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Koi1
Koi1
Modérateur Général
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La vérité sur Noël. Empty La vérité sur Noël.

2010-12-25, 10:28 am
Le poste sera composer de la Nativité, Père Noël, Bûche de Noël

Nativité:
Le mot nativité signifie «naissance». Il s'emploie pour désigner la naissance de personnalités éminentes et saintes, et, en pays chrétien, pour celle de Jésus-Christ. La naissance de sa mère, Marie, est habituellement appelée «Nativité de la Vierge Marie» (célébrée le 8 septembre), et celle de Jean-Baptiste, «Nativité de saint Jean-Baptiste» (célébrée le 24 juin).

Le mot sans majuscule désigne précisément une représentation de ces naissances : depuis le haut Moyen Âge, celles-ci, objet d'une fête liturgique, ont été le sujet de nombreuses représentations artistiques sous forme de peintures, sculptures ou vitraux.

Selon l'évangile de saint Luc, Joseph accompagné de son épouse Marie, qui était sur le point d'accoucher, étaient venus à Bethléem afin de s'y faire recenser. N'ayant pas trouver de place à l'auberge, ils s'installèrent dans une étable, dans laquelle Jésus serait né. Marie y plaça son bébé dans une crèche (mangeoire à bestiaux). La fête du Jour de la Nativité est aussi appelée plus couramment Noël.

«En ces jours-là, parut un édit de l'empereur Auguste, ordonnant de recenser toute la terre — ce premier recensement eut lieu lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie. — Et chacun allait se faire inscrire dans sa ville d'origine. Joseph, lui aussi, quitta la ville de Nazareth en Galilée, pour monter en Judée, à la ville de David appelée Bethléem, car il était de la maison et de la descendance de David. Il venait se faire inscrire avec Marie, son épouse, qui était enceinte. Or, pendant qu'ils étaient là, arrivèrent les jours où elle devait enfanter. Et elle mit au monde son fils premier-né ; elle l'emmaillota et le coucha dans une mangeoire, car il n'y avait pas de place pour eux dans la salle commune.»

— Luc 2,1-7

La naissance de Jésus est célébrée par les chrétiens d'Orient et d'Occident le 25 décembre. Certaines Églises orthodoxes (celles de Jérusalem, de Russie, de Serbie et le Mont-Athos) utilisent le calendrier julien: pour elles, le 25 décembre tombe actuellement le 7 janvier.

Aucun texte dans les évangiles ne précise la période de l'année où a eu lieu cet événement. C'est le pape Libère qui décide, en 354, que Noël sera fêté le 25 décembre et qui codifie les premières célébrations pour pouvoir assimiler les fêtes populaires et païennes, célébrées autour du solstice d'hiver. Cette nouvelle date est rapidement adoptée en Orient (un sermon de saint Jean Chrysostome l'atteste) et, depuis la fin du IVe siècle, elle supplante la date antique du 6 janvier.

Seule l'Église arménienne a conservé l'usage ancien de fêter ensemble, le 6 janvier, à la fois la Nativité, l'Adoration des mages et le Baptême du Christ. Le 6 janvier, les Églises d'Orient fêtent aujourd'hui le baptême du Christ et les Occidentaux l'Adoration des mages, événements liés à l'avènement du Christ dans le monde.

La première Anno Domini est traditionnellement considérée comme l'année qui a suivi la Nativité, c'est la première année de l'ère chrétienne dans le calendrier grégorien. C'est la circoncision du Christ (fêtée le 1er janvier) qui marque le début de cette année.

La ont vois vraiment les valeurs de respect des autres peuples et cultes qu'à l'église catholique. La fête que vous fait est une fête celtique du solstice d'hiver appeler «Dumannios» qui se fête pendant 12 jours.

Père Noël:

Le Père Noël est un personnage légendaire et mythique lié à la fête de Noël. Bien que la tradition du Père Noël ait des origines en Europe du Nord, il est popularisé aux États-Unis au XIXe siècle. Le terme «Père Noël» apparaît plus tardivement en France, au début du Xxe siècle. Qu'il soit appelé Father Christmas ou Santa Claus en anglais, Weihnachtsmann en allemand, ou Père Noël, sa fonction principale est de distribuer des cadeaux aux enfants dans les maisons pendant la nuit de Noël qui a lieu chaque année du 24 au 25 décembre.

Le Père Noël est l'équivalent "français" du Santa Claus américain dont le nom est lui-même déformation du Sinter Klaas (Saint Nicolas) néerlandais. Il est aussi largement inspiré de Julenisse, un lutin nordique qui apporte des cadeaux, à la fête du milieu de l'hiver, la Midtvintersblot, ainsi que du Dieu Celte Gargan, (qui inspira le Gargantua de Rabelais) et du Dieu Viking Odin, (une autres branche du peuple celte) qui descendait sur terre pour offrir des cadeaux aux enfants scandinaves. De Julenisse, le Père Noël a gardé la barbe blanche, le bonnet et les vêtements en fourrure rouge.

Tien tien, encore du culte celtique qui à tété détourner?

Même si le mythe peut varier fortement d'une région à l'autre, notamment à cause du climat du 25 décembre qui peut aller du début de l'hiver dans l'hémisphère nord au début de l'été dans l'hémisphère sud, on l'imagine généralement comme un gros bonhomme avec une longue barbe blanche, habillé de vêtements chauds de couleur rouge avec un liseré de fourrure blanche ; des lutins l'aident à préparer les cadeaux. Il effectue la distribution à bord d'un traîneau volant tiré par des rennes (ou sur une planche de surf en Australie).

Il entre dans les maisons par la cheminée et dépose les cadeaux dans des chaussures disposées autour du sapin de Noël ou devant la cheminée (en France), dans des chaussettes prévues à cet effet accrochées à la cheminée (en Amérique du Nord et au Royaume-Uni), ou tout simplement sous le sapin. En Islande, il dépose un petit cadeau dans une chaussure que les enfants laissent sur le bord d'une fenêtre dès le début du mois de décembre.

Au Québec, les cadeaux au pied du sapin sont de mise, en plus des «bas de noël» disposés sur la cheminée dans lesquels on met les petites surprises.

En Europe, les rituels liés à l'approche de l'hiver sont ancestraux. Au Moyen Âge, l'Église catholique décide de remplacer les figures païennes par des saints. Par le nom de «Saint Nicolas», elle désigne Nicolas de Myre, un personnage qui vécut au IVe siècle au sud de la Turquie actuelle près d'Antalya, contemporain de la dernière vague de persécutions et du Concile de Nicée, moment important du christianisme. Au XIe siècle, sa dépouille est volée par des marchands italiens, mais ils laissent sur place un morceau de crâne et de mâchoire. Rapportée à Bari en Italie, la relique produirait des miracles. Selon la légende, il aurait ressuscité trois enfants trucidés par un horrible boucher. Il est alors présenté comme le saint protecteur des tout-petits. C'est pourquoi, en sa mémoire, le 6 décembre de chaque année, principalement dans les pays d'Europe du Nord et de l'Est (notamment dans l'Est de la "France" en Alsace, à Metz, à Nancy et à St-Nicolas-de-Port), la coutume veut qu'un personnage, habillé comme on imaginait que saint Nicolas l'était (grande barbe, crosse d'évêque, mitre, grand vêtement à capuche), va alors de maison en maison pour offrir des cadeaux aux enfants sages.

C'est au XVIe siècle, que la légende du saint s'enrichit avec le personnage du père Fouettard qui punit les enfants désobéissants (selon certaines traditions, celui-ci serait en fait le boucher de légende). Ce personnage disparaît lors du passage au mythe de Santa Claus.
En France, à partir du XIIe siècle également, le vieux qui présidait ce cortège, sera appelé «Noël».

À la Réforme, les protestants luthériens, qui rejettent le rôle patronal des saints, remplacent saint Nicolas par l'enfant Jésus (le Christkind allemand). C'est aux Pays-Bas que saint Nicolas se transforme après la Réforme en un personnage semi-laïc, Sinter Klaas par l´influence des huguenots. Étrangement, au Canada, les francophones catholiques utiliseront longtemps le personnage de l'enfant Jésus, alors que Santa Claus se chargera de distribuer des cadeaux aux petits anglophones. De même, bien avant la popularisation du père Noël, les catholiques "français" attribuaient au Petit Jésus les cadeaux de la nuit de Noël. Au XVIIIe siècle, les souverains allemands entament un processus de laïcisation : les figures chrétiennes sont remplacées par d'anciens symboles germaniques. C'est le retour du petit peuple des fées, des elfes et du vieil homme de Noël (le Weihnachtsmann) qui distribue en traîneau des sapins décorés de cadeaux.

En 1821, le livre A New-year's present, to the little ones from five to twelve (Un Cadeau pour le nouvel an aux petits de cinq à douze ans) est publié à New York. Il contient le poème anonyme Old Santeclaus qui décrit un vieil homme qui apporte des cadeaux aux enfants sur un traineau tiré par des rennes. Le 23 décembre 1823, le journal Sentinel de Troy, dans l'État de New-York, publie anonymement le poème A Visit from St Nicholas, qui sera attribué au pasteur américain Clement Clarke Moore dans ses œuvres complètes en 1844, dans lequel saint Nicolas est présenté comme un lutin sympathique, dodu et souriant, qui distribue des cadeaux dans les maisons et se déplace sur un traîneau volant tiré par huit rennes nommés Fougueux (Dasher), Danseur (Dancer), Fringant (Prancer), Rusé (Vixen), Comète (Comet), Cupidon (Cupid), Tonnerre (Donder) et Éclair (Blitzen). Ce poème a joué un rôle très important dans l'élaboration du mythe actuel. Après le journal Sentinel en 1823, il fut repris les années suivantes par plusieurs quotidiens américains, puis traduit en plusieurs langues et diffusé dans le monde entier.

On a longtemps cru que la fête de saint Nicolas était réapparue à New York durant la guerre d'indépendance, en ravivant la mémoire de l'origine hollandaise de la ville, autrefois appelée Nouvelle-Amsterdam, mais cette thèse a été réfutée par Charles W. Jones qui affirma ne pas avoir retrouvé de documentation pour l'étayer. Howard G. Hageman, qui maintient l'existence d'une fête populaire de saint Nicolas chez les premiers colons hollandais de la vallée de l'Hudson en dépit de l'hostilité de la hiérarchie protestante, affirme cependant que cette tradition hollandaise de fêter saint Nicolas avait complètement disparu lorsque Washington Irving fonda la St. Nicholas Society of New York en 1835.

C'est vers 1850 que le passage de la célébration de la Saint-Nicolas à celle de Noël se fixe au Royaume-Uni, en lien avec Charles Dickens et ses «Livres de Noël».

En 1860, le journal new-yorkais Harper's Illustrated Weekly représente Santa Claus vêtu d'un costume orné de fourrure blanche et d'une large ceinture de cuir. Pendant près de 30 ans, Thomas Nast, illustrateur et caricaturiste du journal, illustra par des centaines de dessins tous les aspects de la légende de Santa Claus et donna au mythe ses principales caractéristiques visuelles: un petit bonhomme rond, vêtu de fourrure, la pipe au coin de la bouche comme un Hollandais (notamment dans un livre en couleur de 1866 intitulé Santa Klaus and his works où la couleur rouge de l'habit est établie, mais pas encore le blanc de la fourrure parfois de couleur sombre). C'est également Nast qui, dans un dessin de 1885, établit la résidence du Père Noël au pôle Nord. Cette idée fut reprise l'année suivante par l'écrivain George P. Webster.

L'idée selon laquelle le Père Noël aurait été dessiné par la compagnie Coca-Cola en 1931 est une légende urbaine. Une étude de la représentation du Père Noël dans les années précédentes montre en effet que l'aspect qu'on lui connait aujourd'hui était déjà répandu, y compris sa couleur rouge, utilisée dès 1866. Avant Coca-Cola, de nombreuses firmes avaient déjà utilisé son image dans des publicités, comme par exemple le fabricant de stylos Waterman en 1907, le manufacturier de pneumatiques Michelin en 1919 ou le fabricant de savon Colgate en 1920. Par contre, il est vraisemblable que Coca-Cola a largement contribué à fixer l'image actuelle.

En "France", les catholiques, qui depuis longtemps s'échangeaient des petits cadeaux le soir de Noël en l'honneur de la naissance du Christ, résistèrent longtemps au «Père Noël», patronyme qui désignera le personnage popularisé en France par les Américains à la fin de la Seconde Guerre mondiale, bien que celui-ci ait déjà été présent depuis quelques dizaines d'années.

Aujourd'hui, le Père Noël est également utilisé le 25 décembre, dans des pays n'ayant pas de tradition chrétienne, tels que la Chine, comme outil de vente et comme occasion de faire des cadeaux, de décorer la ville et de réunir la famille. La hotte du père Noël peut être un panier ou alors être une sorte de grand sac marron, dans lequel les cadeaux de tous les enfants doivent être entreposés.

Le lieu d'habitation du Père Noël est très controversé. Selon les Norvégiens il habite à Droeback, à 50 km au sud d'Oslo. Pour les Suédois, c'est à Gesunda, au nord-ouest de Stockholm, et pour les Danois au Groenland. Les Américains sont persuadés qu'il habite au pôle Nord, mais en 1927 les Finlandais ont décrété que le Père Noël ne pouvait pas y vivre, car il lui fallait nourrir ses rennes : sa résidence fut donc fixée en Laponie, au Korvatunturi puis, cette région étant un peu isolée, ils l'ont fait déménager près de la ville de Rovaniemi au Santa Claus Village. La Sibérie revendique également cet honneur, mais il y a sans doute confusion avec Ded Moroz, le cousin serbo-russe du père Noël qui est fêté le 7 janvier avec sa fille Sniégurotchka. Le Canada, pour sa part, prétend qu'il serait dans le grand-nord canadien, particulièrement dans les Territoires du Nord-Ouest. Pour les Québécois, il viendrait tout simplement du Québec, comme le mentionne la chanson populaire humoristique du temps des fêtes : Le Père Noël c't'un Québécois.

En 1953, Réal Rousseau et Jacques T. Melchers construisirent la résidence d'été du Père Noël à Val-David dans les Laurentides, au Québec. Le Père Noël y déménagea l'année-même et y arriva en hélicoptère. Il y revient à chaque été et a reçu près de 3 millions de visiteurs.

Dans le Pacifique, l'île Christmas se revendique également comme une résidence secondaire du père Noël. La Turquie, qui a gardé des reliques de saint Nicolas dans la très touristique région d'Antalya, est aussi de la partie.

Jusqu'au tournant du XXe siècle, le Père Noël n'a que huit rennes (Tornade, Danseur, Furie, Fringant, Comète, Cupidon, Éclair et Tonnerre) . Le neuvième, nommé Rudolph (Rodolphe en français), fut créé en 1939 par le poète Robert L. May dans un conte où le Père Noël doit affronter des conditions météorologiques si mauvaises qu'il risque d'être en retard dans sa livraison de cadeaux. Dans cette histoire, il réussit à les distribuer grâce au nez lumineux de Rudolph qui l'orientait dans la tempête.

En 2001 est sorti un film d'animation anglais avec des personnages en pâte à modeler dont le héros est Robbie le renne qui rêve de devenir un membre de l'attelage du Père Noël comme son père. Dans nombre de pays, une lettre envoyée au Père Noël (quelle que soit l'adresse inscrite: Pôle Nord, Laponie ou autre) sera traitée par le service des postes qui répond aux jeunes expéditeurs.

H0H 0H0 est un code postal utilisé par Postes Canada pour acheminer le million de lettres annuel destinées au Père Noël au pôle Nord. En 1974, le personnel de Postes Canada à Montréal recevait une quantité considérable de lettres adressées au Père Noël et ces lettres étaient traitées comme «indistribuables». Comme les employés ne voulaient pas que les expéditeurs, pour la plupart des enfants, soient déçus par l'absence de réponse, ils se mirent à répondre eux-mêmes. La quantité de courrier adressé au Père Noël a augmenté chaque année, au point où Postes Canada décida de mettre en place un programme officiel de réponse aux lettres adressées au Père Noël, en 1983. Environ un million de lettres pour le Père Noël sont reçues chaque année, dont certaines provenant d'autres pays que le Canada. Chaque expéditeur recevra une réponse dans la langue qu'il a utilisée pour écrire au Père Noël.

Postes Canada a mis en place une adresse spéciale pour le Père Noël, avec son code postal dédié: «Père Noël. Pôle Nord H0H 0H0. CANADA. Le code postal «H0H 0H0» a été choisi en ressemblance au rire caractéristique du Père Noël: «Ho ! Ho ! Ho!».

En "France", ce type de service fut créé par le Ministre des PTT, Jacques Marette en 1962, au sein du service clientèle du centre de tri de la poste à Libourne (le seul qui soit autorisé à ouvrir le courrier). Ce courrier est donc ouvert pour retrouver l'adresse de l'expéditeur et lui envoyer gratuitement une carte-réponse.

Cependant, la première «Secrétaire du Père Noël» qui rédigea ainsi la première réponse par l'entremise des PTT, fut en réalité la propre sœur du ministre qui n'était autre que la célèbre pédiatre et psychanalyste Françoise Dolto.

Cette opération, plébiscitée par les enfants et leurs parents, connaît un succès grandissant: le courrier reçu par le Père Noël a plus que doublé en dix ans. En 2007, le Père Noël a reçu plus de 1 600 000 courriers, dont 1 430 000 lettres et 181 200 courriels (via le portail Internet du groupe La Poste et le site du Père Noël de La Poste). Au Québec on désigne parfois le sac du père Noël par le terme de «poche».

Bûche de Noël:
En "France", en Belgique, au Québec, au Vietnam, au Liban, et généralement dans les pays francophones, le repas de Noël se termine en dégustant la bûche de Noël: cette tradition culinaire reproduit, en fait, un autre rite lié à la célébration du solstice d'hiver (des Celtes).

Depuis plusieurs siècles, en effet, on a pour habitude, lors de la veillée de Noël, de faire brûler dans l'âtre une très grosse bûche qui doit se consumer très lentement ; l'idéal étant qu'elle puisse durer pendant les douze jours du cycle. Il est choisi, de préférence, un tronc d'arbre fruitier censé garantir une bonne récolte pour l'année suivante (se rites est un ride druidique). Lors de l'allumage, la bûche est bénie à l'aide d'une branche de buis, ou de laurier, conservée depuis la fête des Rameaux (ça c'est des rites catholiques pour plagier les rites druidique et les prendre comme fessent partie crétine). Lors de sa combustion, la bûche est, dans certaines régions, arrosée de vin afin d'assurer une bonne vendange, ou de sel pour se protéger des sorcières (encore des superstition chrétienne pour manipuler les personnes). On conserve souvent les tisons afin de préserver la maison de la foudre. On conservait aussi toute l'année du charbon qu'on faisait entrer dans la composition de plusieurs remèdes.

«Cachafio, Bouto Fio»
On disait en patois en l'allumant dans certaines régions : «Cache le feu (ancien), allume le feu (nouveau); Dieu nous comble d'allégresse». Le plus ancien de la famille arrosait alors le bois, soit de lait, soit de miel, en mémoire des délices d'Eden, soit de vin, en souvenir de la vigne cultivée par Noé, lors de la rénovation du monde. (le lait et le miel sont des ingrédient utiliser par les druides lors de cérémonie, qui comme toujours sont plagier par l'église catholique). A Marseille, en portant la bûche de Noël, on ne cessait de crier en patois: «Noël vient, tout bien vient». Ensuite le chef de la famille, ou, en son absence, le plus âgé, s'avançant vers la bûche pour la bénir, y versait du vin en invoquant la Sainte-Trinité, en disant : «Au nom du Père et du Fils, et du Sant-Esprit», et il y mettait le feu. En Bourgogne, le père de famille ordonnait à un enfant d'aller en quelque coin de la chambre prier Dieu que la souche donne des bonbons. Pendant ce temps-là on mettait au bas de chaque bout de la bûche de petits paquets de sucreries, fruits confits, noix que ces enfants venaient recueillir en croyant de bonne foi que la souche les avait donnés. Le vigneron qui n'avait pas de quoi offrir des sucreries aux enfants y mettait dessous des pruneaux et des marrons.

On appelait cette énorme souche tréfeu, tréfouet du latin tres foci, «trois feux», car elle devait brûler trois jours durant, et encore Coque de Noël (Choque en Picard). Le gâteau en forme de bûche de Noël portait encore parfois au début du XXe siècle le nom de «coquille» ou petite bûche, en patois, le cogneù. En Provençal la bûche du feu portait le nom de chalendon ou calegneaou, cacho fuech , cachafio, calendaou, et autres noms suivant les régions , Souc de Nadal (en Languedoc), traditionnellement le bois d'un arbre fruitier. En Limousin, Cosso de Nadau; Tisou de Nado.

La disparition des grands âtres met fin à la coutume des bûches qui y étaient brûlées: la date de naissance du dessert qui les a remplacées reste inconnue. Certains évoquent la création d'un pâtissier en 1945 mais le gâteau roulé de Noël est déjà traditionnel, tout du moins dans la région Poitou-Charentes, depuis le XIXe siècle.

La tradition veut qu'une bûche de Noël soit réalisée à base de crème au beurre, mais depuis plusieurs années certains la préfèrent glacée.

Les parfums principaux d'une bûche de Noël sont: vanille, praliné, liqueur de Grand Marnier, café, chocolat et fraise.

La bûche de Noël, glacée ou non, doit absolument être décorée d'attributs divers (Père Noël, hache, scie, champignons, lutins etc.) en sucre ou en plastique.

Comme ont peut le voir pour la bûche de «noël», la bûches des cérémonies druidique à était plagier et déformer par les rites crétien tout le long du temps.

En une phrase, il n'y a pas que aux enfants que l'ont ment en ces jours.
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