- Koi1Modérateur Général
- Date d'inscription : 19/01/2009
Nombre de messages : 2153
Le Gaz de Brown, une eau qui devient combustible !
2009-07-08, 7:38 am
Le Gaz de Brown, une eau qui devient combustible !
Il y a presque 50 ans, Yull Brown, chercheur bulgare, découvrait un procédé de production d’énergie à partir de l’eau, poursuivant un principe déjà énoncé par Viktor Schauberger.
Le procédé du gaz de Brown est d’une étonnante actualité en ces temps de crise énergétique. Son système se base sur un changement atomique de l’eau. Certains scientifiques ont applaudi, le monde de l’industrie énergétique a tenté d’étouffer cette solution sans profit financier, les militaires ont de suite vu l’utilisation à des fin de production de nouvelles armes. Brown n’a pas souhaité détruire l’humanité mais plutôt de servir. Est-ce que l’être humain est prêt à passer à une vitesse supérieure dans sa connaissance technologique?
Qu’est-ce que le gaz de Brown?
Le gaz de Brown est une eau ordinaire dans laquelle on sépare les atomes d’oxygène et d’hydrogène par électrolyse. L’eau est un liquide qui manifeste des propriétés très largement différentes, subtiles et élusives, quasi anormales, de celles d’autres liquides qui peuvent lui ressembler chimiquement. Le gaz de Brown est un comportement de l’hydrogène et de l’oxygène sur lequel personne depuis Faraday, en 1853, n’était tombé.
En effet, les atomes d’oxygène et d’hydrogène ne prennent pas leur forme mono-atomique mais sont maintenus dans une forme diatomique. Ce qui confère au gaz, des propriétés étonnantes:
Cette eau peut »brûler » comme du propane (combustible)
Le résidu de combustible est à nouveau de l’eau.
Comme une flamme de soudure, la température de la flamme varie selon le matériau qu’elle brûle, vaporisant le tungstène mais ne brûle pas votre main.
Ce gaz de Brown offre des opportunités technologiques incroyables, des applications variées et nombreuses, comme l’extraction de minerai, l’élimination des déchets ménagers, toxiques, médicaux, la suppression de la radioactivité en fournissant une utilisation plus efficace de l’énergie nucléaire, un carburant auto, un chauffage et une cuisson domestique, des applications industrielles (souder du verre, de l’aluminium, du quartz, du cuivre, du fer, couper de l’acier, du fer…)
Comment obtenir le gaz de Brown?
Brown s’est basé sur le mélange possible des 3 isotopes d’hydrogène (1 H 1 , 1 H 2 , 1 H 3), et des 6 isotopes d’oxygène (8 O 14 , 8 O 15 , 8 O 16 , 8 O 17 , 8 O 18 , 8 O 19), ce qui fait théoriquement 36 sortes d’eau. Il a observé le comportement anormal de l’eau qui dépend de sa capacité à modifier ses propriétés énergétiques et physico-chimiques selon les permutations des liaisons des isotopes d’hydrogène et d’oxygène, par événement naturels ou artificiels).
Le Gaz de Brown, c’est : Vide + Eau
Avec le système de Brown :
1kWh d’électricité produit 340 litres de gaz.
1 litres d’eau se dilate jusqu’à 1860 litres de gaz ; l’inverse s’applique aussi bien. Lors de la combustion, le gaz implose, ce qui donne 1859 unités de vide avec une unité d’eau.
1.860 l : 340 l = 5,47 kWh soit un Coût des 1860 l de gaz : 5,47 kWh X 0,13 € (moyenne prix kWh France en 2007) = 0.71€
Todd Knudfson a traduit l’équation ainsi : Electricité + eau = Gaz de Brown et Gaz de Brown + Ignition = Electricité + Eau
Implosion et non explosion
L’innovation du Gaz de Brown tient dans son implosion. C’est difficile à concevoir pour un scientifique, le gaz étant explosif! Pour obtenir l’implosion, il faut une étincelle à haute fréquence de 9.000 volts ou plus. Le brevet a été déposé après 8 ans d’essais qui ont montré qu’il implose uniquement sous allumage électrique. Un simple petit bruit clair accompagne cette implosion. La vitesse de détonation dépasse les 3.600 mètre par seconde. Il n’y a pas d’effet de contraction - expansion lorsque le gaz implose, mais seulement une contraction. Une petite quantité de chaleur est dissipé dans l’appareil lors d’un cycle d’implosion.
Pourquoi le gaz n’explose-t-il pas? Parce que Brown a trouvé le mélange convenable qui n’est pas explosif.
«L’implosion est créatrice, l’explosion destructrice.
C’est un principe créateur de l’univers.»
Pour prouver ses dires, Brown prit un cylindre de moteur rempli d’eau, il inséra le bout de son chalumeau dans l’ouverture, au sommet, il brancha l’alimentation de gaz sous pression, ce qui fit évacuer l’eau du cylindre par un tube en plastique allant dans un récipient posé à terre. Une fois le cylindre soigneusement rempli du mélange de gaz, il fit jaillir une étincelle d’une bougie insérée dans l’ouverture et on entendit seulement un petit «ping» lorsque l’eau remonta à travers le tube pour remplir le cylindre.
L’explosion est un mouvement extérieur de pression centrifuge, du type de celui qui existe avec les pistons poussés dans les cylindres des moteurs à essence. L’implosion est un mouvement de pression centripète, de même sorte que celui qui amène la création du vide, comme dans le cylindre de l’expérience précédente. On peut comparer la libération de l’énergie du gaz stocké à celle venant d’un ressort spiral écrasé sous une très forte pression. Plus il est comprimé, plus vite il retourne à son état normal lorsqu’il est libéré de la pression. C’est ce même principe qui s’applique aussi pour le confinement du gaz et sa libération par allumage. Brown ajouta : «Tout ceci explique pourquoi une voiture, comme la mienne, ne rejette rien d’autre que la vapeur d’eau, avec un rendement de moteur de 90% au lieu de 5% pour les voitures alimentées en essence».
Gaz de Brown et combustion
Tous les types de carburant, y copris l’essence, le GPL, le butane, le propane, le gaz oïl, et le gaz naturel ont des températures de combustion et d’allumage constantes. La flamme du Gaz de Brown appliquée sur un élément ou un composé change sa température en raison de sa propriété spécifique de combustion interactive. Il n’existe pas de limite théorique de température à la flamme quand l’environnement de la combustion détermine l’augmentation de l’énergie calorifique fournie.
Chaque matériau, sol, roche, métal ou liquide a une organisation atomique différente. Chaque matériau brûlera, se liquéfiera ou se sublimera (passant sous forme gazeuse) à sa propre température. Dans tous les cas, lorsqu’on se sert du Gaz de Brown, sa température change. La flamme produite à partir de ce gaz, peut forer des trous en l’espace de quelques secondes dans des produits réfractaires aux hautes températures.
L’efficacité de conversion de courant en énergie thermique du gaz produit est de 95%. Le maximum de production de gaz en partant d’une alimentation est de 91.3%. Mais ce qui retient le plus l’attention dans ce système, c’est sa faculté de produire du gaz immédiatement et à bon marché, partout où l’on en a besoin. Les problèmes inhérents de stockage et les pertes dues aux fuites perdent tout leur sens. Cette flamme neutre du gaz, est importante pour les soudures mais aussi en tant que source d’énergie calorifique propre capable de remplacer les combustibles fossiles. Le Gaz de Brown peut couper sans scories une plaque d’acier de 7 cm avec autant de facilité que l’on coupe du beurre.
Applications pratiques
- Améliorer la combustion de carburants fossiles
Le 09 / 02 / 1978, M Hansard du Conseil Législatif de New South Wales et de l’Assemblée Législative d’Australie témoigne du fait que Brown a conduit sa propre voiture sur 1600 kilomètres en consommant un seul gallon d’eau (3,78 litres USA).
- Plongée sous-marine
Le Gaz de Brown est respirable. Il permet de doubler la profondeur de plongée jusqu’à 2050 m, et de travailler à pleine capacité malgré la forte pression.
- Soudures sous l’eau, brassage, fusion et découpe, vitrification de la céramique. Le chalumeau au Gaz de Brown.
Le GDB (Gaz de Brown) peut souder à très haute température (+ de 6000°) le verre, le quartz, le cuivre l’aluminium. La température de sublimation du tungstène (une tige de 0.31 cm de diamètre se vaporise en 30 secondes). Il convient également pour les soudages légers (à moins de 427°C). Une petite flamme fait le même travail q’une torche au propane. Tel un laser, elle facilite le travail dans les endroits exigus. En outre elle ne pollue pas et ne consomme pas d’oxygène ambiant. Les coûts peuvent être diminues de huit fois en se servant de la soudure au GDB plutôt que du mélange oxyacéthylénique, qui dépend du coût de l’électricité.
-Pour faire le vide
L’implosion du GDB produit un vide complet. Il n’existe pas de technique aussi pure (sans aucun agent contaminant), sur une si courte durée, avec un appareil aussi bon marché. Le but est d’utiliser le gaz en tant qu’agent pour une production de vide et par conséquent déclencher une pression atmosphérique qui sera source d’énergie. Et il s’agit vraiment de source d’énergie, car le GDB exposé à une source de chaleur, entre en expansion. Son implosion utilisera la pression atmosphérique. De nombreuses applications dans le pompage, et le développement de moteurs à implosion atmosphérique en résultent. L’implosion, réaction unique, se produit seulement avec ce gaz, elle est impossible avec d’autres substances connues !
- Pour dessaler l’eau de mer : Un appareil fabriqué en Chine est basé sur les propriétés de l’implosion du GDB, son coût est inférieur à 1 cent par gallon (3,78 l) pour une Unité de Dessalement. Les Chinois en disposeront bientôt pour fournir toute l’eau douce à bord de leurs bateaux.
- Un détecteur d’armes
- Obtenir une eau pure. L’eau «de Brown» haut pouvoir hydratant.
Des tests ont été réalisés en injectant du GDB dans une eau du robinet quelconque, l’eau devient excellente pour la santé. Elle a les mêmes propriétés thérapeutiques qu’une eau comme celle des Hunzas (voir Sacrée Planète n°15). Elle stimulera comme une tasse de café mais sans effet secondaire.
Nous avons des raisons de penser que cette eau améliore tous le processus physiologiques du corps, contribuant à un meilleur système immunitaire et ralentissant les symptômes du vieillissement essentiellement due à la déshydratation. Elle peut soulager les douleurs musculaires par la réhydratation. Elle est cicatrisante parce qu’elle tue les micro-organismes anaérobies et favorise la régénération cellulaire.
Beaucoup de compagnies d’eau minérale ajoutent de l’oxygène à leurs eaux. Ce qui n’est pas encore connu, c’est que l’eau est encore meilleure pour la santé quand on y ajoute de l’hydrogène. En théorie, l’eau hydrate le corps mais l’eau gazéifiée et les boissons sucrées, sont généralement déshydratantes.
Le GDB est un excellent moyen d’oxygéner l’eau.
Pour le moment, nous ne connaissons pas de commercialisation d’un tel appareil. Cela a été fait dans un cadre de recherche pouvant montrer l’intérêt du gaz produit par un générateur à implosion.
- Neutraliser les résidus nucléaires.
- Améliorer l’hydrométrie d’une pièce.
Un humidificateur utilise 4 litres d’eau pour une nuit, avec le GDB, 250 ml suffise.
Intérêts écologiques et économiques
En février 1971, un journal South Australia’s Sundays d’Adélaïde annonçait : « L’invention de Brown permettrait de rouler pendant un an avec 37,8 litres d’eau et des kits seraient commercialisés pour que chacun fasse marcher son moteur pour 300 à 400 dollars…de quoi rendre les compagnies pétrolières enragées ! ». Un journaliste présent à une démonstration écrivit: «Pendant encore combien de temps nous laisseront nous dominer, détruire nos vie et l’environnement parce que des dirigeants protégeant leurs intérêts, s’opposeront à une formidable avancée de la science?».
«Le travail de Brown, novateur et concret nous offre des solutions aux 3 problèmes majeurs associés aux systèmes conventionnels: l’épuisement de nos ressources en carburants bruts, la pollution et le coût même de l’énergie.»
Au début de 1977, Jim Thorn, écrivain scientifique écrivait: «Imaginez un long courrier entre Sydney et Londres avec un carburant qui coûterait 10 fois moins cher, nous pourrions avoir la meilleure défense aérienne, limitée par la seule fatigue des pilotes, les bateaux pourraient extraire leur carburant de l’eau sur laquelle ils navigueraient, toutes les voitures, tracteurs et machines marcheraient à l’eau»…
Et cela a dépassé les frontières jusqu’au Japon, l’Arabie Saoudite, Israël, l’ex-URSS, les USA et plus récemment la Corée du Sud et la Chine.
Deux chercheurs avisés et courageux.
En 1988, Bob Dzaikich, co-fondateur et président de Southwest Concrete Products, fabricant de tuyaux et systèmes d’égouts, à Ontario, fut invité en compagnie de son bras droit, Davis Ennis, à prendre connaissance d’une vidéo, composée de séquences filmées sur travail de Brown, pendant plusieurs années. On pouvait y voir une Holden, voiture australienne fonctionnant au Gaz de Brown, avec pour tout trajet, un peu de vapeur d’eau, une unité réfrigérante dont on pouvait changer instantanément la température sans Fréon, ni produits chimiques, un radiateur domestique capable de carboniser sans flammes ni fumée un morceau de papier,.. Dzaikich et Ennis ne purent s’empêcher de ressentir un espoir. On dit à ces 2 chercheurs: «Pourquoi investirions-nous plusieurs millions de dollars pour développer quelque chose dont personne ne veut?»
Démonstration
C’est pour dissiper toutes les médisances que Brown, décida de faire une démonstration en invitant un petit groupe de scientifiques, d’hommes d’affaires et de journalistes.
Dans un coin de son garage - laboratoire, se trouvait une caisse de taille d’un poste de télévision, pleine de boutons, cadrans, jauges, et sur laquelle on pouvait lire : Générateur à mélange de gaz hydrogène - oxygène stoichiométrique compressé absolument sans danger de Yull Brown. C’était une batterie légère, mobile, de son invention, très efficace, sans membrane, ni protection, qui dissocie l’eau dans un rapport d’atome à atome, - deux volumes d’hydrogène pour un d’oxygène. Cela s’appelle « stoichiometrix » en langage scientifique. (Un premier brevet n°590309, a été déposé en Australie en 1977. en suivront d’autres aux USA, et au total, dans 30 pays.)
Brown fit des démonstrations sidérantes de sa flamme
- en passant sa main au travers sans dommage
- en soudant deux bandes d’aluminium de 20,32 cm sur 5,08 cm ou deux bandes de métaux différents (cuivre et aluminium)
- en soudant solidement une fine tige d’acier à une brique ordinaire ou un verre à une brique de construction, (le tout sans décaper), etc.
Il y a presque 50 ans, Yull Brown, chercheur bulgare, découvrait un procédé de production d’énergie à partir de l’eau, poursuivant un principe déjà énoncé par Viktor Schauberger.
Le procédé du gaz de Brown est d’une étonnante actualité en ces temps de crise énergétique. Son système se base sur un changement atomique de l’eau. Certains scientifiques ont applaudi, le monde de l’industrie énergétique a tenté d’étouffer cette solution sans profit financier, les militaires ont de suite vu l’utilisation à des fin de production de nouvelles armes. Brown n’a pas souhaité détruire l’humanité mais plutôt de servir. Est-ce que l’être humain est prêt à passer à une vitesse supérieure dans sa connaissance technologique?
Qu’est-ce que le gaz de Brown?
Le gaz de Brown est une eau ordinaire dans laquelle on sépare les atomes d’oxygène et d’hydrogène par électrolyse. L’eau est un liquide qui manifeste des propriétés très largement différentes, subtiles et élusives, quasi anormales, de celles d’autres liquides qui peuvent lui ressembler chimiquement. Le gaz de Brown est un comportement de l’hydrogène et de l’oxygène sur lequel personne depuis Faraday, en 1853, n’était tombé.
En effet, les atomes d’oxygène et d’hydrogène ne prennent pas leur forme mono-atomique mais sont maintenus dans une forme diatomique. Ce qui confère au gaz, des propriétés étonnantes:
Cette eau peut »brûler » comme du propane (combustible)
Le résidu de combustible est à nouveau de l’eau.
Comme une flamme de soudure, la température de la flamme varie selon le matériau qu’elle brûle, vaporisant le tungstène mais ne brûle pas votre main.
Ce gaz de Brown offre des opportunités technologiques incroyables, des applications variées et nombreuses, comme l’extraction de minerai, l’élimination des déchets ménagers, toxiques, médicaux, la suppression de la radioactivité en fournissant une utilisation plus efficace de l’énergie nucléaire, un carburant auto, un chauffage et une cuisson domestique, des applications industrielles (souder du verre, de l’aluminium, du quartz, du cuivre, du fer, couper de l’acier, du fer…)
Comment obtenir le gaz de Brown?
Brown s’est basé sur le mélange possible des 3 isotopes d’hydrogène (1 H 1 , 1 H 2 , 1 H 3), et des 6 isotopes d’oxygène (8 O 14 , 8 O 15 , 8 O 16 , 8 O 17 , 8 O 18 , 8 O 19), ce qui fait théoriquement 36 sortes d’eau. Il a observé le comportement anormal de l’eau qui dépend de sa capacité à modifier ses propriétés énergétiques et physico-chimiques selon les permutations des liaisons des isotopes d’hydrogène et d’oxygène, par événement naturels ou artificiels).
Le Gaz de Brown, c’est : Vide + Eau
Avec le système de Brown :
1kWh d’électricité produit 340 litres de gaz.
1 litres d’eau se dilate jusqu’à 1860 litres de gaz ; l’inverse s’applique aussi bien. Lors de la combustion, le gaz implose, ce qui donne 1859 unités de vide avec une unité d’eau.
1.860 l : 340 l = 5,47 kWh soit un Coût des 1860 l de gaz : 5,47 kWh X 0,13 € (moyenne prix kWh France en 2007) = 0.71€
Todd Knudfson a traduit l’équation ainsi : Electricité + eau = Gaz de Brown et Gaz de Brown + Ignition = Electricité + Eau
Implosion et non explosion
L’innovation du Gaz de Brown tient dans son implosion. C’est difficile à concevoir pour un scientifique, le gaz étant explosif! Pour obtenir l’implosion, il faut une étincelle à haute fréquence de 9.000 volts ou plus. Le brevet a été déposé après 8 ans d’essais qui ont montré qu’il implose uniquement sous allumage électrique. Un simple petit bruit clair accompagne cette implosion. La vitesse de détonation dépasse les 3.600 mètre par seconde. Il n’y a pas d’effet de contraction - expansion lorsque le gaz implose, mais seulement une contraction. Une petite quantité de chaleur est dissipé dans l’appareil lors d’un cycle d’implosion.
Pourquoi le gaz n’explose-t-il pas? Parce que Brown a trouvé le mélange convenable qui n’est pas explosif.
«L’implosion est créatrice, l’explosion destructrice.
C’est un principe créateur de l’univers.»
Pour prouver ses dires, Brown prit un cylindre de moteur rempli d’eau, il inséra le bout de son chalumeau dans l’ouverture, au sommet, il brancha l’alimentation de gaz sous pression, ce qui fit évacuer l’eau du cylindre par un tube en plastique allant dans un récipient posé à terre. Une fois le cylindre soigneusement rempli du mélange de gaz, il fit jaillir une étincelle d’une bougie insérée dans l’ouverture et on entendit seulement un petit «ping» lorsque l’eau remonta à travers le tube pour remplir le cylindre.
L’explosion est un mouvement extérieur de pression centrifuge, du type de celui qui existe avec les pistons poussés dans les cylindres des moteurs à essence. L’implosion est un mouvement de pression centripète, de même sorte que celui qui amène la création du vide, comme dans le cylindre de l’expérience précédente. On peut comparer la libération de l’énergie du gaz stocké à celle venant d’un ressort spiral écrasé sous une très forte pression. Plus il est comprimé, plus vite il retourne à son état normal lorsqu’il est libéré de la pression. C’est ce même principe qui s’applique aussi pour le confinement du gaz et sa libération par allumage. Brown ajouta : «Tout ceci explique pourquoi une voiture, comme la mienne, ne rejette rien d’autre que la vapeur d’eau, avec un rendement de moteur de 90% au lieu de 5% pour les voitures alimentées en essence».
Gaz de Brown et combustion
Tous les types de carburant, y copris l’essence, le GPL, le butane, le propane, le gaz oïl, et le gaz naturel ont des températures de combustion et d’allumage constantes. La flamme du Gaz de Brown appliquée sur un élément ou un composé change sa température en raison de sa propriété spécifique de combustion interactive. Il n’existe pas de limite théorique de température à la flamme quand l’environnement de la combustion détermine l’augmentation de l’énergie calorifique fournie.
Chaque matériau, sol, roche, métal ou liquide a une organisation atomique différente. Chaque matériau brûlera, se liquéfiera ou se sublimera (passant sous forme gazeuse) à sa propre température. Dans tous les cas, lorsqu’on se sert du Gaz de Brown, sa température change. La flamme produite à partir de ce gaz, peut forer des trous en l’espace de quelques secondes dans des produits réfractaires aux hautes températures.
L’efficacité de conversion de courant en énergie thermique du gaz produit est de 95%. Le maximum de production de gaz en partant d’une alimentation est de 91.3%. Mais ce qui retient le plus l’attention dans ce système, c’est sa faculté de produire du gaz immédiatement et à bon marché, partout où l’on en a besoin. Les problèmes inhérents de stockage et les pertes dues aux fuites perdent tout leur sens. Cette flamme neutre du gaz, est importante pour les soudures mais aussi en tant que source d’énergie calorifique propre capable de remplacer les combustibles fossiles. Le Gaz de Brown peut couper sans scories une plaque d’acier de 7 cm avec autant de facilité que l’on coupe du beurre.
Applications pratiques
- Améliorer la combustion de carburants fossiles
Le 09 / 02 / 1978, M Hansard du Conseil Législatif de New South Wales et de l’Assemblée Législative d’Australie témoigne du fait que Brown a conduit sa propre voiture sur 1600 kilomètres en consommant un seul gallon d’eau (3,78 litres USA).
- Plongée sous-marine
Le Gaz de Brown est respirable. Il permet de doubler la profondeur de plongée jusqu’à 2050 m, et de travailler à pleine capacité malgré la forte pression.
- Soudures sous l’eau, brassage, fusion et découpe, vitrification de la céramique. Le chalumeau au Gaz de Brown.
Le GDB (Gaz de Brown) peut souder à très haute température (+ de 6000°) le verre, le quartz, le cuivre l’aluminium. La température de sublimation du tungstène (une tige de 0.31 cm de diamètre se vaporise en 30 secondes). Il convient également pour les soudages légers (à moins de 427°C). Une petite flamme fait le même travail q’une torche au propane. Tel un laser, elle facilite le travail dans les endroits exigus. En outre elle ne pollue pas et ne consomme pas d’oxygène ambiant. Les coûts peuvent être diminues de huit fois en se servant de la soudure au GDB plutôt que du mélange oxyacéthylénique, qui dépend du coût de l’électricité.
-Pour faire le vide
L’implosion du GDB produit un vide complet. Il n’existe pas de technique aussi pure (sans aucun agent contaminant), sur une si courte durée, avec un appareil aussi bon marché. Le but est d’utiliser le gaz en tant qu’agent pour une production de vide et par conséquent déclencher une pression atmosphérique qui sera source d’énergie. Et il s’agit vraiment de source d’énergie, car le GDB exposé à une source de chaleur, entre en expansion. Son implosion utilisera la pression atmosphérique. De nombreuses applications dans le pompage, et le développement de moteurs à implosion atmosphérique en résultent. L’implosion, réaction unique, se produit seulement avec ce gaz, elle est impossible avec d’autres substances connues !
- Pour dessaler l’eau de mer : Un appareil fabriqué en Chine est basé sur les propriétés de l’implosion du GDB, son coût est inférieur à 1 cent par gallon (3,78 l) pour une Unité de Dessalement. Les Chinois en disposeront bientôt pour fournir toute l’eau douce à bord de leurs bateaux.
- Un détecteur d’armes
- Obtenir une eau pure. L’eau «de Brown» haut pouvoir hydratant.
Des tests ont été réalisés en injectant du GDB dans une eau du robinet quelconque, l’eau devient excellente pour la santé. Elle a les mêmes propriétés thérapeutiques qu’une eau comme celle des Hunzas (voir Sacrée Planète n°15). Elle stimulera comme une tasse de café mais sans effet secondaire.
Nous avons des raisons de penser que cette eau améliore tous le processus physiologiques du corps, contribuant à un meilleur système immunitaire et ralentissant les symptômes du vieillissement essentiellement due à la déshydratation. Elle peut soulager les douleurs musculaires par la réhydratation. Elle est cicatrisante parce qu’elle tue les micro-organismes anaérobies et favorise la régénération cellulaire.
Beaucoup de compagnies d’eau minérale ajoutent de l’oxygène à leurs eaux. Ce qui n’est pas encore connu, c’est que l’eau est encore meilleure pour la santé quand on y ajoute de l’hydrogène. En théorie, l’eau hydrate le corps mais l’eau gazéifiée et les boissons sucrées, sont généralement déshydratantes.
Le GDB est un excellent moyen d’oxygéner l’eau.
Pour le moment, nous ne connaissons pas de commercialisation d’un tel appareil. Cela a été fait dans un cadre de recherche pouvant montrer l’intérêt du gaz produit par un générateur à implosion.
- Neutraliser les résidus nucléaires.
- Améliorer l’hydrométrie d’une pièce.
Un humidificateur utilise 4 litres d’eau pour une nuit, avec le GDB, 250 ml suffise.
Intérêts écologiques et économiques
En février 1971, un journal South Australia’s Sundays d’Adélaïde annonçait : « L’invention de Brown permettrait de rouler pendant un an avec 37,8 litres d’eau et des kits seraient commercialisés pour que chacun fasse marcher son moteur pour 300 à 400 dollars…de quoi rendre les compagnies pétrolières enragées ! ». Un journaliste présent à une démonstration écrivit: «Pendant encore combien de temps nous laisseront nous dominer, détruire nos vie et l’environnement parce que des dirigeants protégeant leurs intérêts, s’opposeront à une formidable avancée de la science?».
«Le travail de Brown, novateur et concret nous offre des solutions aux 3 problèmes majeurs associés aux systèmes conventionnels: l’épuisement de nos ressources en carburants bruts, la pollution et le coût même de l’énergie.»
Au début de 1977, Jim Thorn, écrivain scientifique écrivait: «Imaginez un long courrier entre Sydney et Londres avec un carburant qui coûterait 10 fois moins cher, nous pourrions avoir la meilleure défense aérienne, limitée par la seule fatigue des pilotes, les bateaux pourraient extraire leur carburant de l’eau sur laquelle ils navigueraient, toutes les voitures, tracteurs et machines marcheraient à l’eau»…
Et cela a dépassé les frontières jusqu’au Japon, l’Arabie Saoudite, Israël, l’ex-URSS, les USA et plus récemment la Corée du Sud et la Chine.
Deux chercheurs avisés et courageux.
En 1988, Bob Dzaikich, co-fondateur et président de Southwest Concrete Products, fabricant de tuyaux et systèmes d’égouts, à Ontario, fut invité en compagnie de son bras droit, Davis Ennis, à prendre connaissance d’une vidéo, composée de séquences filmées sur travail de Brown, pendant plusieurs années. On pouvait y voir une Holden, voiture australienne fonctionnant au Gaz de Brown, avec pour tout trajet, un peu de vapeur d’eau, une unité réfrigérante dont on pouvait changer instantanément la température sans Fréon, ni produits chimiques, un radiateur domestique capable de carboniser sans flammes ni fumée un morceau de papier,.. Dzaikich et Ennis ne purent s’empêcher de ressentir un espoir. On dit à ces 2 chercheurs: «Pourquoi investirions-nous plusieurs millions de dollars pour développer quelque chose dont personne ne veut?»
Démonstration
C’est pour dissiper toutes les médisances que Brown, décida de faire une démonstration en invitant un petit groupe de scientifiques, d’hommes d’affaires et de journalistes.
Dans un coin de son garage - laboratoire, se trouvait une caisse de taille d’un poste de télévision, pleine de boutons, cadrans, jauges, et sur laquelle on pouvait lire : Générateur à mélange de gaz hydrogène - oxygène stoichiométrique compressé absolument sans danger de Yull Brown. C’était une batterie légère, mobile, de son invention, très efficace, sans membrane, ni protection, qui dissocie l’eau dans un rapport d’atome à atome, - deux volumes d’hydrogène pour un d’oxygène. Cela s’appelle « stoichiometrix » en langage scientifique. (Un premier brevet n°590309, a été déposé en Australie en 1977. en suivront d’autres aux USA, et au total, dans 30 pays.)
Brown fit des démonstrations sidérantes de sa flamme
- en passant sa main au travers sans dommage
- en soudant deux bandes d’aluminium de 20,32 cm sur 5,08 cm ou deux bandes de métaux différents (cuivre et aluminium)
- en soudant solidement une fine tige d’acier à une brique ordinaire ou un verre à une brique de construction, (le tout sans décaper), etc.
- Koi1Modérateur Général
- Date d'inscription : 19/01/2009
Nombre de messages : 2153
Re: Le Gaz de Brown, une eau qui devient combustible !
2009-07-08, 7:45 am
Scientifiques convaincus et industriels circonspects
Le 24 juin 1977, John O’Malley Bockris, professeur de physique à l’Université Flinders en Australie et qui fait autorité dans le domaine des utilisations énergétiques de l’hydrogène, écrivit tout le bien qu’il pansait du GDB. Pour lui, il s’agissait là d’une véritable et nouvelle voie d’électrolyse de l’eau. Il confirma les performances du gaz en soudure ainsi que son faible coût, et souligna l’indépendance énergétique pour l’Australie d’exporter des machines agricoles. Après avoir assisté à une démonstration, à Auburn, un ingénieur autrichien, Harald Hanish, directeur de R & D (Recherche et Développement) chez Simmering Graz Pauker, un grand constructeur d’Etat de machines et de wagons, écrivit l’ 12/3/1979 : « Je n’ai plus aucun doute : Gaz de Brown peut être produit sans danger ». Il arriva au fait que GDB revenait 7 fois moins cher et, dans certaines circonstances, jusqu’à 58 fois moins cher. Il recommanda à sa compagnie de signer un accord avec Water Fuel Holding, mais ils refusèrent tout en félicitant Brown et lui souhaitant de réussir.
Geoffrey Laverick, responsable du service information du centre du Bâtiment de Sydney était très intéressé par le GDB dans ses applications de vitrification rapide et peu coûteuse. Il vantait les possibilités de réaliser des sols sans entretien pour des lieux publics, de souder des murs de briques, et de se servir te tente pour des architectes, la préparation de panneaux de façade complets que l’on peut souder à l’acier. Mais les investissements d’entreprises individuelles ne vinrent pas.
En 2006, Teslalein Reasearch, aux Pays-bas commence une recherche sur le GDB. Loek Gans, construit un générateur de GDB auto -alimenté par énergie solaire et produit par jour, 3 heures de gaz grâce à un unique panneau solaire de un ampère.
Brown et les chinois
Laissant tomber ses espoirs aux USA, Brown reprit contact avec la Chine dont les envoyés étaient déjà venus le voir en 1986. En 1989, au début, les scientifiques de Beijing manifestaient du scepticisme. Puit, en1992, David Ennis confirme : « Contrairement aux autres, les Chinois ont pris le temps d’étudier le système de Brown, de conclure qu’il avait de la valeur, d’expérimenter ses caractéristiques, de concevoir et de construire une nouvelle génération plus perfectionnée de la machine de Brown, (le modèle unique aux USA, en juin 1992, pesait 350 kilos)… Ils croient maintenant en Yull Brown, et au potentiel de sa technologie. Ils croient aux nouveaux principes qu’il a découverts, et au fait que son invention est unique ».
Ils invitèrent Brown à résider en Mongolie Intérieure à Baotou, ville inaccessible aux étrangers. La géante chinoise Norinco, à l’Institut 52, consacré aux domaines de recherche spatiale, énergétique et nucléaire avec une usine quasi secrète où travaillent 1500 scientifiques issus de très nombreuses disciplines, se prépara à fabriquer 4 modèles de générateurs adaptés à tous usages. Ils affectèrent 20 scientifiques et 15 ingénieurs à un laboratoire où Brown passa plus de 3 ans. Après négociations (car Brown tenait à jeter un pont entre les USA et la Chine), Brown signa un accord tripartite avec Norinco.
1 - Les Chinois ont l’exclusivité des droits sur la fabrication et la vente en Chine.
2 - Le contrat octroie à Brown la responsabilité totale du développement technologique.
3 - Ce sont les Américains qui ont les droits sur la distribution des générateurs et leurs applications dans le reste du monde.
Le contrat a été signé mais pas complètement rempli. Il était stipulé que les première et troisième parties investiraient la somme de un demi million de dollars pour commencer. Les Chinois avancèrent leur part, mais les Américains, après avoir affirmé qu’il n’y avait aucun problème, ne donnèrent pas un sou, rejoignant ainsi la soixantaine de personnes qui depuis des années avaient promis de l’argent à Brown. Malgré leur déception, les Chinois, toujours très attirés par la technique de Brown lui permirent de rester à Baotou à leurs frais. Mais, tout comme les Américains, ils étaient plus intéressés par les possibilités pratiques offertes par Le GDB que par sa contribution à la réduction de la pollution.
L’épouse du président de l’Institut, le Dr Cai Xue Ling, était une collaboratrice de Brown. Le temps passant, un respect mutuel s’étant installé entre eux, Brown lui parla un jour de la capacité du gaz à réduire la toxicité de déchets, même radioactifs. On lui dit qu’il plaisantait, il maintint fermement ce qu’il annonçait. En août 1991, en Australie, Brown fit avec succès, des expériences sur des échantillons de Cobalt 60, Strontium 90, et Américium 241 : la radioactivité était réduite de 60 à 90 %.
Pris au mot par les Chinois, le directeur de Baotou introduisit Brown dans un autre institut, le 202, spécialisé dans le nucléaire qui rédigea (en Chinois) pour Norinco le rapport sur ces expériences. Ce rapport faisait état de radioactivité de 70%. De retour aux USA, en juin 1992, Brown refit le même type d’expériences devant Dzaikich, Ennis, et Lee Peterson, reporter du Inland Valley Daily Bulletin. Brown a placé pendant deux minutes sous la flamme une lamelle d’américium sur une brique avec de petits morceaux d’acier et d’aluminium. Après avoir fondu, les métaux émirent un flash qui fit dire à Brown, que la radioactivité était détruite. Avant l’expérience, l’américium (qui vient du plutonium) émettait plus que 100 après, soit la valeur de la radioactivité naturellement présente dans le laboratoire avant l’expérience.
Water Torch ER 1200
Brown était venu aux USA avec un appareil. Le premier modèle de Générateur de GDB a été montré à Ontario, en Juin 1992. Depuis cette époque, il existe un stock de générateurs. Pour en obtenir d’autres, il faut les faire venir de Chine, par bateau en les commandant chez Norinco (le plus gros fabricant d’armes, de missiles, d’avion et de grosses machines agricoles en Chine). Après renseignement, l’appareil est très coûteux actuellement.
Radioactivité et Gaz de Brown
A la demande de Berkeley Bedell, un membre du Congrès à la retraite, qui avait assisté aux expériences, des fonctionnaires du DoE (Departement of Energy) de San Francisco, se sont rendu le 6 août 1992, avec 5 observateurs chez Southwest Concrets Products, en Californie, pour voir les effets du GDB sur les matériaux radioactifs.
Daniel Haley, après examen sérieux dit que :
1 - La radioactivité n’a pas été relâchée dans l’environnement. Les services de santé n’ont pas trouvé de radioactivité ambiante. Bob Dzajkich, confirma l’absence de radioactivité dans la pièce où il avait assisté à toutes les expériences, ainsi que dans les zones contiguës.
2 - La radioactivité n’a pas été emprisonnée. Les mesures faites par Dzajkich par la suite, sur la poussière et le matériel laissé après l’expérience confirmèrent que la radioactivité n’y était pas emprisonnée.
La lettre du DoE affirmait que la radioactivité, mesurée au compteur Geiger avait été réduite, de 3 à 4 fois. Après avoir insisté pour avoir les chiffres précis des mesures effectuées, Haley apprit que le compteur donnait 1000 au début et 40 après l’expérience. Il en conclut donc, que le 06/08/1992, c’est une transmutation de matériau radioactif qui avait été réalisée. Celle-ci a fait chuter les mesures de l’ordre de 2500%. On peut dire aussi qu’elle a laissé un déchet radioactif de 0,04% du niveau de radiation avant expérience (en tenant compte des niveaux de radiations ambiants)
Etant donné les réactions des scientifiques nucléaires qui ont entendu parler de ces expériences, il est presque certain que Brown aura autant de difficultés à convaincre les pontifes académiques que lorsqu’il a présenté les qualités non explosives de son gaz. Néanmoins Atomic Energy of Canada Limited qui, trouve le cas de Yull Brown intéressant, prend en considération et inclut dans ses directives de travaux sur l’environnement, la transmutation des déchets nucléaires.
En conclusion, à retenir
Tout en reconnaissant le travail remarquable de Yull Brown qui a eu le mérite d’aller très loin dans ces recherches et ces applications, retenons que c’est Viktor Schauberger qui a l’origine des recherches contemporaines du phénomène du vide conduisant a l’implosion.
Plusieurs chercheurs ont découvert depuis les années 1970, ce phénomène que certains ont associé à l’électrolyse sans jamais oser relever ce que contenait cette petite boîte noire, secret de l’inventeur, et qui n’est autre qu’une petite pompe à vide. Tous ces chercheurs n’auront qu’un désir, gagner beaucoup d’argent mais le consortium mondial de l’énergie veillait et veille toujours à conserver la main mise sur tout se qui touche au domaine énergétique en achetant toute découverte… Mais les temps changent et évoluent, la conscience planétaire aussi.
Pour ceux qui ont envie de se pencher sur les possibilités du générateur à implosion, nous vous recommandons le site de quanthomme. Merci de donner à cet appareil le nom de « Générateur à implosion de Viktor Schauberger », vous rendrez ainsi à ce grand découvreur ce qui lui appartint. Des recherches sont menées un peu partout dans le monde. Nous espérons que de tels générateurs seront bientôt disponibles aux particuliers à des prix accessibles.
Sites Internet :
http://quanthomme.free.fr/carburant/GazBrown.htm
http://homme-et-espace.over-blog.com/article-25846150.html
http://www.nexus.fr/PDF/M48P469.pdf
http://www.watertogas.com/lang/fr/
il y a plein de résultat sur google .
Sites Internet anglais :
http://www.brownsgas.com
http://www.eskimo.com/~ghawk
http://www.eagle-research.com/index.htlm
Allors sa chauffe !!! ont nous prend vraiment pour des canards !!!!!
Le 24 juin 1977, John O’Malley Bockris, professeur de physique à l’Université Flinders en Australie et qui fait autorité dans le domaine des utilisations énergétiques de l’hydrogène, écrivit tout le bien qu’il pansait du GDB. Pour lui, il s’agissait là d’une véritable et nouvelle voie d’électrolyse de l’eau. Il confirma les performances du gaz en soudure ainsi que son faible coût, et souligna l’indépendance énergétique pour l’Australie d’exporter des machines agricoles. Après avoir assisté à une démonstration, à Auburn, un ingénieur autrichien, Harald Hanish, directeur de R & D (Recherche et Développement) chez Simmering Graz Pauker, un grand constructeur d’Etat de machines et de wagons, écrivit l’ 12/3/1979 : « Je n’ai plus aucun doute : Gaz de Brown peut être produit sans danger ». Il arriva au fait que GDB revenait 7 fois moins cher et, dans certaines circonstances, jusqu’à 58 fois moins cher. Il recommanda à sa compagnie de signer un accord avec Water Fuel Holding, mais ils refusèrent tout en félicitant Brown et lui souhaitant de réussir.
Geoffrey Laverick, responsable du service information du centre du Bâtiment de Sydney était très intéressé par le GDB dans ses applications de vitrification rapide et peu coûteuse. Il vantait les possibilités de réaliser des sols sans entretien pour des lieux publics, de souder des murs de briques, et de se servir te tente pour des architectes, la préparation de panneaux de façade complets que l’on peut souder à l’acier. Mais les investissements d’entreprises individuelles ne vinrent pas.
En 2006, Teslalein Reasearch, aux Pays-bas commence une recherche sur le GDB. Loek Gans, construit un générateur de GDB auto -alimenté par énergie solaire et produit par jour, 3 heures de gaz grâce à un unique panneau solaire de un ampère.
Brown et les chinois
Laissant tomber ses espoirs aux USA, Brown reprit contact avec la Chine dont les envoyés étaient déjà venus le voir en 1986. En 1989, au début, les scientifiques de Beijing manifestaient du scepticisme. Puit, en1992, David Ennis confirme : « Contrairement aux autres, les Chinois ont pris le temps d’étudier le système de Brown, de conclure qu’il avait de la valeur, d’expérimenter ses caractéristiques, de concevoir et de construire une nouvelle génération plus perfectionnée de la machine de Brown, (le modèle unique aux USA, en juin 1992, pesait 350 kilos)… Ils croient maintenant en Yull Brown, et au potentiel de sa technologie. Ils croient aux nouveaux principes qu’il a découverts, et au fait que son invention est unique ».
Ils invitèrent Brown à résider en Mongolie Intérieure à Baotou, ville inaccessible aux étrangers. La géante chinoise Norinco, à l’Institut 52, consacré aux domaines de recherche spatiale, énergétique et nucléaire avec une usine quasi secrète où travaillent 1500 scientifiques issus de très nombreuses disciplines, se prépara à fabriquer 4 modèles de générateurs adaptés à tous usages. Ils affectèrent 20 scientifiques et 15 ingénieurs à un laboratoire où Brown passa plus de 3 ans. Après négociations (car Brown tenait à jeter un pont entre les USA et la Chine), Brown signa un accord tripartite avec Norinco.
1 - Les Chinois ont l’exclusivité des droits sur la fabrication et la vente en Chine.
2 - Le contrat octroie à Brown la responsabilité totale du développement technologique.
3 - Ce sont les Américains qui ont les droits sur la distribution des générateurs et leurs applications dans le reste du monde.
Le contrat a été signé mais pas complètement rempli. Il était stipulé que les première et troisième parties investiraient la somme de un demi million de dollars pour commencer. Les Chinois avancèrent leur part, mais les Américains, après avoir affirmé qu’il n’y avait aucun problème, ne donnèrent pas un sou, rejoignant ainsi la soixantaine de personnes qui depuis des années avaient promis de l’argent à Brown. Malgré leur déception, les Chinois, toujours très attirés par la technique de Brown lui permirent de rester à Baotou à leurs frais. Mais, tout comme les Américains, ils étaient plus intéressés par les possibilités pratiques offertes par Le GDB que par sa contribution à la réduction de la pollution.
L’épouse du président de l’Institut, le Dr Cai Xue Ling, était une collaboratrice de Brown. Le temps passant, un respect mutuel s’étant installé entre eux, Brown lui parla un jour de la capacité du gaz à réduire la toxicité de déchets, même radioactifs. On lui dit qu’il plaisantait, il maintint fermement ce qu’il annonçait. En août 1991, en Australie, Brown fit avec succès, des expériences sur des échantillons de Cobalt 60, Strontium 90, et Américium 241 : la radioactivité était réduite de 60 à 90 %.
Pris au mot par les Chinois, le directeur de Baotou introduisit Brown dans un autre institut, le 202, spécialisé dans le nucléaire qui rédigea (en Chinois) pour Norinco le rapport sur ces expériences. Ce rapport faisait état de radioactivité de 70%. De retour aux USA, en juin 1992, Brown refit le même type d’expériences devant Dzaikich, Ennis, et Lee Peterson, reporter du Inland Valley Daily Bulletin. Brown a placé pendant deux minutes sous la flamme une lamelle d’américium sur une brique avec de petits morceaux d’acier et d’aluminium. Après avoir fondu, les métaux émirent un flash qui fit dire à Brown, que la radioactivité était détruite. Avant l’expérience, l’américium (qui vient du plutonium) émettait plus que 100 après, soit la valeur de la radioactivité naturellement présente dans le laboratoire avant l’expérience.
Water Torch ER 1200
Brown était venu aux USA avec un appareil. Le premier modèle de Générateur de GDB a été montré à Ontario, en Juin 1992. Depuis cette époque, il existe un stock de générateurs. Pour en obtenir d’autres, il faut les faire venir de Chine, par bateau en les commandant chez Norinco (le plus gros fabricant d’armes, de missiles, d’avion et de grosses machines agricoles en Chine). Après renseignement, l’appareil est très coûteux actuellement.
Radioactivité et Gaz de Brown
A la demande de Berkeley Bedell, un membre du Congrès à la retraite, qui avait assisté aux expériences, des fonctionnaires du DoE (Departement of Energy) de San Francisco, se sont rendu le 6 août 1992, avec 5 observateurs chez Southwest Concrets Products, en Californie, pour voir les effets du GDB sur les matériaux radioactifs.
Daniel Haley, après examen sérieux dit que :
1 - La radioactivité n’a pas été relâchée dans l’environnement. Les services de santé n’ont pas trouvé de radioactivité ambiante. Bob Dzajkich, confirma l’absence de radioactivité dans la pièce où il avait assisté à toutes les expériences, ainsi que dans les zones contiguës.
2 - La radioactivité n’a pas été emprisonnée. Les mesures faites par Dzajkich par la suite, sur la poussière et le matériel laissé après l’expérience confirmèrent que la radioactivité n’y était pas emprisonnée.
La lettre du DoE affirmait que la radioactivité, mesurée au compteur Geiger avait été réduite, de 3 à 4 fois. Après avoir insisté pour avoir les chiffres précis des mesures effectuées, Haley apprit que le compteur donnait 1000 au début et 40 après l’expérience. Il en conclut donc, que le 06/08/1992, c’est une transmutation de matériau radioactif qui avait été réalisée. Celle-ci a fait chuter les mesures de l’ordre de 2500%. On peut dire aussi qu’elle a laissé un déchet radioactif de 0,04% du niveau de radiation avant expérience (en tenant compte des niveaux de radiations ambiants)
Etant donné les réactions des scientifiques nucléaires qui ont entendu parler de ces expériences, il est presque certain que Brown aura autant de difficultés à convaincre les pontifes académiques que lorsqu’il a présenté les qualités non explosives de son gaz. Néanmoins Atomic Energy of Canada Limited qui, trouve le cas de Yull Brown intéressant, prend en considération et inclut dans ses directives de travaux sur l’environnement, la transmutation des déchets nucléaires.
En conclusion, à retenir
Tout en reconnaissant le travail remarquable de Yull Brown qui a eu le mérite d’aller très loin dans ces recherches et ces applications, retenons que c’est Viktor Schauberger qui a l’origine des recherches contemporaines du phénomène du vide conduisant a l’implosion.
Plusieurs chercheurs ont découvert depuis les années 1970, ce phénomène que certains ont associé à l’électrolyse sans jamais oser relever ce que contenait cette petite boîte noire, secret de l’inventeur, et qui n’est autre qu’une petite pompe à vide. Tous ces chercheurs n’auront qu’un désir, gagner beaucoup d’argent mais le consortium mondial de l’énergie veillait et veille toujours à conserver la main mise sur tout se qui touche au domaine énergétique en achetant toute découverte… Mais les temps changent et évoluent, la conscience planétaire aussi.
Pour ceux qui ont envie de se pencher sur les possibilités du générateur à implosion, nous vous recommandons le site de quanthomme. Merci de donner à cet appareil le nom de « Générateur à implosion de Viktor Schauberger », vous rendrez ainsi à ce grand découvreur ce qui lui appartint. Des recherches sont menées un peu partout dans le monde. Nous espérons que de tels générateurs seront bientôt disponibles aux particuliers à des prix accessibles.
Sites Internet :
http://quanthomme.free.fr/carburant/GazBrown.htm
http://homme-et-espace.over-blog.com/article-25846150.html
http://www.nexus.fr/PDF/M48P469.pdf
http://www.watertogas.com/lang/fr/
il y a plein de résultat sur google .
Sites Internet anglais :
http://www.brownsgas.com
http://www.eskimo.com/~ghawk
http://www.eagle-research.com/index.htlm
Allors sa chauffe !!! ont nous prend vraiment pour des canards !!!!!
- InvitéInvité
Re: Le Gaz de Brown, une eau qui devient combustible !
2009-07-08, 6:23 pm
J'en avais déjà entendu parler ...
Encore une histoire de fric, pour pas changer.
Encore une histoire de fric, pour pas changer.
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