- Koi1Modérateur Général
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Nishikigoi - (Koï)
2009-06-23, 6:24 pm
Nishikigoi - (Koï)
錦鯉 - (恋)
錦鯉 - (恋)
Classe:
Sous-classe:
Ordre:
Sous ordre:
Famille: Cyprinidae
Sous-famille: Cyprininae
Genre: Cyprinus
Espèce: carpio
Etymologie:
Descripteur:
Synonyme(s) ou nom commun(s): nom (sci), (angs), (fr.) (all.) : Cyprinus acuminiatus, C. coriaceus, C. elatus, C. macrolepidotus, C. regina, C. rex cyprinorum, C. specularis.
Origine:
Contrairement à une idée populaire, le Koï n’est pas poisson donc les origine sont japonaise ou chinoise. Il est apparu en Asie - dans les mers noires, d’Azov, Caspienne et d’Aral, où furent retrouvés les premiers écrits à cet animal.
Histoire:
À sa naissance, le fils aîné du grand philosophe chinois Confucius (551 - 449 avant J.C.) reçut un Koï des mains du Roi Shoko de Ro. Confucius nomma son fils d’après ce poisson parce qu’il symbolisait la force et la puissance: il était le seul poisson à pouvoir remonter les chutes du fleuve jaune. Les premières techniques d’élevage furent exposées dans un livre chinois publié en 553 après J.C. et intitulé "Yogyokyo". A l’époque, les livrées du Koï se limitaient au rouge et au gris. Comme il était exclusivement élevé pour la saveur de sa chair, les variations chromatiques et l’esthétique n’avaient aucune importance.
Le Koï fut introduit au Japon lors des invasions chinoises. Les premiers écrits indiquant l’élevage de ce poisson au japon remontent à 200 avant J.C., d’après toute vraisemblance à la cour impériale. L’histoire nous transporte au XVIIe siècle, lorsque les cultivateurs de riz de Yamakoshi go, un village de la région du Chūbu ou se trouve la préfecture de Niigata, qui se trouve sur les côtes Nord-Ouest du Japon continental, introduisent la carpe dans leur bassins d’irrigation afin de variée leurs régime alimentaire qui se composais principalement de riz. Se trouvent en montagne, se village est d’un accès difficile voir impossible en hiver, car les chutes de neige pouvait atteindre parfois une épaisseur de 6 mètres. A cause de cet isolement, les villageois de Yamakoshi go étaient tributaires des ressources naturelles. L’application avec lequel ils se consacraient à l’élevage des Koï fit que la région de Chūbu devint rapidement prospère.
Les premières mutations chromatiques furent observées entre 1804 & 1830. Elles concernaient plus particulièrement le Koï rouge, blanc et jaune clair -dont l’évolution donna le premier Kawarimono unicolore et suivie le Koï écaille de tortue. Toutes ces mutations se firent à partir de la carpe commune noire, connue sous le nom de Magoi. Vers 1830 - 1850, les croisements entre carpes rouges et blanches donnèrent naissance aux Koïs Kohaku. On a procédé à des croisements entre les premières variétés de Koï, telles que les Asagi, Higoi et Bekko. Vers 1880, de nombreuses variétés de Koï présentes de nos jours sont déjà établies. Les lignées furent obtenues à partir de variétés dont les normes de qualité avaient été préservées durant plusieurs générations.
Les premiers Asagi & Ki Utsuri furent produits en 1875. Très appréciées, ces variétés valurent rapidement leur pesant de monnaie sonante et trébuchante. L’élevage fut temporairement interdit, les autorités locales estiment qu’il s’apparentait davantage à la spéculation. Comme, les villageois ne d’aucun autre loisir ni moyen de subsistance, l’interdiction fut rapidement levée.
Pendant se temps la, une mutation était apparue en Europe central vers la fin du XVIIIe siècle. Cette mutation morphologique, dont l’impact allait être déterminant, concernait les écailles. Deux nouvelles variétés firent leur apparition : la variété "cuir" dont les écailles avaient disparu et la variété "miroir" dont la ligne latérale présentait une rangée de grandes écailles brillantes. Ces carpes, connus sous le nom de "Doitsu", furent d’abord élevés pour des buts culinaires, car elles étaient plus faciles à écailler que les variétés normales. C’est à partir des quelques exemplaires de Doitsu importés au Japon en 1904 que furet obtenus en 1910 les premiers Shusui (qui sont des Doitsu Asagi).
L’élevage du Koï d’ornement resta confiné dans la région de Chūbu jusqu’au début du XXe siècle. Les premiers Koï qui partir de leur magnifique isolement en 1914 lorsque Hikosaburo Hirasawa, le maire de Higashiyama (de nos jours, Yamakoshi Mura) envoya 27 Koïs à l’exposition de Tokyo pour sensibiliser l’opinion publique aux conditions de vie particulièrement dure dans la région du Chūbu,Niigata.
Ces Koï réussir à s’emparer du deuxième prix et huit d’entre eux fut offerts au fils de l’Empereur Tiasho. Cet événement marqua de début de la formidable épopée du Koï telle que nous le connaissons de nos jours.
Après quelques années florissantes, qui virent la stabilisation des variétés Kohaku et Sanke, la dépression économique de 1929 produisa un arrêt de cette industrie prospère. Jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale, plusieurs autres variétés, dont le Shiro Bekko et le Showa, furent établies avec succès, malgré une seconde crise provoquée, cette fois, par la disette. L’élevage du Koï continua à se développer à Niigata. Cette activité prospéra à mesure que la région devint plus accessible, grâce particulièrement a la voir ferrée Shin-etsu et de la route national 17.
Dans une certaine mesure, le développement du transport aérien explique l’essor de l’élevage du Koï au terme de la deuxième Guerre mondiale. Le fret aérien permit et la création d’un marché mondial. Les premiers Koï arrivèrent à San Francisco en 1938, à Hawaï en 1947, au Canada en 1949 et au Brésil en 1953. L’élevage des Koï s’est considérablement développé à l’extérieur du Japon, plus particulièrement depuis les années 80. De nombreux pays notamment la France, Belgique, Allemand, Israël assure la production destinée à leur marché intérieur.
Même si la qualité et variété des carpes élevés au Japon surpassent toujours celles des autres, on peut s’attendre à voir apparaître de nouvelles variétés issues du reste du monde.
Les Koï ont une place primordiale dans la culture japonaise, où ils sont un symbole d'amour et de virilité. Plus précisément, ils représentent la force et la persévérance, du fait qu'ils remontent à contre-courant les rivières et cascades. Selon la légende chinoise, les carpes du fleuve jaune, après avoir remonté le fleuve, s'envoleraient vers le ciel en se transformant en dragons. Cette légende serait à l'origine au Japon des koi-nobori (鯉幟, koi-nobori « bannière carpe »), des manches à air en forme de Koï utilisées lors de la journée des enfants le 5 mai, ayant jadis pour objet d'encourager les garçons à être forts et valeureux.
Taille maximale : cm pour ♂ et de cm pour ♀.
Poids : seulement pour grand poisson
Espérance de vie :
Température : 2°C à 28°C pH : 7,0 à 8,0 Dureté : 10 à 12° dGh.
Conductivité : 300 à 360 µS/cmAnatomie:
La morphologie:
Généralement chez les poissons, la partie antérieur du corps est plus large que la partie postérieure, ce qui minimise les turbulences quant il se déplace. Quant ont mais en place un cône dans un fluide en mouvement, en positionnent ça parti haut dans le sens du courant, des turbulences se manifestent à l’arrière de sa base. Quant la base est positionnée face au sens du courant, les turbulences sont beaucoup moins présentes, ce qui accroît le déplacement dans un milieu liquide. Le déplacement d’un Koï identique au second exemple.
L’anatomie externe:
L’anatomie externe du Koï est représenté par les écailles, les nageoires, les opercules, l’anus, les yeux, les narines, les barbes et la ligne latérales.
Les écailles:
Elles forment une armure légères et souple qui recouvre la totalité du corps. Chaque écaille est une plaque particulièrement fine, mais flexible, de nature osseuse. Les écailles placoïdes des ostéichtyens croissent par adjonction de couches concentriques. Elles recouvertes d'un tégument transparent et lisse augmentant leur caractère hydrodynamique. Elles sont disposées de façon à se recouvrir partiellement, dans la direction allant de la tête à la queue de l'animal. Cette disposition, analogue à celle utilisée pour les tuiles des toits, permet de réduire la traînée de l'animal lors de la nage. Suivant le profil des écailles, on détermine deux types de Koï: les Koï totalement recouverts d’écaille et les Doitsu dont les grandes écailles sont disposées de chaque côtes du corps, le long de la ligne latéral également de la basse des nageoires dorsale et caudale. Les écaille Doitsu sont entièrement enchâssées dans la peau (Je vous parlerais plus profondément des écailles Doitsu dans les poste de chaque variétés.
Les écailles, et par répercutions la totalité du corps, sont recouverts d’une couche de mucus. Une substance aux propriétés antiseptiques sécrétées par les cellules épidermiques. Le mucus attribue aux poissons cet aspect gluant significatif. Il s’emploie à lubrifier le corps pour améliorer hydrodynamie dans un milieu aqueuse.
Les nageoires:
le Koï possédé cinq types de nageoires : les nageoires dorsale, nageoire anale, nageoire caudale, nageoires pectorales et nageoires pelviennes.
Comme les poissons ont mobilité par ondulation du corps, les nageoires répondent à garder une stabilité dans l’eau. Déployé, les nageoires dorsale et anale sont utilisées à garder la direction et à réduire le roulis. Les nageoires pectorales et caudale réduits le tangage. Les petits ondulation des nageoires pectorales et pelviennes contribut à centrer la propulsion résultant de l’expiration de l’eau par les ouies, ce qui de faire au poisson avoir une position stationnaire.
L'opercule:
Cette grande plaque de nature osseuse protége les délicats branchies. Etant donné que les parties postérieurs et inférieure sont mobiles, l’opercule intervint comme une valve anti-retour qui s’assure que l’eau impur et désoxygénée puisse parti sans reflue dans les branchies.
L’opercule s’articule avec le squelette et l’os hyomandibulaire. Chez les poissons, cet os est une partie du suspensorium de la mâchoire inférieure.
L’anus:
Exactement devant la nageoire anale se trouve un interstice assez grand, l’anus, où s’arrête l’intestin, les oviductes ou les spermiductes. Il n’est en aucun cas le sujet d’un cloaque, objet que l’on désigne souvent pour décrire l’orifice commun des cavités intestinale, urinaire et génitale. Précédant l’anus se trouve un interstice plus réduit où s’arrête le conduits urinaire.
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Re: Nishikigoi - (Koï)
2009-06-24, 12:08 pm
Les yeux:
Le Koï a une vision relativement bonne. Le positionnement de ses yeux lui autorise d’avoir un champ de vision d’environ 360°. Se qui lui permet de voir au-dessus, sur les côtés aussi que devant et derrière lui. Cette vision périphérique est un atout très important pour ça survie pour appréhender l’arriver d’un prédateur quel qu’il sois, tout en se préoccupent de nourrir.
Les narines:
Elles sont quatre, se présentant sur chaque côtés de la tête. Une dissection transversale montre qu’elles communiquent par un tube en forme de U. L’eau arrive par la narine antérieure préalablement et ressort par la narine postérieure.
Le fond du tube est fait de ridules agencées en rosette. Ces ridules sont recouvertes de cellules olfactives, capables de détecter de très petites quantités de substances mélangées à l’eau, ainsi que sur une distance relativement longue. Quand il recherche de la nourriture, le Koï utilise principalement l’odorat que la vision.
Les barbillons:
Des paires de barbillons situés de chaque côté de la bouche: un petit barbillon a proximité de la lèvre supérieure et un grand a côté de la commissure des lèvres. Ces organes sensoriels sont mus par des muscles qui été utilisé auparavant par une partie des mâchoires et du palais. Recouvert de bourgeons gustatifs, ces barbillons permette de goûter tout élément avec le quel il serais en contacte. Comme leurs ancêtres, les Koï s’alimentent sur le sol où ils perçoivent la présence d’hexapodes, crustacés, de vers et de plantes aquatiques en utilisent leurs barbillons. Le Koï utilise d’abor leur odorat pour déterminer un lieu pour s’alimenter avant de trouver les particules de nourriture en utilisent les bourgeons gustatifs particulièrement sensibles qui recouvre les barbillons.
La ligne latérale:
Les flancs du poisson sont cheminé de derrière l’opercule jusqu’à pratiquement la nageoire caudal d’une rangée d’écailles perforé de petit pore relié par l’intermédiaire de petits tubes à un canal qui se trouve dans l’épiderme sous-jacent. Cet enchevêtrement de canaux et de tubes forme la ligne latérale. A la tête, elle se prolonge sous l’œil et vas vers le museau, où sont trajet est visible par de petits orifices distincts. Sur certains Koï Doitsu, la ligne latérale figure la ligne qui se prolonge de l’arrière de l’opercule pour finir à la queue. Comme les cellules sensorielles de la ligne latérale assument les mêmes fonctions que celles que l’on trouve dans les oreilles internes des mammifères, il n’est pas évidant de déterminer avec exactitude les impressions sensorielles qu’elles relaient au poisson.
L'anatomie interne:
l’anatomie interne est plus compliquer que l’anatomie externe, pas seulement du fait qu’il y à plus d’organes qui le compose, mais aussi du fait sont tous en interactions les un des autres.
Le squelette:
Le squelette est le principal élément de l’anatomie interne, dont nous ne occupons pas en général. Le Koï appartient au groupe des téléostéens, les poissons à squelette osseux. Le squelette endosse plusieurs rôles importants: il forme l’armature de protection et de soutien des organes et des tissus. Il assure aussi la mobilité, parce que il a une série d’articulations et permet des points de fixation à la musculature. Dérivés des quatre premières vertèbres de l’épine dorsale, les très petits osselets de Weber connectant la vessie natatoire à l’oreille interne. Les bruits qui se déplacent dans l’eau font vibrer la vessie natatoire. Les osselets amplifient ces oscillations avant de les transmettre aux cellules sensorielles de la vésicule de l’oreille interne. Equipés d’un appareil auditif aussi performent, il y a aucune équivoque que les Koï "entendent".
Les dents:
Comme dans les autres espèces composent la famille des Cyprinidés, les Koï arbore des mâchoires dépourvues de dents. Les seules dents ses trouves dans la gorge: ce sont des plaques broyeuses ou pharyngiennes.
La musculature:
La plus part de la musculature se compose de quatre parties musculaires, assemblées par paires de chaque côtés du corps. Ces parties sont subdivisées en segments musculaires en V. Les segments musculaires de la gorge et des arcs branchiaux sont tout à fait développés: ils contrôles les mouvements respiratoires. Les muscles maxillaires, qui englobent la plus grande partie des joues, permettent l’ouverture et fermeture des mâchoires. Les muscles des nageoires en paires ont une structure simple, même si les muscles qui actionnent les nageoires pectorales sont particulièrement développés.
Le coeur:
Placer sous et derrière les arcs branchiaux, le cœur est une pompe musculaire puissante faîte de quatre compartiments les un derrière les autres. Le premier est un simple espace à paroi peu épaisse et recouvert de muscles. Le deuxième, l’atrium, est aussi doté de fines parois, mais cette espace est expansible. Le troisième, est doté de épaisses parois, le ventricule, se contractent régulièrement et propulsent le sang. Le quatrième, est aussi doté de épaisses parois, et d’une valves anti-retour destinées à arrêter le sang de refluer dans les espaces précédents.
Le système circulatoire:
Le sang:
Les branchies:
Le sustème digestif:
La rate:
Le foie:
Le pancréas:
Les reins:
Les organes de reproduction:
La vessie natatoire:
Le cerveau:
La moelle épinière:
Le système nerveaux:
Nutrition:
Le mode alimentaire et la croissance:
Le mode alimentaire de croissance du Koï résulte de nombreux facteurs, comme celle de la température et de la qualité de l’eau, la densité de poissons dans le bassin et l’acquis génétique du sujet. Les Koï montre le plus grand intérêt à la nourriture quant la température est aux dessus des 15 °C. Qui induit que les poissons immatures prenne un développement plus important les mois d’été. Chez les Koï adultes, la croissance se réduit considérablement. Chez les sujets arrivés à maturité reproductive, la principale partie de l’alimentation sert à la reproduction. Néanmoins, à l’inverse de beaucoup d’autres vertébrés, les poissons grandissent durant toute leur vie. Bien soignés, les Koï continuent de se reproduire et de grandir jusqu’à un âge honorable, compte tenu de leur alimentation artificiel.
La nature de l’eau influence aussi la croissance, car les Koï perdent leur capacité à se nourrir lorsque l’environnement est déplorable. Une eau de qualité insuffisante affecte aussi le métabolisme du poisson et perturbe ses fonctions digestives.
La population de la pièce d’eau à aussi une incidence sur le grossissement des sujets. Habillement, dans une pièce d’eau peu peuplé, les Koï arrive à avoir la maturité reproductive rapidement malgré qu’il sois encore relativement petits (25 à 30 cm). Quant ils sont devenus matures, les grossissements se ralentissent. Même si les Koï d’une pièce d’eau profondément peuplé sont globalement plus grand (50 à 60 cm), lorsqu’ils arrivent à maturité sexuelle, la compétition alimentaire retarde leur développement. Quant l’alimentation se raréfie, la concurrence alimentaire stress certains sujets. A vous dorénavant de connaître la densité de population idéal de votre pièce d’eau, d’après les observations qu nous venons de voir.
L’acquis génétique a aussi son importance sur la taille que peuvent atteindre les Koï. La progéniture de parents de grande taille a traditionnellement tendance à être grands, pendant que des parents de petites tailles donneront naissance à une progéniture de petite taille. La même règle utilisé aux Koï. Il est montré de évidence d’une vue simpliste de l’activité génétique, en montrant l’influence notable de l’environnement sur le développement individuelle.
Le développement des poissons est essentiellement défini par la température de l’eau. Les poissons sont ectothermes, ce qui veut dire que la température du corps varie suivant la température du milieu, même si elle est normalement au dessus d’un degré. Quant la température baisse, la digestion et l’assimilation des aliments se réduit. Quant la température est en dessous de 10 °C, il est préconisé de alimenter les Koï à l’aide d’un régime à base de céréales très digestes qui ne reste pas longtemps dans le system digestif. Les nourritures riches en protéines, qui restent dans le tractus intestinal, peuvent produire de graves problèmes. Quant les bactéries de l’intestin, qui influe dans l’activité principale dans la décomposition des éléments moins digestes telles que la cellulose, peuvent devenir pathogènes si l’aliment reste trop longtemps dans l’intestin. Quant la température de l’eau augmente, les poissons ont l’envie de protéines pour se développer, réparer les blessures et se reproduire. En été, les Koï jouiront d’un régime à haute teneur énergétique composé de 35 à 40 % de protéines à base de farine de poissons.
Le Koï a une vision relativement bonne. Le positionnement de ses yeux lui autorise d’avoir un champ de vision d’environ 360°. Se qui lui permet de voir au-dessus, sur les côtés aussi que devant et derrière lui. Cette vision périphérique est un atout très important pour ça survie pour appréhender l’arriver d’un prédateur quel qu’il sois, tout en se préoccupent de nourrir.
Les narines:
Elles sont quatre, se présentant sur chaque côtés de la tête. Une dissection transversale montre qu’elles communiquent par un tube en forme de U. L’eau arrive par la narine antérieure préalablement et ressort par la narine postérieure.
Le fond du tube est fait de ridules agencées en rosette. Ces ridules sont recouvertes de cellules olfactives, capables de détecter de très petites quantités de substances mélangées à l’eau, ainsi que sur une distance relativement longue. Quand il recherche de la nourriture, le Koï utilise principalement l’odorat que la vision.
Les barbillons:
Des paires de barbillons situés de chaque côté de la bouche: un petit barbillon a proximité de la lèvre supérieure et un grand a côté de la commissure des lèvres. Ces organes sensoriels sont mus par des muscles qui été utilisé auparavant par une partie des mâchoires et du palais. Recouvert de bourgeons gustatifs, ces barbillons permette de goûter tout élément avec le quel il serais en contacte. Comme leurs ancêtres, les Koï s’alimentent sur le sol où ils perçoivent la présence d’hexapodes, crustacés, de vers et de plantes aquatiques en utilisent leurs barbillons. Le Koï utilise d’abor leur odorat pour déterminer un lieu pour s’alimenter avant de trouver les particules de nourriture en utilisent les bourgeons gustatifs particulièrement sensibles qui recouvre les barbillons.
La ligne latérale:
Les flancs du poisson sont cheminé de derrière l’opercule jusqu’à pratiquement la nageoire caudal d’une rangée d’écailles perforé de petit pore relié par l’intermédiaire de petits tubes à un canal qui se trouve dans l’épiderme sous-jacent. Cet enchevêtrement de canaux et de tubes forme la ligne latérale. A la tête, elle se prolonge sous l’œil et vas vers le museau, où sont trajet est visible par de petits orifices distincts. Sur certains Koï Doitsu, la ligne latérale figure la ligne qui se prolonge de l’arrière de l’opercule pour finir à la queue. Comme les cellules sensorielles de la ligne latérale assument les mêmes fonctions que celles que l’on trouve dans les oreilles internes des mammifères, il n’est pas évidant de déterminer avec exactitude les impressions sensorielles qu’elles relaient au poisson.
L'anatomie interne:
l’anatomie interne est plus compliquer que l’anatomie externe, pas seulement du fait qu’il y à plus d’organes qui le compose, mais aussi du fait sont tous en interactions les un des autres.
Le squelette:
Le squelette est le principal élément de l’anatomie interne, dont nous ne occupons pas en général. Le Koï appartient au groupe des téléostéens, les poissons à squelette osseux. Le squelette endosse plusieurs rôles importants: il forme l’armature de protection et de soutien des organes et des tissus. Il assure aussi la mobilité, parce que il a une série d’articulations et permet des points de fixation à la musculature. Dérivés des quatre premières vertèbres de l’épine dorsale, les très petits osselets de Weber connectant la vessie natatoire à l’oreille interne. Les bruits qui se déplacent dans l’eau font vibrer la vessie natatoire. Les osselets amplifient ces oscillations avant de les transmettre aux cellules sensorielles de la vésicule de l’oreille interne. Equipés d’un appareil auditif aussi performent, il y a aucune équivoque que les Koï "entendent".
Les dents:
Comme dans les autres espèces composent la famille des Cyprinidés, les Koï arbore des mâchoires dépourvues de dents. Les seules dents ses trouves dans la gorge: ce sont des plaques broyeuses ou pharyngiennes.
La musculature:
La plus part de la musculature se compose de quatre parties musculaires, assemblées par paires de chaque côtés du corps. Ces parties sont subdivisées en segments musculaires en V. Les segments musculaires de la gorge et des arcs branchiaux sont tout à fait développés: ils contrôles les mouvements respiratoires. Les muscles maxillaires, qui englobent la plus grande partie des joues, permettent l’ouverture et fermeture des mâchoires. Les muscles des nageoires en paires ont une structure simple, même si les muscles qui actionnent les nageoires pectorales sont particulièrement développés.
Le coeur:
Placer sous et derrière les arcs branchiaux, le cœur est une pompe musculaire puissante faîte de quatre compartiments les un derrière les autres. Le premier est un simple espace à paroi peu épaisse et recouvert de muscles. Le deuxième, l’atrium, est aussi doté de fines parois, mais cette espace est expansible. Le troisième, est doté de épaisses parois, le ventricule, se contractent régulièrement et propulsent le sang. Le quatrième, est aussi doté de épaisses parois, et d’une valves anti-retour destinées à arrêter le sang de refluer dans les espaces précédents.
Le système circulatoire:
Le sang:
Les branchies:
Le sustème digestif:
La rate:
Le foie:
Le pancréas:
Les reins:
Les organes de reproduction:
La vessie natatoire:
Le cerveau:
La moelle épinière:
Le système nerveaux:
Nutrition:
Le mode alimentaire et la croissance:
Le mode alimentaire de croissance du Koï résulte de nombreux facteurs, comme celle de la température et de la qualité de l’eau, la densité de poissons dans le bassin et l’acquis génétique du sujet. Les Koï montre le plus grand intérêt à la nourriture quant la température est aux dessus des 15 °C. Qui induit que les poissons immatures prenne un développement plus important les mois d’été. Chez les Koï adultes, la croissance se réduit considérablement. Chez les sujets arrivés à maturité reproductive, la principale partie de l’alimentation sert à la reproduction. Néanmoins, à l’inverse de beaucoup d’autres vertébrés, les poissons grandissent durant toute leur vie. Bien soignés, les Koï continuent de se reproduire et de grandir jusqu’à un âge honorable, compte tenu de leur alimentation artificiel.
La nature de l’eau influence aussi la croissance, car les Koï perdent leur capacité à se nourrir lorsque l’environnement est déplorable. Une eau de qualité insuffisante affecte aussi le métabolisme du poisson et perturbe ses fonctions digestives.
La population de la pièce d’eau à aussi une incidence sur le grossissement des sujets. Habillement, dans une pièce d’eau peu peuplé, les Koï arrive à avoir la maturité reproductive rapidement malgré qu’il sois encore relativement petits (25 à 30 cm). Quant ils sont devenus matures, les grossissements se ralentissent. Même si les Koï d’une pièce d’eau profondément peuplé sont globalement plus grand (50 à 60 cm), lorsqu’ils arrivent à maturité sexuelle, la compétition alimentaire retarde leur développement. Quant l’alimentation se raréfie, la concurrence alimentaire stress certains sujets. A vous dorénavant de connaître la densité de population idéal de votre pièce d’eau, d’après les observations qu nous venons de voir.
L’acquis génétique a aussi son importance sur la taille que peuvent atteindre les Koï. La progéniture de parents de grande taille a traditionnellement tendance à être grands, pendant que des parents de petites tailles donneront naissance à une progéniture de petite taille. La même règle utilisé aux Koï. Il est montré de évidence d’une vue simpliste de l’activité génétique, en montrant l’influence notable de l’environnement sur le développement individuelle.
Le développement des poissons est essentiellement défini par la température de l’eau. Les poissons sont ectothermes, ce qui veut dire que la température du corps varie suivant la température du milieu, même si elle est normalement au dessus d’un degré. Quant la température baisse, la digestion et l’assimilation des aliments se réduit. Quant la température est en dessous de 10 °C, il est préconisé de alimenter les Koï à l’aide d’un régime à base de céréales très digestes qui ne reste pas longtemps dans le system digestif. Les nourritures riches en protéines, qui restent dans le tractus intestinal, peuvent produire de graves problèmes. Quant les bactéries de l’intestin, qui influe dans l’activité principale dans la décomposition des éléments moins digestes telles que la cellulose, peuvent devenir pathogènes si l’aliment reste trop longtemps dans l’intestin. Quant la température de l’eau augmente, les poissons ont l’envie de protéines pour se développer, réparer les blessures et se reproduire. En été, les Koï jouiront d’un régime à haute teneur énergétique composé de 35 à 40 % de protéines à base de farine de poissons.
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Re: Nishikigoi - (Koï)
2009-06-27, 4:21 pm
Les nutriments:
Les contiennent différents éléments nutritifs, tels que protéines, lipides, glucides vitamines et les sels minéraux. Ces éléments sont primordial à la santé, à la croisse et à la reproduction des poissons. Nous allons voir plus en détaille les éléments au fur et à mesure.
Les protéines:
Sont faite d’acides aminés. La nourriture des Koï doit contenir treize acides aminés important, même si les protéines naturelles en contiennent vingt. Le régime parfait doit comporter des quantités suffisantes d’acides aminées essentiels et non essentiels pour que les Koï arrive à se développer, se revitaliser des blessures et des maladies, fabriquer des gamètes (spermatozoïdes ou ovules). La déficience en protéines ou acides aminées essentiels réduit le développement. Si elle continue, elle peut provoquer des déformations de la colonne vertébrale, qui peuvent malgré tout être attribué à une maladie.
Les lipides:
Désignent une source d’énergie pour les Koï. Ils favorisent essentiellement à fournir les acides gras, comme les triglycérides et phospholipides, qui sont les éléments importants des membranes cellulaires. Les Koï fait si l’ont peut dire la totalité des acides gras dont ils ont utilité, à l’exception des acides linoléiques et linoléniques, qui sont principalement importé par les aliment. Les acides linoléniques sont fondamentaux à leur développement.
A la différence des protéines qui sont fait d’acides aminées, les lipides sont fait d’acides gras, reliés les une aux autres par le glycérol. La déficience en acides gras se traduit par une détérioration des nageoires. Elle provoque aussi des problèmes hépatiques et cardiaques. De même que le point de fusion des lipides relativement bas, ils sont très assimilables. On les trouve dans le poisson, soja, l’huile de maïs et en quantité très importantes dans les germes de blé. Les acides gras s’oxydent au contact de l’air. Chez le Koï, le foie est l’organe chargé d’accumuler les lipides. L’ingestion d’aliment périmée ou rance peut aboutir a des maladies, voir le décès du Koï.
Les glucides ou hydrates de carbone:
Forme aussi une conséquente source d’aliment pour les poissons, qui les métabolisent toutefois moins facilement que les oiseaux ou les mammifères. Une surcharge de glucide compromet à la santé du Koï et produit la dégradation du foie. De la même façon, l’engrangement de quantités importantes de glycogène peut produire à des insuffisances cardiaques.
Les vitamines:
Sont primordial au métabolisme et au développement des Koï. Pendant la période de reproduction, les apports spécifiques en vitamines se trouvent augmenté. Les vitamines sont substances complexes, dont les désirs sont limités, mais une déficience peut produire des désorganisations cliniques.
Les vitamines se classifie en deux groupes: les vitamines liposolubles et les vitamines hydrosolubles. Les vitamines liposolubles se trouvent dans une grande diversité de formes. Elles se métabolisent toutes doucement et sont entreposées dans les graisses. Une quantité trop important de vitamine liposoluble peut produire une l’hypervitaminose, suivant le type de vitamine, mais peut produire des désorganisations cliniques.
Les vitamines hydrosolubles pénètre avec facilité et ne sont principalement pas éliminées.
Tous les aliments manufacturés ont une quantité plus que convenable de vitamines essentielles. Il ait des à présent profondément rare que des amateurs se trouve avec un problème qui à comme chose une avitaminoses.
Les sels minéraux:
Contribuent aussi aux fonctions métaboliques de bases. Ils accomplissent des activités qui leurs sont propres. C’est comme cela qu’ils aident à l’édification du squelette, à l’osmorégulation, à la fabrication et à l’équilibre des échanges gazeux dans le sang. Notre méconnaissance des déficiences en minéraux chez les poissons, apparemment parce qu’ils prennent dans l’eau la principal partie des élément minéraux qui leur est bon pour métabolisme. Normalement, les sels minéraux, qui sont apporté dans l’alimentation des Koï sous forme de cendres, sincère à une hauteur de 12% dans le régime alimentaire.
Un assortiment de nourritures approprier aux Koï
Les bâtonnets pour Koï
Les bâtonnets pour Koï ont des nutriments importants à un régime alimentaire équilibré et aussi bien pour apporter un éclat à leurs couleurs.
Les granulés raviveurs de coloration
Il faut donner ces granulés en été pour redonner leurs couleurs aux poissons. Il y a plusieurs tailles de granulés et ils doivent être adaptée la taille du Koï.
Les granulés de germes de blé
Le germe de blé est très riche en vitamines, il doit faire partie de la nourriture de base du Koï pendant la période du printemps et en automne.
Les bâtonnets universels
Généralement incorporais aux bâtonnets pour Koï, ils est préférable de l’opter quant la température de l’eau est supérieure à 10°C.
Les granulés hyperprotéinés
Ils garantis un développement optimal du Koï pendant l’été. Ils est préférable de l’opter quant la température de l’eau est supérieure à 20°C.
Les granulés riches en fibres
Beaucoup d’amateurs l’associent aux granulés raviveurs de couleurs pour diversifier l’alimentation des Koï en été.
La nourriture en flocons ou paillettes
Elles sont appropriées parfaitement aux petits Koï (moins de 15cm). Chaque coloration des flocons indique un élément nutritif différent.
Les crevettes
Elles sont un supplément très priser, mais relativement coûteux. Il est préférable d’utiliser des crevettes entières, leurs exosquelettes redonnent des couleurs aux Koï.
Le pain gris
Il est un supplément très priser, faire des boulettes avec la mie de pain proportionnées à la dimension des Koï les plus petits.
La laitue
Les Koï l’aime par-dessus tout. Les gros Koï défeuille facilement une laitue entière. Les plus petits Koï aime mieux les feuilles détachées.
Les exigences nutritionnels des Koï:
La forme et la qualité de l’aliment donnée aux Koï doit être adapté à leur taille. Les aliments manufacturés sont communément composés d’une base de céréales enrichie d’élément qui a pour but de raviver les couleurs ou à favoriser le transit intestinal. Opter pour une composition d’aliment adaptée à la taille de vos pensionnaires, notamment si votre pièce d’eau contient des Koï de très petite taille, mais aussi des Koï plus grand. Si les Koï de petits n’arrive pas à s’alimentés, ils vont nourrir de faim. Regarder toujours que les petits Koï mangent correctement.
La majorité des nourriture pour Koï se présentent sous deux formes: flottante ou non flottante. Du fait que les Koï se nourrissent sur le fond, il est judicieux que la nourriture soit également au fond. L’alimentation pour Koï est produite sous haute pression et liée à l’aide de matières grasses. Quand il fait froid, sais aliment ce désagrége plus doucement. Si vous utilisez de l’alimentation de ce type, vous serez frustrer de ne pas contempler vos Koï manger à la surface. Par bonheur, les Koï happe aussi la nourriture offerte à la surface. Il est même possible de leur enseigner la prise de nourriture dans le creux de la main. L’aliment flottant, expansé, a été mis au point pour cette application. Cuites à la vapeur, les granulés de nourriture de surface sont enrobés d’une pellicule extérieure qui ralenti l’absorption d’eau. Une fois que la pellicule est désagrégée, le granulé de nourritures coule.
L’aliment flottant également présente un autre avantage:il autorise de contrôlé aisément si les Koï prennent suffisamment de nourriture. La prise de nourriture de fond est difficilement vérifiable, sur tout quand l’eau est opaque.
La quantité d’aliment doit être prisse en 5 minutes. Dans les établissement d’élevages, les Koï de petite taille sont alimenté à raison de 5% de leur poids par jour, pour des Koï de 20cm et + sont alimenté à 2%. La valeur nutritionnelle de nourriture se calcule d’après le poids et non d’après le volume. En général, 1 Kilo d’aliment doit faire prendre 500 gr, voir 700gr à un Koï. Si sont environnement est idéal. En hiver, il faut donner une nourriture à base de germes de blé pour tenir en activité les fonctions vitales, parce que le développement du Koï est bloqué à basse température. Les germes de blé sont d’une manière générale une remarquable source de Vitamine E.
Ranimer les couleurs:
Les Koï doivent leurs séduction à la magnificence de leurs couleurs. Certains ajouts alimentaires contribuent à conserver, voir de ranimer la coloration naturelle des Koï. Le carotène accentue la pigmentation rouge. Il faut savoir que l’utilisation excessive de carotène peut faire passer les parties blanches en rose. L’algue Spirulina platensis ranime et fixe aussi les pigments rouges, mais restreint le changement du blanc en rouge. Cette algue très riche en protéine est prévue à l’alimentation humaine. En préambule, cette algue était donner pour sont taux nutritionnelle et pour ranimer la couleur. Maintenant, elles est prescrite pour un mois par an, particulièrement au mois de septembre, même si ont peut la prescrire tout le long de l’année, à la seul exigence que la température de l’eau soit supérieure à 10°C. Quelques amateurs préconisent la Spirulina pendant le mois avant la vente des Koï pour avoir une coloration parfaite. La coloration ne résulte pas seulement de l’alimentation. Les Koï en bonne santé présente généralement des couleurs des plus intenses que des sujets en mauvaises santés. Pour ranimer les couleurs des Koï, principalement la livrée du Koï blanc, les poissons doivent être maintenue dans un milieu favorable. Les pigments rouges et jaunes s’augmentent particulièrement dans un milieu riche en phytoplancton vert (algues unicellulaires). Etant donner qu’il est particulièrement difficile de voir dans sais eaux verts, il est souvent recommander de leur donner une alimentation pour ranimer la pigmentation rouge. La pigmentation noire mis en éclat par une eau dure, avec un pH entre 7,5 à 8,5.
La nourriture vivante:
Les Koï raffole de la nourriture vivante, comme les coques, les vers de terre et les crevettes. Les vers de terre, coques et crevettes peuvent être distribué toute l’année, ils sont riches en protéines. Avec sais aliments ont peut habituer à les nourries dans la mains. En été ont peut également leurs donnés des cocons de vers à soie imports d’Asie qui est aussi une bonne source de protéines. Ils faut comme même donner avec économie, si non ça leurs provoquent une sorte de diabète chez le Koï. Les vers de vase et les de moustiques noires et blancs sont très estimer part les petits Koï.
Les autres types de nourritures:
Les Koï prenne tout aliment qui tombe dans leur bassin, mais cela risque d’êtes dangereux pour eux. Pour être concret, si pain gris est utilisé comme extra, le pain blanc à des agents blanchissant qui ne sont néfastes aux Koï.
Autre aliments dangereux qui sont les petits pois, les haricots et le maïs, parce que l’estomac d’un Koï de dégrade pas pellicule externe des légumineuses.
Les Koï mangent aussi les lentilles d’eau et des plantes aquatiques, mais pas les algues filamenteuses.
Les contiennent différents éléments nutritifs, tels que protéines, lipides, glucides vitamines et les sels minéraux. Ces éléments sont primordial à la santé, à la croisse et à la reproduction des poissons. Nous allons voir plus en détaille les éléments au fur et à mesure.
Les protéines:
Sont faite d’acides aminés. La nourriture des Koï doit contenir treize acides aminés important, même si les protéines naturelles en contiennent vingt. Le régime parfait doit comporter des quantités suffisantes d’acides aminées essentiels et non essentiels pour que les Koï arrive à se développer, se revitaliser des blessures et des maladies, fabriquer des gamètes (spermatozoïdes ou ovules). La déficience en protéines ou acides aminées essentiels réduit le développement. Si elle continue, elle peut provoquer des déformations de la colonne vertébrale, qui peuvent malgré tout être attribué à une maladie.
Les lipides:
Désignent une source d’énergie pour les Koï. Ils favorisent essentiellement à fournir les acides gras, comme les triglycérides et phospholipides, qui sont les éléments importants des membranes cellulaires. Les Koï fait si l’ont peut dire la totalité des acides gras dont ils ont utilité, à l’exception des acides linoléiques et linoléniques, qui sont principalement importé par les aliment. Les acides linoléniques sont fondamentaux à leur développement.
A la différence des protéines qui sont fait d’acides aminées, les lipides sont fait d’acides gras, reliés les une aux autres par le glycérol. La déficience en acides gras se traduit par une détérioration des nageoires. Elle provoque aussi des problèmes hépatiques et cardiaques. De même que le point de fusion des lipides relativement bas, ils sont très assimilables. On les trouve dans le poisson, soja, l’huile de maïs et en quantité très importantes dans les germes de blé. Les acides gras s’oxydent au contact de l’air. Chez le Koï, le foie est l’organe chargé d’accumuler les lipides. L’ingestion d’aliment périmée ou rance peut aboutir a des maladies, voir le décès du Koï.
Les glucides ou hydrates de carbone:
Forme aussi une conséquente source d’aliment pour les poissons, qui les métabolisent toutefois moins facilement que les oiseaux ou les mammifères. Une surcharge de glucide compromet à la santé du Koï et produit la dégradation du foie. De la même façon, l’engrangement de quantités importantes de glycogène peut produire à des insuffisances cardiaques.
Les vitamines:
Sont primordial au métabolisme et au développement des Koï. Pendant la période de reproduction, les apports spécifiques en vitamines se trouvent augmenté. Les vitamines sont substances complexes, dont les désirs sont limités, mais une déficience peut produire des désorganisations cliniques.
Les vitamines se classifie en deux groupes: les vitamines liposolubles et les vitamines hydrosolubles. Les vitamines liposolubles se trouvent dans une grande diversité de formes. Elles se métabolisent toutes doucement et sont entreposées dans les graisses. Une quantité trop important de vitamine liposoluble peut produire une l’hypervitaminose, suivant le type de vitamine, mais peut produire des désorganisations cliniques.
Les vitamines hydrosolubles pénètre avec facilité et ne sont principalement pas éliminées.
Tous les aliments manufacturés ont une quantité plus que convenable de vitamines essentielles. Il ait des à présent profondément rare que des amateurs se trouve avec un problème qui à comme chose une avitaminoses.
Les sels minéraux:
Contribuent aussi aux fonctions métaboliques de bases. Ils accomplissent des activités qui leurs sont propres. C’est comme cela qu’ils aident à l’édification du squelette, à l’osmorégulation, à la fabrication et à l’équilibre des échanges gazeux dans le sang. Notre méconnaissance des déficiences en minéraux chez les poissons, apparemment parce qu’ils prennent dans l’eau la principal partie des élément minéraux qui leur est bon pour métabolisme. Normalement, les sels minéraux, qui sont apporté dans l’alimentation des Koï sous forme de cendres, sincère à une hauteur de 12% dans le régime alimentaire.
Un assortiment de nourritures approprier aux Koï
Les bâtonnets pour Koï
Les bâtonnets pour Koï ont des nutriments importants à un régime alimentaire équilibré et aussi bien pour apporter un éclat à leurs couleurs.
Les granulés raviveurs de coloration
Il faut donner ces granulés en été pour redonner leurs couleurs aux poissons. Il y a plusieurs tailles de granulés et ils doivent être adaptée la taille du Koï.
Les granulés de germes de blé
Le germe de blé est très riche en vitamines, il doit faire partie de la nourriture de base du Koï pendant la période du printemps et en automne.
Les bâtonnets universels
Généralement incorporais aux bâtonnets pour Koï, ils est préférable de l’opter quant la température de l’eau est supérieure à 10°C.
Les granulés hyperprotéinés
Ils garantis un développement optimal du Koï pendant l’été. Ils est préférable de l’opter quant la température de l’eau est supérieure à 20°C.
Les granulés riches en fibres
Beaucoup d’amateurs l’associent aux granulés raviveurs de couleurs pour diversifier l’alimentation des Koï en été.
La nourriture en flocons ou paillettes
Elles sont appropriées parfaitement aux petits Koï (moins de 15cm). Chaque coloration des flocons indique un élément nutritif différent.
Les crevettes
Elles sont un supplément très priser, mais relativement coûteux. Il est préférable d’utiliser des crevettes entières, leurs exosquelettes redonnent des couleurs aux Koï.
Le pain gris
Il est un supplément très priser, faire des boulettes avec la mie de pain proportionnées à la dimension des Koï les plus petits.
La laitue
Les Koï l’aime par-dessus tout. Les gros Koï défeuille facilement une laitue entière. Les plus petits Koï aime mieux les feuilles détachées.
Les exigences nutritionnels des Koï:
La forme et la qualité de l’aliment donnée aux Koï doit être adapté à leur taille. Les aliments manufacturés sont communément composés d’une base de céréales enrichie d’élément qui a pour but de raviver les couleurs ou à favoriser le transit intestinal. Opter pour une composition d’aliment adaptée à la taille de vos pensionnaires, notamment si votre pièce d’eau contient des Koï de très petite taille, mais aussi des Koï plus grand. Si les Koï de petits n’arrive pas à s’alimentés, ils vont nourrir de faim. Regarder toujours que les petits Koï mangent correctement.
La majorité des nourriture pour Koï se présentent sous deux formes: flottante ou non flottante. Du fait que les Koï se nourrissent sur le fond, il est judicieux que la nourriture soit également au fond. L’alimentation pour Koï est produite sous haute pression et liée à l’aide de matières grasses. Quand il fait froid, sais aliment ce désagrége plus doucement. Si vous utilisez de l’alimentation de ce type, vous serez frustrer de ne pas contempler vos Koï manger à la surface. Par bonheur, les Koï happe aussi la nourriture offerte à la surface. Il est même possible de leur enseigner la prise de nourriture dans le creux de la main. L’aliment flottant, expansé, a été mis au point pour cette application. Cuites à la vapeur, les granulés de nourriture de surface sont enrobés d’une pellicule extérieure qui ralenti l’absorption d’eau. Une fois que la pellicule est désagrégée, le granulé de nourritures coule.
L’aliment flottant également présente un autre avantage:il autorise de contrôlé aisément si les Koï prennent suffisamment de nourriture. La prise de nourriture de fond est difficilement vérifiable, sur tout quand l’eau est opaque.
La quantité d’aliment doit être prisse en 5 minutes. Dans les établissement d’élevages, les Koï de petite taille sont alimenté à raison de 5% de leur poids par jour, pour des Koï de 20cm et + sont alimenté à 2%. La valeur nutritionnelle de nourriture se calcule d’après le poids et non d’après le volume. En général, 1 Kilo d’aliment doit faire prendre 500 gr, voir 700gr à un Koï. Si sont environnement est idéal. En hiver, il faut donner une nourriture à base de germes de blé pour tenir en activité les fonctions vitales, parce que le développement du Koï est bloqué à basse température. Les germes de blé sont d’une manière générale une remarquable source de Vitamine E.
Ranimer les couleurs:
Les Koï doivent leurs séduction à la magnificence de leurs couleurs. Certains ajouts alimentaires contribuent à conserver, voir de ranimer la coloration naturelle des Koï. Le carotène accentue la pigmentation rouge. Il faut savoir que l’utilisation excessive de carotène peut faire passer les parties blanches en rose. L’algue Spirulina platensis ranime et fixe aussi les pigments rouges, mais restreint le changement du blanc en rouge. Cette algue très riche en protéine est prévue à l’alimentation humaine. En préambule, cette algue était donner pour sont taux nutritionnelle et pour ranimer la couleur. Maintenant, elles est prescrite pour un mois par an, particulièrement au mois de septembre, même si ont peut la prescrire tout le long de l’année, à la seul exigence que la température de l’eau soit supérieure à 10°C. Quelques amateurs préconisent la Spirulina pendant le mois avant la vente des Koï pour avoir une coloration parfaite. La coloration ne résulte pas seulement de l’alimentation. Les Koï en bonne santé présente généralement des couleurs des plus intenses que des sujets en mauvaises santés. Pour ranimer les couleurs des Koï, principalement la livrée du Koï blanc, les poissons doivent être maintenue dans un milieu favorable. Les pigments rouges et jaunes s’augmentent particulièrement dans un milieu riche en phytoplancton vert (algues unicellulaires). Etant donner qu’il est particulièrement difficile de voir dans sais eaux verts, il est souvent recommander de leur donner une alimentation pour ranimer la pigmentation rouge. La pigmentation noire mis en éclat par une eau dure, avec un pH entre 7,5 à 8,5.
La nourriture vivante:
Les Koï raffole de la nourriture vivante, comme les coques, les vers de terre et les crevettes. Les vers de terre, coques et crevettes peuvent être distribué toute l’année, ils sont riches en protéines. Avec sais aliments ont peut habituer à les nourries dans la mains. En été ont peut également leurs donnés des cocons de vers à soie imports d’Asie qui est aussi une bonne source de protéines. Ils faut comme même donner avec économie, si non ça leurs provoquent une sorte de diabète chez le Koï. Les vers de vase et les de moustiques noires et blancs sont très estimer part les petits Koï.
Les autres types de nourritures:
Les Koï prenne tout aliment qui tombe dans leur bassin, mais cela risque d’êtes dangereux pour eux. Pour être concret, si pain gris est utilisé comme extra, le pain blanc à des agents blanchissant qui ne sont néfastes aux Koï.
Autre aliments dangereux qui sont les petits pois, les haricots et le maïs, parce que l’estomac d’un Koï de dégrade pas pellicule externe des légumineuses.
Les Koï mangent aussi les lentilles d’eau et des plantes aquatiques, mais pas les algues filamenteuses.
- Koi1Modérateur Général
- Date d'inscription : 19/01/2009
Nombre de messages : 2153
Re: Nishikigoi - (Koï)
2009-07-02, 7:19 am
Conseil pour l'aquariophilie:
L’achat du Koï:
Les principaux pays de Koï sont de nos jours le Japon, Israël, Singapour, Europe et les Etats-Unies.
Le Japon est le lieu de naissance du Koï. Les poissons qui y sont produits sont de la meilleure qualité, tant du point de vue de la définition des couleurs que de la disponibilité et de la diversité des variétés. Si ont à l’envie de participer à des expositions, achetez des Koï japonais, même s’ils sont généralement plus chers que ceux des autres pays. Les en provenance des Europe, Etats-Unis et de Singapour sont d’une variété indéterminée. Leurs couleurs sont souvent peu distincts. En vieillissant, leur profil s’estompe. De plus, ils ont une certaine propension à l’obésité.
Israël produit de petits Koï exceptionnellement jolies, qui deviennent quelconques avec l’age. Depuis quelque temps, le nombre de Koï en provenance d’Israël semble augmenter de manière graduelle. La qualité devrait suivre.
photo d'un grossiste en Belgique
Quand acheter?:
Les Koï de la meilleure qualité sont importés du Japon en Novembre - Décembre. Deux raisons expliquent le choix de ce moment. D’une part, la récolte des bassins de croissance s’effectue au mois d’Octobre. D’autre part, comme la température de l’eau est plus basse, l’eau est plus oxygénée. A cette température le Koï sont moins actifs et moins exigeants quant à leur milieu. Ces deux éléments facilitent le transport et réduit les risques. Les Koï sont importés en Mars jusqu’en Mai, mais les individus de première qualité ne sont plus disponibles à la vente plus tard en raison qu’ils retournent dans les bassins de croissance jusqu’en Octobre. Les Koï "ordinaires" sont disponibles partout pendant toute l’année. Se que propose animalerie et jardinerie en France.
La plupart des bassinophiles remettent des poissons dans leur bassin au printemps, lorsque l’eau commence à se réchauffer et que les poissons redeviennent actifs. Il semblerait qu’une majorité d’amateurs ne possèdent pas de bassin intérieur où ils peuvent acclimater les Koï en provenance du Japon pendant les mois d’hiver. On conseillera d’acheter les Koï en début de saison afin qu’ils aient assez de temps pour s’acclimater avant les premier frimas de l’hiver.
photo d'un grossiste en Belgique
Où acheter?:
Quant ont sais à quel moment ont doit acheter les poissons et de quelle origine, ont doit choisir le lieu de vente. Visitez les installations d’un distributeur sérieux qui connaît son métier, à savoir les Koï et leur milieu (la, sais pas évidant, peut connaisse les noms des différentes variétés et le reste). Evitez, si possible, les jardineries, à moins qu’ils y à une équipe de vendeur compétant.
En arrivant chez le distributeur observez bien l’état de l’eau dans les bassins. Elle doit être filtré et parfaitement clair, pas seulement pour que l’ont puisse voir les Koï, mais aussi et surtout parce qu’ils évoluent dans une eau douteuse, ils sont à même de porter des maladies et infections. Il faut se rappeler également qu’une eau limpide n’est pas obligatoirement un gage de bonne qualité d’eau. Même si l’odeur de l’eau n’est pas une indication parfaite - il se peut l’animalier vienne de nettoyer les bouches d’aspiration - elle vous donnera une première idée. S’il y a une odeur de poisson ou que les Koï semblent stressés, ont passe sont chemin.
photo d'un grossiste en Belgique
Le choix du Koï:
Il faut bien prendre sont temps à regarder le Koï qui vous intéresse. Observez sont déplacement : des mouvements doivent être amples et fluides, jamais saccadés. Il faut qu’il s’intéresse à son environnement. Il faut surveillez plus particulièrement le mouvement des branchies, qui doit être lent et régulier des deux côtés, les opercules coller à son corps. Il faut évité les poissons dont les opercules sont décollés, qui donnent le sentiment de haleter ou qui viennent respire à l’approche de la surface. Recherchez l’existence de traces blanches, qui semblable aux moisissures du raisin, qui peuvent indiquer la présence de parasites Ichthyobodo (anciennement appeler Costia sp.) ou Trichodina sp. regardé également la présence d’écailles trouées ou redressées. Ce sont des symptômes de maladies fréquents mais par fois difficiles à soigner. Exempter les poissons aux yeux glauques, dont les nageoires présentent des traces de pourriture ou des protubérances de part et d’autre des opercules ou sur la tête. Si elles se rompent, elles laissent des trous dans les opercules, qui ont tu mal se cicatrisé et mette des mois voir des années à se fermé. Lorsque ont repère un poisson qui vous paraît en bonne santé, demandez au vendeur de le prendre à l’épuisette de sorte que vous puissiez l’examiner de plus près. Regarder comment il procède : le poisson peut être blessé suit à un geste maladroit. Le vendeur doit utiliser une épuisette peu profonde et encourager le poisson à venir dans sa direction. Idéalement, le vendeur ne doit pas sortir le poisson de l’eau. Mais, si vous demande de faire ça a un vendeur en France, il y beaucoup de chance qui vous prenne pour un fou.
Une fois que le poisson se trouve dans l’épuisette, regardé si le corps et les nageoires ne présentent pas de rougeurs. Elles peuvent indiquer que le poisson a été importé récemment ou révéler un problème interne ; regarder également la présence de parasites tels qu’Argulus sur les nageoires ou Lernaea dans les régions dorsal et caudale.
Même si ces parasites ne sont pas mortels, demandez quant même au vendeur de les enlever. Traite également votre propre pièce d’eau afin d’éviter tout contagion.
Demander au vendeur de vous faire une description objective (ça vas être difficile pour lui, pour la France), en soulignant les points positifs et les points négatifs du poisson que vous avez choisi et de vous donner le nom de la variété (ça aussi, difficile pour lui, pour la France). Comme cela vous savez maintenant comment acheter votre prochain ami. Ne vous laissez pas influencer par des réflexions vaniteuses. Considérez le poisson dans son ensemble et laissez-vous guider par le ressenti qu’il vous procure. Trop d’amateur passent leur temps à repérer les points négatifs de Koï qui ont vraiment tout pour plaire. Ecoutez l’avis du vendeur (si il est compétant), bien évidemment, mais ne craignez pas trop vite votre propre jugement.
Le transport des Koï:
Quant ont à choisi et examiné notre poisson, le vendeur le met dans une poche de transport. N’oubliez pas de revendiquer que vous avez une longue route à faire pour rentrer à votre domicile. Le vendeur doit prendre quelques précautions d’usage : il peut mettre le poisson dans une double ou triple poche de transport qu’il dépose ensuite dans une boîte en carton, par exemple, ou encore lorsqu’il fait très chaud, glisser une poche de glace entre le poche de transport et le carton. Normalement, la poche est remplie 1/3 d’eau et 2/3 d’oxygène. Il faut simplement être vigilant à ce que l’eau recouvre les branchies du Koï. L’oxygène est beaucoup plus important que l’eau, surtout pour des longs trajets ou lorsqu’il fait énormément chaud. Si votre habitation est loin, évitez d’acheter le poisson si le commerce n’est pas en mesure d’ajouter de l’oxygène dans les poches de transport, et ne pas confondre un remplissage du poche avec de l’air au lieu de l’oxygène.
Si vous achetez un Koï de grande taille pensé à le transporter dans une poche suffisamment grand pour qu’il n’ais pas de dommage sur sa queue ou ses nageoire. Les Koï de grandes dimensions se transportent en principe dans une double, ou une triple poches pour éviter les accidents et les fuites. En général, il est préférable de placer la poche dans un carton et de veiller à ce qu’il ne puisse pas glisser à l’intérieur de la boîte pour éviter tout traumatisme et tout stress inutile au Koï. Evité, dans la mesure du possible, d’exposer le poisson à un changement brutal de la température, de lumière vive, et au bruit pour ne pas le perturber de trop.
Il est probable qu’en transportant votre Koï dans votre véhicule. Evitez de placer la poche sur les genoux du passager, car la température du corps se transmet rapidement à l’eau ou autrement devant les pieds du passager avant, où l’air chaud risque de produire des résultats comparables. Le meilleur endroit pour transporter un poisson d’eau froid est dans le coffre du véhicule. Enroulez d’un plaide autour de la poche de transport de manière à éviter qu’il roule ou qu’il ne heurte un objet quelconque pointu ou à arête vive. A défaut, glisser le sac entre les siéges avant et la banquette arrière, à un emplacement où le passager arrière ne risque pas de le piétiner. Vous pouvez aussi réduire le stress du poisson en recouvrant la poche du plaide. Roulez à vitesse constante, et souple, évitez les bouches d’égout et autres nids de poule et les changement de direction rapide ainsi que les virage trop rapide, pour que le poisson ne puisse s’écrasé sur la paroi de la poche et de s’abîmer les nageoires.
A votre domicile, sortez le sac et laissez le flotter à la surface de l’eau ou dans un bac de quarantaine. Si la poche de transport est remplie d’oxygène, il n’y a pas d’urgence. En flottant à la surface, la poche prend progressivement la température du bac ou bassin. Si la température de la poche est sensiblement celle du bac ou bassin, ont peut enlever l’une des poches. Si la différence est supérieure à quelque °C, laissez les deux ou trois poches. Il est moins stressant pour un poisson de passer de froid à chaud que l’inverse. Que penserais vous si ont vous plongez dans un bain bien glacer par un temps de forte chaleur ? J’ai rappeler la manière de faire une acclimatation, car beaucoup de monde pense que les poissons d’eau froid sont increvables, ils ont droit aux mêmes intentions que les poissons exotiques.
La quarantaine:
Les nouvelles importations de Koï sont habituellement placés en quarantaine par l’importateur. Ces poissons ne sont pas nécessairement malades, mais ils ont surtout besoin de se reposer. Les Koï stressés sont plus sensibles aux maladies et aux parasites, de la même manière que humain dépressif ou ayant supporté un traumatisme arrive plus vite malades. Lorsque les Koï arrive dans leur pays d’adoption, le grossiste ou détaillant les plonge généralement dans un bain de sel avant de les laisser se reposer dans un bassin séparé ou un bassin de quarantaine auquel il a ajouté un antiseptique doux pour prévenir toute infection alors que les poissons sont en parfaite santé. Ils y séjournent communément durant une semaine. Les Koï vraiment stressés prolongent leur période : le repos et la récupération sont les meilleurs traitement. Si, durant cette durais, le grossiste ou détaillant constate la présence de parasites tels que Lernaea, il traite l’infestation avant de mêler les nouveau venues au reste du stock. D’innombrables amateurs refusent de placer leurs nouveaux poissons en quarantaine. Ils déclare que cet isolement aggrave le stress aux lieu de le soigner, dans l’acte où la mise en quarantaine suppose deux transfert successifs des poissons : en premier dans un bassin le traitement et ensuite dans le bassin définitif. Un autre argument de cette réticence est que les Koï sont des poissons grégaires qui supportent mal l’isolement.
Il est intéressent de faire remarquer maintenant que les effets du stress prenne parfois plusieurs semaines à se manifester et que pendant se temps l’incubation de certaines maladies peut durer quelques mois ais peut être quelques années. De nombreuses maladies des poissons peuvent avoir comme origine dans le passé : le pourrissement des nageoires peut resurgir trois semaines après que la pompe a été désactivé pendant plusieurs jours. En conclusion, même si certains amateurs revendiquent que la mise en quarantaine fait resurgir les symptômes des infections virales ou bactériennes potentielles avant que les poissons soient mélangés aux autres Koï, rien ne légitime la mise en quarantaine systématique de tous nouveaux arrivants.
Si vous optez de mettre vos nouveaux Koï en quarantaine, veillez à prendre un bassin ou un réservoir de traitement suffisamment spacieux.
Dans la plus part des cars, il est préférable de placer les poissons dans sont bassin définitif. Regarder discrètement les progrès et le comportement di ou des nouveaux arrivants pendant les six semaines qui suivent, et ce particulièrement pendant et tout de suite après les repas. Affin de vous assurez que les poissons ingéré toute la nourriture qu’ils prennent. D’innombrables amateurs trouvent que leurs nouveaux Koï boudent lorsqu’on les introduit dans la pièce d’eau : ils s’isolent de leurs compagnons, ne s’alimente pas ou avec difficulté ou se prosterne au fond du bassin. Ne pas s’affolé - certains sujet s’adapte mieux que d’autres au déplacement. Si un poisson a un comportement anormal, regardez le de plus près pendent sept à dix jours, en évitant de le manipulais. S’il ne s’intéresse pas davantage à son environnement, apporté lui un bain salé afin de éradiquer les parasites tels qu’Ichthyobodo et Trichodina, qui ont une prédilection à infester les animaux stressé. Avec se type de traitement sa devrait suffire, pour qu’il reprendre une santé.
Volume et profondeur du bassin conseillé:
10 M3 et 2,50 Mètres de profondeur (mini 1,20 m)
Densité de population:
1 poisson par 1 M3
L’achat du Koï:
Les principaux pays de Koï sont de nos jours le Japon, Israël, Singapour, Europe et les Etats-Unies.
Le Japon est le lieu de naissance du Koï. Les poissons qui y sont produits sont de la meilleure qualité, tant du point de vue de la définition des couleurs que de la disponibilité et de la diversité des variétés. Si ont à l’envie de participer à des expositions, achetez des Koï japonais, même s’ils sont généralement plus chers que ceux des autres pays. Les en provenance des Europe, Etats-Unis et de Singapour sont d’une variété indéterminée. Leurs couleurs sont souvent peu distincts. En vieillissant, leur profil s’estompe. De plus, ils ont une certaine propension à l’obésité.
Israël produit de petits Koï exceptionnellement jolies, qui deviennent quelconques avec l’age. Depuis quelque temps, le nombre de Koï en provenance d’Israël semble augmenter de manière graduelle. La qualité devrait suivre.
photo d'un grossiste en Belgique
Quand acheter?:
Les Koï de la meilleure qualité sont importés du Japon en Novembre - Décembre. Deux raisons expliquent le choix de ce moment. D’une part, la récolte des bassins de croissance s’effectue au mois d’Octobre. D’autre part, comme la température de l’eau est plus basse, l’eau est plus oxygénée. A cette température le Koï sont moins actifs et moins exigeants quant à leur milieu. Ces deux éléments facilitent le transport et réduit les risques. Les Koï sont importés en Mars jusqu’en Mai, mais les individus de première qualité ne sont plus disponibles à la vente plus tard en raison qu’ils retournent dans les bassins de croissance jusqu’en Octobre. Les Koï "ordinaires" sont disponibles partout pendant toute l’année. Se que propose animalerie et jardinerie en France.
La plupart des bassinophiles remettent des poissons dans leur bassin au printemps, lorsque l’eau commence à se réchauffer et que les poissons redeviennent actifs. Il semblerait qu’une majorité d’amateurs ne possèdent pas de bassin intérieur où ils peuvent acclimater les Koï en provenance du Japon pendant les mois d’hiver. On conseillera d’acheter les Koï en début de saison afin qu’ils aient assez de temps pour s’acclimater avant les premier frimas de l’hiver.
photo d'un grossiste en Belgique
Où acheter?:
Quant ont sais à quel moment ont doit acheter les poissons et de quelle origine, ont doit choisir le lieu de vente. Visitez les installations d’un distributeur sérieux qui connaît son métier, à savoir les Koï et leur milieu (la, sais pas évidant, peut connaisse les noms des différentes variétés et le reste). Evitez, si possible, les jardineries, à moins qu’ils y à une équipe de vendeur compétant.
En arrivant chez le distributeur observez bien l’état de l’eau dans les bassins. Elle doit être filtré et parfaitement clair, pas seulement pour que l’ont puisse voir les Koï, mais aussi et surtout parce qu’ils évoluent dans une eau douteuse, ils sont à même de porter des maladies et infections. Il faut se rappeler également qu’une eau limpide n’est pas obligatoirement un gage de bonne qualité d’eau. Même si l’odeur de l’eau n’est pas une indication parfaite - il se peut l’animalier vienne de nettoyer les bouches d’aspiration - elle vous donnera une première idée. S’il y a une odeur de poisson ou que les Koï semblent stressés, ont passe sont chemin.
photo d'un grossiste en Belgique
Le choix du Koï:
Il faut bien prendre sont temps à regarder le Koï qui vous intéresse. Observez sont déplacement : des mouvements doivent être amples et fluides, jamais saccadés. Il faut qu’il s’intéresse à son environnement. Il faut surveillez plus particulièrement le mouvement des branchies, qui doit être lent et régulier des deux côtés, les opercules coller à son corps. Il faut évité les poissons dont les opercules sont décollés, qui donnent le sentiment de haleter ou qui viennent respire à l’approche de la surface. Recherchez l’existence de traces blanches, qui semblable aux moisissures du raisin, qui peuvent indiquer la présence de parasites Ichthyobodo (anciennement appeler Costia sp.) ou Trichodina sp. regardé également la présence d’écailles trouées ou redressées. Ce sont des symptômes de maladies fréquents mais par fois difficiles à soigner. Exempter les poissons aux yeux glauques, dont les nageoires présentent des traces de pourriture ou des protubérances de part et d’autre des opercules ou sur la tête. Si elles se rompent, elles laissent des trous dans les opercules, qui ont tu mal se cicatrisé et mette des mois voir des années à se fermé. Lorsque ont repère un poisson qui vous paraît en bonne santé, demandez au vendeur de le prendre à l’épuisette de sorte que vous puissiez l’examiner de plus près. Regarder comment il procède : le poisson peut être blessé suit à un geste maladroit. Le vendeur doit utiliser une épuisette peu profonde et encourager le poisson à venir dans sa direction. Idéalement, le vendeur ne doit pas sortir le poisson de l’eau. Mais, si vous demande de faire ça a un vendeur en France, il y beaucoup de chance qui vous prenne pour un fou.
Une fois que le poisson se trouve dans l’épuisette, regardé si le corps et les nageoires ne présentent pas de rougeurs. Elles peuvent indiquer que le poisson a été importé récemment ou révéler un problème interne ; regarder également la présence de parasites tels qu’Argulus sur les nageoires ou Lernaea dans les régions dorsal et caudale.
Même si ces parasites ne sont pas mortels, demandez quant même au vendeur de les enlever. Traite également votre propre pièce d’eau afin d’éviter tout contagion.
Demander au vendeur de vous faire une description objective (ça vas être difficile pour lui, pour la France), en soulignant les points positifs et les points négatifs du poisson que vous avez choisi et de vous donner le nom de la variété (ça aussi, difficile pour lui, pour la France). Comme cela vous savez maintenant comment acheter votre prochain ami. Ne vous laissez pas influencer par des réflexions vaniteuses. Considérez le poisson dans son ensemble et laissez-vous guider par le ressenti qu’il vous procure. Trop d’amateur passent leur temps à repérer les points négatifs de Koï qui ont vraiment tout pour plaire. Ecoutez l’avis du vendeur (si il est compétant), bien évidemment, mais ne craignez pas trop vite votre propre jugement.
Le transport des Koï:
Quant ont à choisi et examiné notre poisson, le vendeur le met dans une poche de transport. N’oubliez pas de revendiquer que vous avez une longue route à faire pour rentrer à votre domicile. Le vendeur doit prendre quelques précautions d’usage : il peut mettre le poisson dans une double ou triple poche de transport qu’il dépose ensuite dans une boîte en carton, par exemple, ou encore lorsqu’il fait très chaud, glisser une poche de glace entre le poche de transport et le carton. Normalement, la poche est remplie 1/3 d’eau et 2/3 d’oxygène. Il faut simplement être vigilant à ce que l’eau recouvre les branchies du Koï. L’oxygène est beaucoup plus important que l’eau, surtout pour des longs trajets ou lorsqu’il fait énormément chaud. Si votre habitation est loin, évitez d’acheter le poisson si le commerce n’est pas en mesure d’ajouter de l’oxygène dans les poches de transport, et ne pas confondre un remplissage du poche avec de l’air au lieu de l’oxygène.
Si vous achetez un Koï de grande taille pensé à le transporter dans une poche suffisamment grand pour qu’il n’ais pas de dommage sur sa queue ou ses nageoire. Les Koï de grandes dimensions se transportent en principe dans une double, ou une triple poches pour éviter les accidents et les fuites. En général, il est préférable de placer la poche dans un carton et de veiller à ce qu’il ne puisse pas glisser à l’intérieur de la boîte pour éviter tout traumatisme et tout stress inutile au Koï. Evité, dans la mesure du possible, d’exposer le poisson à un changement brutal de la température, de lumière vive, et au bruit pour ne pas le perturber de trop.
Il est probable qu’en transportant votre Koï dans votre véhicule. Evitez de placer la poche sur les genoux du passager, car la température du corps se transmet rapidement à l’eau ou autrement devant les pieds du passager avant, où l’air chaud risque de produire des résultats comparables. Le meilleur endroit pour transporter un poisson d’eau froid est dans le coffre du véhicule. Enroulez d’un plaide autour de la poche de transport de manière à éviter qu’il roule ou qu’il ne heurte un objet quelconque pointu ou à arête vive. A défaut, glisser le sac entre les siéges avant et la banquette arrière, à un emplacement où le passager arrière ne risque pas de le piétiner. Vous pouvez aussi réduire le stress du poisson en recouvrant la poche du plaide. Roulez à vitesse constante, et souple, évitez les bouches d’égout et autres nids de poule et les changement de direction rapide ainsi que les virage trop rapide, pour que le poisson ne puisse s’écrasé sur la paroi de la poche et de s’abîmer les nageoires.
A votre domicile, sortez le sac et laissez le flotter à la surface de l’eau ou dans un bac de quarantaine. Si la poche de transport est remplie d’oxygène, il n’y a pas d’urgence. En flottant à la surface, la poche prend progressivement la température du bac ou bassin. Si la température de la poche est sensiblement celle du bac ou bassin, ont peut enlever l’une des poches. Si la différence est supérieure à quelque °C, laissez les deux ou trois poches. Il est moins stressant pour un poisson de passer de froid à chaud que l’inverse. Que penserais vous si ont vous plongez dans un bain bien glacer par un temps de forte chaleur ? J’ai rappeler la manière de faire une acclimatation, car beaucoup de monde pense que les poissons d’eau froid sont increvables, ils ont droit aux mêmes intentions que les poissons exotiques.
La quarantaine:
Les nouvelles importations de Koï sont habituellement placés en quarantaine par l’importateur. Ces poissons ne sont pas nécessairement malades, mais ils ont surtout besoin de se reposer. Les Koï stressés sont plus sensibles aux maladies et aux parasites, de la même manière que humain dépressif ou ayant supporté un traumatisme arrive plus vite malades. Lorsque les Koï arrive dans leur pays d’adoption, le grossiste ou détaillant les plonge généralement dans un bain de sel avant de les laisser se reposer dans un bassin séparé ou un bassin de quarantaine auquel il a ajouté un antiseptique doux pour prévenir toute infection alors que les poissons sont en parfaite santé. Ils y séjournent communément durant une semaine. Les Koï vraiment stressés prolongent leur période : le repos et la récupération sont les meilleurs traitement. Si, durant cette durais, le grossiste ou détaillant constate la présence de parasites tels que Lernaea, il traite l’infestation avant de mêler les nouveau venues au reste du stock. D’innombrables amateurs refusent de placer leurs nouveaux poissons en quarantaine. Ils déclare que cet isolement aggrave le stress aux lieu de le soigner, dans l’acte où la mise en quarantaine suppose deux transfert successifs des poissons : en premier dans un bassin le traitement et ensuite dans le bassin définitif. Un autre argument de cette réticence est que les Koï sont des poissons grégaires qui supportent mal l’isolement.
Il est intéressent de faire remarquer maintenant que les effets du stress prenne parfois plusieurs semaines à se manifester et que pendant se temps l’incubation de certaines maladies peut durer quelques mois ais peut être quelques années. De nombreuses maladies des poissons peuvent avoir comme origine dans le passé : le pourrissement des nageoires peut resurgir trois semaines après que la pompe a été désactivé pendant plusieurs jours. En conclusion, même si certains amateurs revendiquent que la mise en quarantaine fait resurgir les symptômes des infections virales ou bactériennes potentielles avant que les poissons soient mélangés aux autres Koï, rien ne légitime la mise en quarantaine systématique de tous nouveaux arrivants.
Si vous optez de mettre vos nouveaux Koï en quarantaine, veillez à prendre un bassin ou un réservoir de traitement suffisamment spacieux.
Dans la plus part des cars, il est préférable de placer les poissons dans sont bassin définitif. Regarder discrètement les progrès et le comportement di ou des nouveaux arrivants pendant les six semaines qui suivent, et ce particulièrement pendant et tout de suite après les repas. Affin de vous assurez que les poissons ingéré toute la nourriture qu’ils prennent. D’innombrables amateurs trouvent que leurs nouveaux Koï boudent lorsqu’on les introduit dans la pièce d’eau : ils s’isolent de leurs compagnons, ne s’alimente pas ou avec difficulté ou se prosterne au fond du bassin. Ne pas s’affolé - certains sujet s’adapte mieux que d’autres au déplacement. Si un poisson a un comportement anormal, regardez le de plus près pendent sept à dix jours, en évitant de le manipulais. S’il ne s’intéresse pas davantage à son environnement, apporté lui un bain salé afin de éradiquer les parasites tels qu’Ichthyobodo et Trichodina, qui ont une prédilection à infester les animaux stressé. Avec se type de traitement sa devrait suffire, pour qu’il reprendre une santé.
Volume et profondeur du bassin conseillé:
10 M3 et 2,50 Mètres de profondeur (mini 1,20 m)
Densité de population:
1 poisson par 1 M3
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