, une énergie inconnue étaient ce moment même en train de faire irruption dans notre système ? Des scientifiques russes ont leur petite idée sur la question. Selon eux, tous ces changements s’expliquent par le fait que notre galaxie est en train de parcourir une zone de l’espace où l’énergie est « différente ».

Selon l’encyclopédie du Net, Wilkipedia, une étude très sérieuse réalisée par des scientifiques du Centre national pour la Recherche atmosphériques du Colorado, avec le soutien de la NASA et de la National Science Foundation, se rapportant aux variations de l’activité solaire se manifestant notamment par des changements dans le nombre de taches, a utilisé une simulation par ordinateur permettant d’étudier les ondes sonores qui se réfléchissent à l’intérieur du soleil, ce qui permet de savoir ce qui se passe sous sa surface. Avec une précision de près de 98%, et selon ces simulations, le prochain cycle présentera des pics d’activité de 30 à 50% plus puissants que celui du dernier, et devrait cumuler en 2012 !

Quelques mots sur l’activité solaire
Elle est estimée en comptant le nombre de taches présentes à la surface. Selon un cycle principal d’une durée de 11,2 années, elle débute par un nombre de taches très faible, voir nul. Les taches paraissent plus sombres parce qu’elles sont un peu moins chaudes (4500°C tout de même). Un maximum de taches a pour conséquence une augmentation des éruptions, d’émissions de particules et de rayonnements électromagnétiques que l’on appelle « vent solaire » ; lorsque ces particules atteignent la terre, elles créent un spectacle connu sous le nom d’aurore boréale. Mais elles perturbent aussi les systèmes radio et peuvent, dans des cas extrêmes, couper les réseaux de communication, l’électricité et les systèmes informatiques. Les tempêtes solaires affectent les satellites, les télécommunications, les centrales électriques. L’une de ces tempêtes fut la cause d’une panne générale d’électricité de neuf heures sur l’ensemble su Québec en mars 1989. En cas d’accoisement de ce phénomène, notre planète pourrait subir un black out total.

Quelles sont les prévisions ?
Le dernier cycle solaire, le 24ième, semble avoir commencé au début de l’année 2008. Reste à savoir quant ce produira sont pic ! À l’heure actuelle, le Comité américain de la NOAA (NASA) chargée des prévisions solaires avance deux dates possibles : en octobre 2011 avec 140taches et en août 2012, avec 90 taches. On ne connaît pas encore le moment exact où se produira le prochain pic ni s’il sera plus ou moins intense que d’habitude mais il va de soi que si un astre errant faisait irruption dans notre système, le soleil en serait grandement perturbé. La NASA a publié un rapport sur les effets socioéconomiques de fortes tempêtes géomagnétiques provenant des éruptions solaires. Elle a commandé une étude à la « National Academy of Science » (NAS) qui a fourni ses conclusions dans un rapport ayant pour nom « Severe Space Weather Events Understanding Societal and Economic Impacts ». Pourquoi la NASA se préoccupe-t-elle subitement des périodes de fortes activités solaires ? Les éruptions solaires sont les « clients » favoris des pessimistes de 2012. Marie-Ange Faugérolas manifeste une certaine inquiétude : « Les scientifiques ne cessent de s’interroger sur l’avenir de l’humanité. Lucie et Jean-Pierre Garnier Malet sont pessimistes : « Nous vivons les six périodes de notre apocalypse ». Ils font référence aux prémisses de la fin des temps avec l’explosion solaire qui eut lieu en mars 1989 et qui a provoqué l’immense panne d’électricité au Canada. La puissance de cette explosion dépassait l’entendement. Le Canada fut sans électricité pendant 24h, les communications et les transports aériens furent perturbés ». Plus grave encor ! Des scientifiques du NGCD (National Geographic Data Center du Colorado) ne limitent les conséquences de l’éruption solaire au Canada. Ils ont constaté que le réseau Mars de US Navy était hors service partout dans le monde. Les GPS étaient inutilisables aux Etats-Unis, au Canada et en Australie. Des coupures électriques ont eu lieu sur le réseau américain. Les centrales nucléaires du nord-est des Etats-Unis ont été placées en mode sécurité. N’est-ce pas le signe d’un réel danger. En 2012, une éruption solaire aura-t-elle lieu ? Jean-Pierre Garnier Malet paraît y croire : « D’après l’activité solaire, il semble que la septième et dernière ouverture (le 7éme sceau de l’Apocalypse de Jean) puisse avoir lieu très bientôt et sans doute aux alentours de 2012 » ».

Nous vivons dans un univers où nous avons confié notre vie, notre économie, notre sécurité physique et même notre psychologie entre les mains de technologies électroniques éminemment sensible aux phénomènes et autres orages électromagnétiques. Nous vivrons dans « le tout technologique » d’une manière tellement radicale que l’effondrement de ce système pourrait nous faire revenir à l’âge de pierre. Nous avons perdu ou oublié-du moins dans les sociétés modernes capitalistes et technologiques-les gestes de survie primordiaux qui nous lient à la terre : comment se nourrir, comment construire les objets de tous les jours, comment s’abriter etc. nous sommes tous des « assistés » de la technologie et du corps social.



Marie-Ange Faugérolas, d’un naturel en apparence sceptique, atténue les relents angoissants des sombres prophéties de Garnier-Malet en ces termes : « Les déclarations de Garnier-Malet ne reposent que sur des suppositions. Il n’ya pas de raisonnement scientifique capable de prédire que l’activité solaire, assez bien connue aujourd’hui, puisse provoquer une ouverture apocalyptique en 2012. Il est souhaitable de soumettre les affirmations prophétiques aux exigences de la logique et des statistiques. Donnons-nous les bonnes raisons d’agir et mettons-nous en garde contre les mauvaises raisons d’avoir peur ! » (2012, Le livre des révélations).



L’hypothèse d’une catastrophe provoquée par des explosions solaires est mise à mal par une association scientifiques des activités du soleil qui tente de prévoir ses cycles, ses débordements énergétiques et ses explosions grâce aux outils de la physique, de l’astrophysique, de la statistique et des probabilités. Le 8 mai 2009, le Comité de prédiction du cycle solaire 24 (associé au Centre de prédiction de la météorologie spatiale de la NOAA) a mis à jour ses prévisions pour le cycle actuel. Contrairement à ce qui avait été avancé précédemment, le minimum solaire aurait été atteint en décembre 2008, ce qui représente plusieurs mois de retard par rapport aux estimations précédentes. Du coup, la date du prochain maximum solaire est repoussée au mois de mai 2013. Ce retard met un peu de plomb dans l’aile des pros 2012, qui escomptaient une coïncidence plus marquée avec la fin du compte long du calendrier maya. Et c’est d’autant plus navrant que les puissantes tempêtes solaires se produisent parfois après le maximum. En outre, le « Comité de prédiction du cycle solaire 24 » a également annoncé qu’il estimait que le prochain pic solaire serait moins intense que la moyenne, au point qu’il pourrait être le plus faible que l’on ait connu depuis 1928. On serait donc loin des dégagements massifs d’énergie capables de détruire les installations électriques, voir de rayer toute vie de la surface de la terre. Info ou intox ?



L’Avis des scientifiques

Pour en savoir plus sur les perturbations observées au sein de notre système solaire et obtenir un avis scientifique, nous avons sollicité celui de Hubert Reeves et de Jean-Pierre Petit (découvreur de la MHD), deux éminents savants. Le premier a décliné notre invitation, prétextant un surcroît de travail. Le second n’a pas pu nous accorder une interview en raison de son état de santé mais a tout de même laissé filtré des éléments qui n’ont rien de rassurant : « A propos des questions que vous me posez, j’y ai déjà longuement répondu dans une interview donnée à « France Télévision » mais je ne sais pas quant cette interview sera diffusée ni même si elle le sera. Je reste modeste. Je connais la difficulté de faire des prédictions aussi bien rassurantes qu’alarmistes. Le thème catastrophiste gagne du terrain. Les hommes sentent confusément que l’histoire humaine arrive à un tournant, sur un grand nombre de plans. Je peux vous dire que les Russes viennent de réussir le « break even » dans la fusion à l’aide d’explosifs (générateur MHD à disques ou DEMG). C’est un changement qualitatif important en matière d’armements. Sa signification ? Avènement d’un nouveau type de bombe à fusion pure (sans bombe A comme détonateur). Les armes thermonucléaires vont pouvoir être miniaturisées, voir leur puissance réduite. Donc, elles deviendront … utilisables. Quant au réchauffement de notre système, nous sommes très ignorants de la situation que l’on y constate. Pourquoi l’axe d’Uranus a-t-il basculé de 90 degrés, pourquoi…etc. les questions sont innombrables. Notre monde fermente, c’est sûr. Soit une collision avec une météorite peut être envisagée, soit même sans cela, les causes de déséquilibre suffisent largement pour faire basculer notre histoire vers quel destin. Je n’en sais rien ! »



Dans les pages suivantes, nous allons nous intéresser aux apparitions de la Vierge de Fatima qui eut le soleil comme épicentre des manifestations surnaturelles. La Vierge a montré un soleil s’obscurcissant puis se précipitant sur la foule, comme si elle voulait nous avertir que le soleil, le nôtre ou un autre, jouera un jour un rôle majeur dans la fin des temps.



Fin de cet article.





A suivre …
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