la carpe koi
2008-05-28, 4:34 pm
un peu d'histoire
Le berceau des Koï au Japon est situé dans la région de Niigata (photo ci-dessous) et remonte en 200 avant JC. Il s’agit d’une région montagneuse, recouverte de neige 2 à 3 mois par an. Les carpes étaient élevées pour l’alimentation des habitants. Pour passer l’hiver, elles étaient rentrées dans des « bassins » intérieurs.
Au début du XIXème siècle, les éleveurs ont commencé à sélectionner les mutations de couleur qui sont apparues sur certaines carpes. Au cours du XXème siècle, le commerce des variétés colorées et sélectionnées s’est développé fortement.
Il existe un grand nombre de types classiques de koi. A chaque couleur, chaque motif, correspond une dénomination japonaise. La disposition des écailles permet de répartir les Koï en trois sous-catégories :
Koï : entièrement recouvert d’écailles
Koï cuir ou Doitsu (croisement avec des carpes allemandes) : écailles présentes uniquement sur la ligne latérale .
Koï Ginrin : le corps est recouvert d’écailles présentant des facettes, donnant un aspect lumineux au poisson.
Les Koï unicolores (OGON) : blanc (Platinum ogon), jaune (Yamabuki ogon), orange (Orenji ogon)
Les Koï bicolores : marques rouges sur fond blanc (KOHAKU), tache ronde sur la tête (Tancho kohaku) symbolise le soleil levant, représentation du drapeau japonais. Fond noir ponctué de marques de couleur (UTSURI) : blanc (Shiro utsuri), rouge (Hi utsuri), jaunes (Ki utsuri).
Les Koï tricolores : marques rouges et noires sur fond blanc (TAISHO SANKE), marques rouges et blanches sur fond noir (SHOWA SANSHOKU) de façon générale.
Ces sélections sont à l’origine, chaque année au Japon, de nombreuses manifestations, expositions de grands concours de koi. Les prix varient selon la catégorie, la taille et la qualité des couleurs du koi.
Il existe de nombreuses qualités de Koï, les prix chez les vendeurs sont établis en fonction : de la provenance (Japon, Israël, Malaisie, Europe… ), de la taille du poisson, de la beauté des couleurs et de la forme du poisson. Les critères des éleveurs japonais sont les suivants : very high quality, high quality, standard. En France, on rencontre souvent une pseudo-classification avec des lettres de type AA, A, B… pas toujours très claire dans le commerce et mélangeant souvent les provenances, rendant ainsi confus le choix pour un néophyte.
Le Koï est un poisson rustique qui demande peu d’entretien s’il est dans de très bonnes conditions sanitaires (ce poisson nécessite une eau bien filtrée et oxygénée : jet, cascade…). Il peut vivre des dizaines d’années (entre 35 et 40 ans en France) et mesurer jusqu’à 1 m (au Japon, exceptionnel).
Pour les puristes les bassins à Koï sont réalisés sans plantation, les poissons devant être présentés de façon à ce que seul leur forme et leurs couleurs soient mises en valeur. Afin de bien s’épanouir dans leur nouvel environnement le bassin devra avoir au minimum une dizaine de m³. Il est conseillé de compter un m³ d’eau par poisson adulte. La profondeur sera comprise entre 1 et 2 mètre. Dans un bassin de dimensions plus modestes, il est bien sur possible d’introduire des poissons, leur développement sera cependant moins important et l’équilibre biologique sera plus fragile.
Le métabolisme des poissons fonctionne à merveille lorsque la température de l’eau est aux alentours de 20 °C (température rencontrée dans leur pays d’origine : l’Asie centrale).
Un Koï atteint la maturité sexuelle entre 3 et 5 ans. On peut différencier un Koï (mature) plus facilement pendant la période de frais (de mai à juin selon les années). La forme du corps et de la région ventrale (femelle plus arrondie, mâle plus longiligne), permet de les distinguer, ainsi que l’apparition de petits tubercules blancs discrets sur la tête du mâle. Les Koï se reproduisent dans des herbiers en bords de bassin. Bien souvent, ils dévorent aussitôt les œufs pondus ce qui évite bien heureusement une surpopulation du bassin et tous les risques qui en découlent.
Le facteur de réussite dans l’élevage des Koï réside donc dans la conception d’un bassin assez profond, suffisamment grand en fonction du nombre de pensionnaires souhaités à terme, dans lequel circule une eau parfaitement équilibrée et oxygénée, dont la qualité reste le plus stable possible toute l’année. Ce n’est qu’à ces conditions que vous aurez la joie, pendant de nombreuses années, de pouvoir admirer les magnifiques couleurs de vos poissons, observer leur rythme de vie, leurs habitudes. Parfaitement confiant en l’homme qui le sélectionne depuis des décennies, le Koï est un poisson parfaitement familier, et vous pourrez, avec un peu de patience, le caresser et lui donner à manger dans la main.
Photo de félipe
Le Koï (Cyprinus carpio) :
Seigneurs du bassin, véritable institution chez les Japonais où ils sont associés aux divinités, ils symbolisent le courage, la longévité, le succès. Le Koï ou carpe Koï (le véritable nom étant NISHIKIGOI en japonais) est en fait issu de mutations chromatiques de notre carpe commune (également cyprinus carpio). Les carpes originaires des régions de l’Asie Centrale, ont transité par la Chine avant d’être introduites au Japon lors des invasions chinoises.
longueur maximale : 100 cm
L'eau:
ph: minimum:6.5 /optimal:7.5/8.5/ maximum:9.5
gh: minimum 10/optimal:15/20 / maximum:25
kh: minimum:6 /optimal:8/12 :maximun:15
Temperature: minimum 3° /maximum 28°
Alimentation :
omnivore (proies vivantes, aliments artificiels, végétaux)
Dimorphisme sexuel :
forme du corps plus arrondie, plus large pour la femelle. Maturité : 3/4 ans pour les femelles, plus tôt pour les mâles
Reproduction :
deux mâles pour une femelle (possibilité de reproduction artificielle).
Incubation des oeufs :
3 jours à 20 °C Le koi est un poisson à croissance rapide.
Sa nourriture devrait être composée idéalement de 30 à 40 % de protéines, 20 % d'hydrates de carbone (céréales), 9 % de végétaux et 1 % de minéraux. La consommation de nourriture dépend de la température de l'eau et est maximale en été. En dessous de 15 °C on réduit la teneur en protéïne (plus de céréales - germe de blé). En dessous de 8 °C on ne nourrit plus les poissons, leur métabolisme étant fortement réduit.
Caractéristiques anatomiques :
De nombreuses espèces de poissons ne possèdent pas d'estomac. On compte dans ce groupe les cyprinidés (carpes, poissons rouges...). L'intestin, le plus souvent long avec plusieurs anses intestinales faisant des boucles complexes, intervient alors dans la phase finale de la digestion et assure l'absorption des nutriments. Plus l'espèce est carnivore, plus l'intestin est court. En effet, le rapport « longueur de l'intestin/longueur de l'animal (RGL) » est un indicateur du régime alimentaire des poissons. De la même façon, une alimentation riche en glucides induit chez la carpe une augmentation de sa longueur intestinale.
La digestion de l'aliment et l'absorption des nutriments se fait tout au long de l'intestin. La surface de contact entre l'aliment et les entérocytes qui tapissent l'intestin est augmentée par les replis du tube digestif, et surtout par la présence de villosités, qui multiplient par 30 la surface d'absorption, et de microvillosités sur la partie apicale des entérocytes qui augmentent encore cette surface.
il apparaît qu'un événement ponctuel, comme la privation de nourriture en hiver, conduit à une diminution de la hauteur des microvillosités. On peut donc penser que la domestication conduit à une augmentation de la taille des microvillosités, donc à une meilleure absorption, chez des animaux disposant d'aliment ad libitum toute l'année et élevés à des températures optimales pour la croissance.
Composition du corps du poisson :
Espèce Eau (%) Lipides (%) Protéines (%)
Cyprinus carpio 81,6
2,1
16,0
La perception de la nourriture :
Les aliments-proies sont détectés à l’aide d’un système gustatif très sensible, fait de cellules sensorielles organisées dans des bourgeons du goût situés sur les barbillons, les lèvres (380/mm²), le palais et la cavité pharyngienne antérieure (820/mm²) ainsi que sur les branchiospines (325 à 625 mm²). Des tests réalisés par olfactométrie sur des extraits de vers oligochètes Tubifex démontrent la sensibilité de la carpe vis-à-vis de certains acides aminés (alanine, glycine, valine, méthionine, leucine, phénylalanine) qui jouent un rôle attractif et qui sont considérés comme des signaux chimiques attractants ou des stimulants alimentaires.
Les aliments sont saisis à l’aide de la bouche protractile, munie de 4 barbillons sensoriels (2 charnus sur la lèvre supérieure et un plus long à chaque commissure), qui permet une prospection du substrat (pénétration de la tête jusqu’à plus de 12 cm de profondeur) aidée par le mouvement de nage selon un axe corporel oblique par rapport au fond. Son activité de fouille continue des substrats vaseux induit une forte turbidité des eaux ce qui représente un aspect négatif pour le milieu. La carpe ne poursuit pas ses proies. La succion ou aspiration du matériel benthique est rapide (50 cm/s). Le matériel benthique est généralement combiné à des particules sédimentaires minérales (sable, gravier, limon…) et à des débris organiques, ce qui nécessite une sélection du matériel ingéré grâce à des mécanismes complexes et subtils. L'appareil bucco-pharyngé permet de séparer et de trier sélectivement la partie nutritive (particules alimentaires de taille supérieure à 500 µ) du reste non alimentaire. Les particules sont regroupées. Interviennent ensuite une trituration puis une mastication efficace par les dents pharyngiennes et enfin un tri au niveau des branchiospines et rejet du matériel non consommable (en particulier minéral) par les ouvertures operculaires.
fiche faite par colyne grace à passion bassin
Tancho Showa et Taisho Sanke
Le berceau des Koï au Japon est situé dans la région de Niigata (photo ci-dessous) et remonte en 200 avant JC. Il s’agit d’une région montagneuse, recouverte de neige 2 à 3 mois par an. Les carpes étaient élevées pour l’alimentation des habitants. Pour passer l’hiver, elles étaient rentrées dans des « bassins » intérieurs.
Au début du XIXème siècle, les éleveurs ont commencé à sélectionner les mutations de couleur qui sont apparues sur certaines carpes. Au cours du XXème siècle, le commerce des variétés colorées et sélectionnées s’est développé fortement.
Il existe un grand nombre de types classiques de koi. A chaque couleur, chaque motif, correspond une dénomination japonaise. La disposition des écailles permet de répartir les Koï en trois sous-catégories :
Koï : entièrement recouvert d’écailles
Koï cuir ou Doitsu (croisement avec des carpes allemandes) : écailles présentes uniquement sur la ligne latérale .
Koï Ginrin : le corps est recouvert d’écailles présentant des facettes, donnant un aspect lumineux au poisson.
Les Koï unicolores (OGON) : blanc (Platinum ogon), jaune (Yamabuki ogon), orange (Orenji ogon)
Les Koï bicolores : marques rouges sur fond blanc (KOHAKU), tache ronde sur la tête (Tancho kohaku) symbolise le soleil levant, représentation du drapeau japonais. Fond noir ponctué de marques de couleur (UTSURI) : blanc (Shiro utsuri), rouge (Hi utsuri), jaunes (Ki utsuri).
Les Koï tricolores : marques rouges et noires sur fond blanc (TAISHO SANKE), marques rouges et blanches sur fond noir (SHOWA SANSHOKU) de façon générale.
Ces sélections sont à l’origine, chaque année au Japon, de nombreuses manifestations, expositions de grands concours de koi. Les prix varient selon la catégorie, la taille et la qualité des couleurs du koi.
Il existe de nombreuses qualités de Koï, les prix chez les vendeurs sont établis en fonction : de la provenance (Japon, Israël, Malaisie, Europe… ), de la taille du poisson, de la beauté des couleurs et de la forme du poisson. Les critères des éleveurs japonais sont les suivants : very high quality, high quality, standard. En France, on rencontre souvent une pseudo-classification avec des lettres de type AA, A, B… pas toujours très claire dans le commerce et mélangeant souvent les provenances, rendant ainsi confus le choix pour un néophyte.
Le Koï est un poisson rustique qui demande peu d’entretien s’il est dans de très bonnes conditions sanitaires (ce poisson nécessite une eau bien filtrée et oxygénée : jet, cascade…). Il peut vivre des dizaines d’années (entre 35 et 40 ans en France) et mesurer jusqu’à 1 m (au Japon, exceptionnel).
Pour les puristes les bassins à Koï sont réalisés sans plantation, les poissons devant être présentés de façon à ce que seul leur forme et leurs couleurs soient mises en valeur. Afin de bien s’épanouir dans leur nouvel environnement le bassin devra avoir au minimum une dizaine de m³. Il est conseillé de compter un m³ d’eau par poisson adulte. La profondeur sera comprise entre 1 et 2 mètre. Dans un bassin de dimensions plus modestes, il est bien sur possible d’introduire des poissons, leur développement sera cependant moins important et l’équilibre biologique sera plus fragile.
Le métabolisme des poissons fonctionne à merveille lorsque la température de l’eau est aux alentours de 20 °C (température rencontrée dans leur pays d’origine : l’Asie centrale).
Un Koï atteint la maturité sexuelle entre 3 et 5 ans. On peut différencier un Koï (mature) plus facilement pendant la période de frais (de mai à juin selon les années). La forme du corps et de la région ventrale (femelle plus arrondie, mâle plus longiligne), permet de les distinguer, ainsi que l’apparition de petits tubercules blancs discrets sur la tête du mâle. Les Koï se reproduisent dans des herbiers en bords de bassin. Bien souvent, ils dévorent aussitôt les œufs pondus ce qui évite bien heureusement une surpopulation du bassin et tous les risques qui en découlent.
Le facteur de réussite dans l’élevage des Koï réside donc dans la conception d’un bassin assez profond, suffisamment grand en fonction du nombre de pensionnaires souhaités à terme, dans lequel circule une eau parfaitement équilibrée et oxygénée, dont la qualité reste le plus stable possible toute l’année. Ce n’est qu’à ces conditions que vous aurez la joie, pendant de nombreuses années, de pouvoir admirer les magnifiques couleurs de vos poissons, observer leur rythme de vie, leurs habitudes. Parfaitement confiant en l’homme qui le sélectionne depuis des décennies, le Koï est un poisson parfaitement familier, et vous pourrez, avec un peu de patience, le caresser et lui donner à manger dans la main.
Photo de félipe
Le Koï (Cyprinus carpio) :
Seigneurs du bassin, véritable institution chez les Japonais où ils sont associés aux divinités, ils symbolisent le courage, la longévité, le succès. Le Koï ou carpe Koï (le véritable nom étant NISHIKIGOI en japonais) est en fait issu de mutations chromatiques de notre carpe commune (également cyprinus carpio). Les carpes originaires des régions de l’Asie Centrale, ont transité par la Chine avant d’être introduites au Japon lors des invasions chinoises.
longueur maximale : 100 cm
L'eau:
ph: minimum:6.5 /optimal:7.5/8.5/ maximum:9.5
gh: minimum 10/optimal:15/20 / maximum:25
kh: minimum:6 /optimal:8/12 :maximun:15
Temperature: minimum 3° /maximum 28°
Alimentation :
omnivore (proies vivantes, aliments artificiels, végétaux)
Dimorphisme sexuel :
forme du corps plus arrondie, plus large pour la femelle. Maturité : 3/4 ans pour les femelles, plus tôt pour les mâles
Reproduction :
deux mâles pour une femelle (possibilité de reproduction artificielle).
Incubation des oeufs :
3 jours à 20 °C Le koi est un poisson à croissance rapide.
Sa nourriture devrait être composée idéalement de 30 à 40 % de protéines, 20 % d'hydrates de carbone (céréales), 9 % de végétaux et 1 % de minéraux. La consommation de nourriture dépend de la température de l'eau et est maximale en été. En dessous de 15 °C on réduit la teneur en protéïne (plus de céréales - germe de blé). En dessous de 8 °C on ne nourrit plus les poissons, leur métabolisme étant fortement réduit.
Caractéristiques anatomiques :
De nombreuses espèces de poissons ne possèdent pas d'estomac. On compte dans ce groupe les cyprinidés (carpes, poissons rouges...). L'intestin, le plus souvent long avec plusieurs anses intestinales faisant des boucles complexes, intervient alors dans la phase finale de la digestion et assure l'absorption des nutriments. Plus l'espèce est carnivore, plus l'intestin est court. En effet, le rapport « longueur de l'intestin/longueur de l'animal (RGL) » est un indicateur du régime alimentaire des poissons. De la même façon, une alimentation riche en glucides induit chez la carpe une augmentation de sa longueur intestinale.
La digestion de l'aliment et l'absorption des nutriments se fait tout au long de l'intestin. La surface de contact entre l'aliment et les entérocytes qui tapissent l'intestin est augmentée par les replis du tube digestif, et surtout par la présence de villosités, qui multiplient par 30 la surface d'absorption, et de microvillosités sur la partie apicale des entérocytes qui augmentent encore cette surface.
il apparaît qu'un événement ponctuel, comme la privation de nourriture en hiver, conduit à une diminution de la hauteur des microvillosités. On peut donc penser que la domestication conduit à une augmentation de la taille des microvillosités, donc à une meilleure absorption, chez des animaux disposant d'aliment ad libitum toute l'année et élevés à des températures optimales pour la croissance.
Composition du corps du poisson :
Espèce Eau (%) Lipides (%) Protéines (%)
Cyprinus carpio 81,6
2,1
16,0
La perception de la nourriture :
Les aliments-proies sont détectés à l’aide d’un système gustatif très sensible, fait de cellules sensorielles organisées dans des bourgeons du goût situés sur les barbillons, les lèvres (380/mm²), le palais et la cavité pharyngienne antérieure (820/mm²) ainsi que sur les branchiospines (325 à 625 mm²). Des tests réalisés par olfactométrie sur des extraits de vers oligochètes Tubifex démontrent la sensibilité de la carpe vis-à-vis de certains acides aminés (alanine, glycine, valine, méthionine, leucine, phénylalanine) qui jouent un rôle attractif et qui sont considérés comme des signaux chimiques attractants ou des stimulants alimentaires.
Les aliments sont saisis à l’aide de la bouche protractile, munie de 4 barbillons sensoriels (2 charnus sur la lèvre supérieure et un plus long à chaque commissure), qui permet une prospection du substrat (pénétration de la tête jusqu’à plus de 12 cm de profondeur) aidée par le mouvement de nage selon un axe corporel oblique par rapport au fond. Son activité de fouille continue des substrats vaseux induit une forte turbidité des eaux ce qui représente un aspect négatif pour le milieu. La carpe ne poursuit pas ses proies. La succion ou aspiration du matériel benthique est rapide (50 cm/s). Le matériel benthique est généralement combiné à des particules sédimentaires minérales (sable, gravier, limon…) et à des débris organiques, ce qui nécessite une sélection du matériel ingéré grâce à des mécanismes complexes et subtils. L'appareil bucco-pharyngé permet de séparer et de trier sélectivement la partie nutritive (particules alimentaires de taille supérieure à 500 µ) du reste non alimentaire. Les particules sont regroupées. Interviennent ensuite une trituration puis une mastication efficace par les dents pharyngiennes et enfin un tri au niveau des branchiospines et rejet du matériel non consommable (en particulier minéral) par les ouvertures operculaires.
fiche faite par colyne grace à passion bassin
Information : les fiches des poissons peuvent être compléter par une experience du sujet , ou d'un commentaire concernant un manque d'information sur cette fiche
Re: la carpe koi
2008-07-21, 10:10 pm
Si vous avez eu ou vous en possedez un , partagez votre expérience avec vos amis , je vous en remercie d'avance
Laurent
Laurent
- Koi1Modérateur Général
- Date d'inscription : 19/01/2009
Nombre de messages : 2153
Re: la carpe koi
2009-06-23, 12:22 pm
dommage !!! beaucoup d'erreur dans cette fiche. sur le poisson lui même et sur les variétés.
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